ça c'est une autre restruturation à faire , je suis ok avec ça
je parle de la façon dont la finance mondiale va mettre la main sur les industries !!!!
mam
Moselle Arcelormittal
- Initiateur de la discussion mam80
- Date de début
ça c'est une autre restruturation à faire , je suis ok avec ça
je parle de la façon dont la finance mondiale va mettre la main sur les industries !!!!
mam
A quoi ça sert si toutes les usines ferment pour aller se relocaliser en Roumanie ou en Chinie, les ouvriers d'usines sont tellement recherchés qu'aujourd'hui 2/3 des chômeurs sont ouvriers, de plus la plupart des ouvriers de Florange ont fait presque toute leur carrière dans cette usine, il arrive à une âge où il ne sont pas "recyclable". C'est la réalité.
L'iouvrier n'est pas compétitif par rapport à l'ouvrier roumain ou chinois, on est d'accord, alors tu voudrais quoi, que l'ouvrier français accepte d'être payé 300€/mois??? Tu réfléchis un peu avant de dire de telles bêtises?
Les 35h ne sont pas appliquées depuis bien longtemps, trop de jours fériés??? je ne vois pas le rapport entre les jours fériés et l'économir c'est absurde.
sur la fléxibilité du travail dans le secteur de l'industrie cela tend à changer depuis l'apparition des agence d'intérim, la conséquence c'est le travail précaire et pas de perspective d'avenir car pas stabilité financière.
Si les droits aquis par les travailleurs t'embettent tant que ça, tu peux renoncer aux tiens, personne ne t'en tiendra rigueur, nous comptons sur toi pour aller travailler le 25 et le 1 er de l'an.
Enfin ça critique, ça critique l'ouvrier mais ça n'apporte pas de solutions hein...
L'immunité de ces banques provient du fait qu'ils sont maintenant infiltrés dans la politique comme Mario Monti ou Luis de Guindos.
fermeture , plan de restructuration , chomage mal etre .
j'ai beau connaitre les theories eco vraiment là cela me touche , monde ou on sacrifie l humain , nous ne sommes rien , on nous prend on nous jette comme des kleenexs . une grosse pensée à toutes ces personnes .
j'ai beau connaitre les theories eco vraiment là cela me touche , monde ou on sacrifie l humain , nous ne sommes rien , on nous prend on nous jette comme des kleenexs . une grosse pensée à toutes ces personnes .
Donc ca s'arrete ou le nivellement par le bas du proletariat?
j'dis ca parce que l'esclave est plus compétitif que l'ouvrier roumain ou chinois
mais tant qu'on applaudit les bankster, et les financiers/industriels apatrides qui vont exploiter ailleurs l'homme on ne s'en sortira pas
au lieu de venerer Steve Jobs l'occident aurait du lui cracher dessus lui et ses usins a Foxconn
c'est une question de paradigme
Fallait bosser à l'école si tu voulais pas finir femme de ménage ou caissière !
Et encore ! Je trouve que les salaires pour ce genre de travail sont scandaleusement élevés.
Fichtre !
MDR!!! Arrête tu sais bien qu'Allissia part au quart de tour lol
@ Allissia: réponds pas: il nous fait le pépé de droite provocateur
Non la problématique n'est pas la même, on recherche plus d'ouvriers que d'ingénieurs
Une maison à crédit ? Ouawwww tout d'un coup ça casse l'image de l'ouvrier travaillant à Arcelor identifié dans l'inconscient collectif bladien à l'ouvrier de Germinal !
Excuse moi, j'aime beaucoup le fait que tu prennes la défense de ceux que tu considères sans doute comme des faibles mais dis moi un peu d'où tu sors que toutes les usines ferment pour se relocaliser en Roumanie? Il y en pas mal mais on ne peut pas dire ni prédire que ce soit le cas pour toutes .... Crois-moi on fait beaucoup de bruit autour des restructurations mais beaucoup moins sur les petites usines familiales solides qui ne sont pas prêtes de relocaliser ailleurs et qui sont fières d'avoir leur production en Europe ou des nouvelles entreprises qui ouvrent. Même les sociétés qui restructurent continuent à engager pour des projets bien spécifiques (mais bien sûr ne le communiquent pas dans les media), enfin elles continueraient si les syndicats ne leur mettaient pas des bâtons dans les roues .... Et un ouvrier d'Arcelor qui a passé toute sa vie là, c'est bien sûr regrettable, mais arrivé à un certain âge avec l'expertise qu'il a accumulée, il peut très bien se reconvertir en freelance/indépendant si vraiment il ne trouve rien ailleurs. Ensuite, la problématique de l'ouvrier qui a passé toute sa vie dans une usine pour en être licencié est la même pour toutes les professions. Je ne vois pas pourquoi seul l'ouvrier fait pleurer dans les chaumières.
a part la mise de départ, entrées de capital.... tout l'argent d'une entreprise repose sur le bénéfice fait sur le dos des employés
que tu le veuille ou pas, c'est comme cela
nous avons ensuite un cas de figure assez spécifique d'une entreprise qui a bénéficié d'accord et d'aide de l'état depuis .......
Ce ne sont pas les ouvriers qui sont assistés mais bien les patrons
C'est foutu pour la Lorraine, je connais cette région, j'y ait de la famille notamment en Moselle. C'est un département sinistré et avec ces fermetures d'usines ça va aller encore plus mal.
Ca me fait marrer quand les politiques parlent de décentralisation de l'économie blablablabla...
On est bien face à une France en crise. Ils ont ouvert le Louvre Lens pour soit disant faire bouger économiquement l'arrondissement de Lens... Maintenant ils comptent sur les arts historiques pour les sortir de la crise...
Vu que la discussion a dévié, je vais faire un hors sujet moi aussi, (pas tant que ça).
Économiquement il n'y a que deux moyens connus, qui sont créateurs de richesses.
1- le travail.
2- le progrès technique.
Sur ces deux moyens vient se greffer le Capital, qui favorise le déploiement des moyens de production et optimise l'allocation des ressources. C'est juste un moyen pour réguler, optimiser, développer et maximiser la création de richesse.
Le Capital a son importance dans l'économie, mais le véritable moteur de la création de richesse, ce sont le travail et le progrès technique (l'innovation), d'ailleurs désormais, le véritable danger pour l'emploi, c'est le progrès technique.
Partout dans le monde à quelques exceptions près, il y a du chômage endémique et ce n'est pas près de finir.
Pour ce qui est du cas spécifique de la sidérurgie française, les ouvriers ont raison de défendre mesquinement leurs emplois, mais aussi le maintien d'une activité sidérurgique en France. Quand un savoir-faire se perd, il devient difficile de ré-implanter et de re-former du personnel, en temps voulu.
Je ne comprends pas de quoi peut-on accuser les salariés ?
Dans d'autres pays autrement plus "libéraux", la disparition d'une industrie est inenvisageable, et des nationalisations temporaires sont faites pour sauvegarder les emplois, le savoir faire, et conserver un semblant de puissance économique.
Économiquement il n'y a que deux moyens connus, qui sont créateurs de richesses.
1- le travail.
2- le progrès technique.
Sur ces deux moyens vient se greffer le Capital, qui favorise le déploiement des moyens de production et optimise l'allocation des ressources. C'est juste un moyen pour réguler, optimiser, développer et maximiser la création de richesse.
Le Capital a son importance dans l'économie, mais le véritable moteur de la création de richesse, ce sont le travail et le progrès technique (l'innovation), d'ailleurs désormais, le véritable danger pour l'emploi, c'est le progrès technique.
Partout dans le monde à quelques exceptions près, il y a du chômage endémique et ce n'est pas près de finir.
Pour ce qui est du cas spécifique de la sidérurgie française, les ouvriers ont raison de défendre mesquinement leurs emplois, mais aussi le maintien d'une activité sidérurgique en France. Quand un savoir-faire se perd, il devient difficile de ré-implanter et de re-former du personnel, en temps voulu.
Je ne comprends pas de quoi peut-on accuser les salariés ?
Dans d'autres pays autrement plus "libéraux", la disparition d'une industrie est inenvisageable, et des nationalisations temporaires sont faites pour sauvegarder les emplois, le savoir faire, et conserver un semblant de puissance économique.
C'est foutu pour la Lorraine, je connais cette région, j'y ait de la famille notamment en Moselle. C'est un département sinistré et avec ces fermetures d'usines ça va aller encore plus mal.
Ca me fait marrer quand les politiques parlent de décentralisation de l'économie blablablabla...
On est bien face à une France en crise. Ils ont ouvert le Louvre Lens pour soit disant faire bouger économiquement l'arrondissement de Lens... Maintenant ils comptent sur les arts historiques pour les sortir de la crise...
Et quand des économistes le disent, ou des industriels, ça te fait aussi marrer ?
Parce que à part brailler, tu peux me citer combien de pays qui ont PIB, par tête d'habitant aussi élever qu'en France?
ET tu peux me citer combien de pays, qui ont un système social aussi développer qu'en France ?
vendredi 7 décembre 2012 16:21 | Par Boursier.com
Lakshmi Mittal justifie ses choix sur Florange face à ses salariés
Très contesté, le patron d'ArcelorMittal a rédigé une lettre diffusée au sein de l'entreprise.
Lakshmi Mittal justifie ses choix sur Florange face à ses salariés
Accusé de mensonges par les salariés de Florange, exhorté par le gouvernement à tenir ses promesses, le patron d'ArcelorMittal s'explique dans une interview diffusée au sein de son entreprise. Dans ce document, révélé par Europe1, Lakshmi Mittal revient sur plusieurs points de crispation, pour tenter de faire preuve de sa bonne foi.
Pas de plan social
Alors que le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a accusé le groupe de ne tenir "aucun de ses engagements", Lakshmi Mittal explique ne pas contrevenir aux accords passés. "En 2006, Mittal Steel a présenté un plan au gouvernement français. Il précisait que le dernier haut fourneau de Florange fermerait en 2010", rappelle-t-il. Conjoncture économique aidant, les hauts-fourneaux ont continué de tourner après cette date, mais désormais les perspectives "ne sont plus favorables". Europe1 rappelle néanmoins que Lakshmi Mittal 'avait promis, en 2010, 300 millions d'euros d'investissement pour Florange à Nicolas Sarkozy", qui n'ont jamais été versés.
Lakshmi Mittal revient également sur son accord avec le gouvernement, qui stipule l'arrêt provisoire et le non-démantèlement des hauts fourneaux pendant six ans. "Nous avons accepté d'investir 180 millions d'euros dans le site au cours des cinq prochaines années. Nous avons accepté de maintenir l'activité emballage à Florange pendant au moins cinq ans", écrit-il, rappelant que Florange ne subira pas de plan social.
Pas de mention d'Ulcos
Arnaud Montebourg avait évoqué l'offre d'un repreneur, mais pour l'ensemble du site. Lakshmi Mittal, lui, reste sur sa position. Il assure avoir "pris l'engagement vis-à-vis du gouvernement français d'accepter les offres d'achat des hauts fourneaux" mais "aucune offre n'a été reçue à ce jour". Il évoque les "pressions considérables de la part des syndicats sur le gouvernement pour "une vente de l'intégralité du site, et même une nationalisation forcée".
Pas de mention en revanche du projet Ulcos, pour la production d'acier à faibles émissions de carbone. Les syndicalistes n'ont pas caché leur colère après avoir appris jeudi qu'ArcelorMittal retirait la candidature du site pour le premier appel d'offres du projet européen. Le géant de l'acier et le gouvernement n'ont pas tardé à réagir, assurant que le projet Ulcos n'était pas abandonné à long terme malgré le retrait de cette candidature.>
no coment
mam
Lakshmi Mittal justifie ses choix sur Florange face à ses salariés
Très contesté, le patron d'ArcelorMittal a rédigé une lettre diffusée au sein de l'entreprise.
Lakshmi Mittal justifie ses choix sur Florange face à ses salariés
Accusé de mensonges par les salariés de Florange, exhorté par le gouvernement à tenir ses promesses, le patron d'ArcelorMittal s'explique dans une interview diffusée au sein de son entreprise. Dans ce document, révélé par Europe1, Lakshmi Mittal revient sur plusieurs points de crispation, pour tenter de faire preuve de sa bonne foi.
Pas de plan social
Alors que le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a accusé le groupe de ne tenir "aucun de ses engagements", Lakshmi Mittal explique ne pas contrevenir aux accords passés. "En 2006, Mittal Steel a présenté un plan au gouvernement français. Il précisait que le dernier haut fourneau de Florange fermerait en 2010", rappelle-t-il. Conjoncture économique aidant, les hauts-fourneaux ont continué de tourner après cette date, mais désormais les perspectives "ne sont plus favorables". Europe1 rappelle néanmoins que Lakshmi Mittal 'avait promis, en 2010, 300 millions d'euros d'investissement pour Florange à Nicolas Sarkozy", qui n'ont jamais été versés.
Lakshmi Mittal revient également sur son accord avec le gouvernement, qui stipule l'arrêt provisoire et le non-démantèlement des hauts fourneaux pendant six ans. "Nous avons accepté d'investir 180 millions d'euros dans le site au cours des cinq prochaines années. Nous avons accepté de maintenir l'activité emballage à Florange pendant au moins cinq ans", écrit-il, rappelant que Florange ne subira pas de plan social.
Pas de mention d'Ulcos
Arnaud Montebourg avait évoqué l'offre d'un repreneur, mais pour l'ensemble du site. Lakshmi Mittal, lui, reste sur sa position. Il assure avoir "pris l'engagement vis-à-vis du gouvernement français d'accepter les offres d'achat des hauts fourneaux" mais "aucune offre n'a été reçue à ce jour". Il évoque les "pressions considérables de la part des syndicats sur le gouvernement pour "une vente de l'intégralité du site, et même une nationalisation forcée".
Pas de mention en revanche du projet Ulcos, pour la production d'acier à faibles émissions de carbone. Les syndicalistes n'ont pas caché leur colère après avoir appris jeudi qu'ArcelorMittal retirait la candidature du site pour le premier appel d'offres du projet européen. Le géant de l'acier et le gouvernement n'ont pas tardé à réagir, assurant que le projet Ulcos n'était pas abandonné à long terme malgré le retrait de cette candidature.>
no coment
mam
Les conseillers de M. Montebourg sont d'autant plus motivés qu'un certain nombre de documents laisse penser que la nationalisation de Florange n'avait rien d'un projet illusoire, comme l'a sous-entendu le premier ministre Jean-Marc Ayrault pour justifier la signature d'un accord avec ArcelorMittal.
Selon une note de dix pages rédigée par la directrice des affaires juridiques de Bercy, révélée par Le Canard Enchaîné et dont Le Monde s'est procuré une copie, "l'appropriation par l'Etat du site industriel de Florange" était ainsi parfaitement possible sur le plan légal.
Selon une note de dix pages rédigée par la directrice des affaires juridiques de Bercy, révélée par Le Canard Enchaîné et dont Le Monde s'est procuré une copie, "l'appropriation par l'Etat du site industriel de Florange" était ainsi parfaitement possible sur le plan légal.
Si, par hypothèse funeste, un tel schéma entrait en vigueur, le chantage à la mode Renault pourrait être généralisé. En guise de cadeau de Noël avant lheure, le PDG, Carlos Ghosn, a présenté aux salariés de lex-régie publique un plateau-repas avec le menu suivant : soit vous revoyez à la baisse certaines de vos conditions de travail et de rémunération, soit nous délocaliserons en Espagne, là où les ouvriers mettent de leau dans leur xérès et du riz de moindre qualité dans leur paella.
LE MONDE EN TIRE UNE MORALE EXPRIMEE PAR CE TITRE :
« Compétitivité : lEspagne défie la France ». On pourrait aussi dire que le Portugal défie lEspagne, que la Chine défie le Portugal, que le Vietnam défie la Chine, et que le Bangladesh défie le Vietnam, vu que lon peut toujours chercher un pays où lon accepte de travailler plus en gagnant moins. Quand on sengage dans la course au dumping salarial, le pire est toujours possible.
je te m......comme d hab futiva
je te fait grace ce soir je ne m'en prend jamais au petit personel va me chercher un café et tais toi.
Produire pour vendre a qui aux jins, on a trop produit c'est la fin d'un systeme.
Les gens ne comprenne pas que pour fabriquer il faut des clients et surtout des credits, pour l'instant y'a ni client ni credit donc crise cardiaque la suite on la connait. Meme si l etat intervient elle va trouver l'argent ou ah oui elle va encore s endetter c'est du n importe quoi tout ca.
Les gens ne comprenne pas que pour fabriquer il faut des clients et surtout des credits, pour l'instant y'a ni client ni credit donc crise cardiaque la suite on la connait. Meme si l etat intervient elle va trouver l'argent ou ah oui elle va encore s endetter c'est du n importe quoi tout ca.
ArcelorMittal : enquête ouverte sur l'acide déversé dans la nature en Moselle
De l'acide utilisé sur un site du groupe sidérurgique à Florange a été déversé dans un dépotoir en pleine nature. L'entreprise assure être en règle et qu'«il n'y a aucun risque environnemental ou sanitaire».
Le parquet de Thionville a ouvert une enquête préliminaire.
Témoignage accablant pour l'usine d'ArcelorMittal Florange. Un chauffeur de camion, qui travaillait en tant qu'intérimaire pour Suez RV Osis Industrial Cleaning, un sous-traitant du géant mondial de l'acier, affirme, vidéo à l'appui, avoir déversé durant trois mois des centaines de mètres cubes d'acide dans un dépotoir en pleine nature de l'usine sidérurgique de Florange, en Moselle.
Cet homme, qui témoigne sous couvert d'anonymat, affirme que les salariés de l'entreprise lui donnaient volontairement accès à la décharge (un crassier) alors que cette matière, hautement polluante aurait dû être recyclée au centre de dépollution industrielle de Malancourt-la-Montagne.
Dans une vidéo de 1minute 45, prise avec son téléphone portable, on voit un épais liquide vert fluorescent sortir d'un tuyau et se répandre dans l'eau sombre d'une décharge à ciel ouvert.
«Et voilà comment on recycle les déchets à Florange chez Arcelor, on balance de l'acide en pleine nature.
Pas loin des bois, pas loin des habitations» dénonce l'homme, qui affirme avoir déversé ainsi chaque jour 28 mètres cubes de substance hautement chimique.
la suite sur http://www.lefigaro.fr/societes/201...ce=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie
une histoire de vengeance ???
si c'est vrai, on retrouvera des traces et des échantillons, de quoi alimenter le dossier en justice
mam
De l'acide utilisé sur un site du groupe sidérurgique à Florange a été déversé dans un dépotoir en pleine nature. L'entreprise assure être en règle et qu'«il n'y a aucun risque environnemental ou sanitaire».
Le parquet de Thionville a ouvert une enquête préliminaire.
Témoignage accablant pour l'usine d'ArcelorMittal Florange. Un chauffeur de camion, qui travaillait en tant qu'intérimaire pour Suez RV Osis Industrial Cleaning, un sous-traitant du géant mondial de l'acier, affirme, vidéo à l'appui, avoir déversé durant trois mois des centaines de mètres cubes d'acide dans un dépotoir en pleine nature de l'usine sidérurgique de Florange, en Moselle.
Cet homme, qui témoigne sous couvert d'anonymat, affirme que les salariés de l'entreprise lui donnaient volontairement accès à la décharge (un crassier) alors que cette matière, hautement polluante aurait dû être recyclée au centre de dépollution industrielle de Malancourt-la-Montagne.
Dans une vidéo de 1minute 45, prise avec son téléphone portable, on voit un épais liquide vert fluorescent sortir d'un tuyau et se répandre dans l'eau sombre d'une décharge à ciel ouvert.
«Et voilà comment on recycle les déchets à Florange chez Arcelor, on balance de l'acide en pleine nature.
Pas loin des bois, pas loin des habitations» dénonce l'homme, qui affirme avoir déversé ainsi chaque jour 28 mètres cubes de substance hautement chimique.
la suite sur http://www.lefigaro.fr/societes/201...ce=AM2&utm_medium=email&utm_campaign=Economie
une histoire de vengeance ???
si c'est vrai, on retrouvera des traces et des échantillons, de quoi alimenter le dossier en justice
mam