La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, demande qu'"une enquête rapide" soit menée pour élucider les circonstances de la mort du journaliste de France 2 Gilles Jacquier, tué mercredi 11 janvier dans un bombardement à Homs alors qu'il était en reportage.
"Les autorités syriennes ont la responsabilité de garantir la sécurité des journalistes dans le pays", souligne le communiqué de Cartherine Ashton. "La presse doit être autorisée à remplir son rôle vital de fournir une information indépendante sur les événements en Syrie sans craindre d'être victime de violences ou de répression".
France 2 salue son "courage"
La Société des Journalistes de France 2 a quant à elle déclaré que "Gilles Jacquier incarnait pour beaucoup d'entre nous les valeurs du Grand Reportage, aussi bien sur des terrains de guerre que sur les grandes enquêtes de société. Son opiniâtreté, son courage et ses valeurs journalistiques lui valaient notre admiration. La SDJ compte sur les autorités syriennes pour faire le plus rapidement possible la lumière sur les circonstances dans lesquelles cette mort tragique est intervenue, alors que l'équipe était en tournage autorisé par le régime".
RSF : Il faut "faire toute la lumière sur cette tragédie"
"Gilles Jacquier est le premier journaliste étranger tué en Syrie depuis le début de l'insurrection, le 15 mars 2011. Toutes nos pensées vont à sa famille et à ses collègues. Nous demandons aux autorités, avec le concours des observateurs de la Ligue arabe, de faire toute la lumière sur cette tragédie", fait savoir Reporters sans frontières dans un comuniqué.
Nouvel Obs
"Les autorités syriennes ont la responsabilité de garantir la sécurité des journalistes dans le pays", souligne le communiqué de Cartherine Ashton. "La presse doit être autorisée à remplir son rôle vital de fournir une information indépendante sur les événements en Syrie sans craindre d'être victime de violences ou de répression".
France 2 salue son "courage"
La Société des Journalistes de France 2 a quant à elle déclaré que "Gilles Jacquier incarnait pour beaucoup d'entre nous les valeurs du Grand Reportage, aussi bien sur des terrains de guerre que sur les grandes enquêtes de société. Son opiniâtreté, son courage et ses valeurs journalistiques lui valaient notre admiration. La SDJ compte sur les autorités syriennes pour faire le plus rapidement possible la lumière sur les circonstances dans lesquelles cette mort tragique est intervenue, alors que l'équipe était en tournage autorisé par le régime".
RSF : Il faut "faire toute la lumière sur cette tragédie"
"Gilles Jacquier est le premier journaliste étranger tué en Syrie depuis le début de l'insurrection, le 15 mars 2011. Toutes nos pensées vont à sa famille et à ses collègues. Nous demandons aux autorités, avec le concours des observateurs de la Ligue arabe, de faire toute la lumière sur cette tragédie", fait savoir Reporters sans frontières dans un comuniqué.
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