Moulay hicham ne veut plus faire partie de la monarchie marocaine (vidéo)

Appelez-le Moulay Hicham El Alaoui et non le prince Moulay Hicham EL Alaoui. C'est ce qu'il vient de déclarer dans une interview accordée à la chaine France 24.
Le « prince rouge » a, dit-il, envoyé une lettre au roi Mohammed VI il y a trois ans formulant deux demandes. « Il y a trois ans, j'ai formulé deux demandes au roi. La première, s'il m'arrivait quelque chose, je voulais être enterré dans un lieu qui n'a aucun lieu avec la monarchie marocaine. J'ai demandé à Sa Majesté, d'être déchargé de mon (...)

- Maroc / Vidéos, Moulay Hicham

Moulay Hicham ne veut plus faire partie de la monarchie marocaine (vidéo)
 
même s'il était argenté de naissance de par sa lignée maternelle...son ascendance "royale" lui a ouvert des portes et il a a certainement eu des terres et pas que au Maroc à moins qu'il ait renoncé à tout héritage...
Alaoui (entretien accordé à Stéphane Smith dans la revue «le Débat» - Septembre 2011-) où il exprime son opposition à l’officialisation de la langue amazighe ne laisse aucun choix aux acteurs du Mouvement Amazigh: en se déliant de la réserve que son rang devrait lui imposer sur un sujet aussi sensible, Monsieur Hicham Al Alaoui nous oblige en retour, en tant que citoyens amazigh de ce pays, à lui répondre du tac au tac.

Depuis longtemps, nous suivons avec une attention particulière, les sorties médiatiques de Monsieur Hicham Al Alaoui. Nous nous sommes toujours demandé ce que voulait ce Prince qui ne rate pas une occasion pour se rappeler au monde à travers une critique systématique qui vise à saper tous les efforts de son cousin pour dépasser les conséquences catastrophiques des années de plomb de son oncle.

On sait aujourd’hui que les sorties médiatique du Prince sont toutes intéressées et que les valeurs morales, modernistes et démocratiques mises en avant de ses prises de position perdent de leur crédibilité. On comprend mieux maintenant les objectifs de Monsieur Hicham: se positionner comme ultime rechange au Roi Mohamed VI. En fait, Hicham Al Alaoui veut apparaître comme le leader d’une opposition au pouvoir qui ne dit pas son nom, mais une opposition qui a certainement des ramifications un peu partout et jusque dans le Maroc même.

En déclarant son opposition à l’officialisation de l’amazighité du Maroc dans la nouvelle constitution, en faisant appel au maudit « Dahir berbère » et à la démagogie qui va avec, Monsieur Hicham a dévoilé au grand jour ses alliés politiques ou au moins idéologiques au Maroc, à savoir le Parti de l’Istiqlal et le PJD. Cette connivence idéologique n’est pas fortuite. Depuis longtemps déjà, on connaissait les supporters du Prince au Proche Orient et ailleurs. Mais les spéculations allaient bon train quant aux éventuelles complicités et alliances dont bénéficiait le Prince au sein des mouvances politiques marocaines. Maintenant tout le monde est fixé.

L’anti-amazighizme du Prince n’a d’égale que sa jalousie voire sa haine pour Mohamed VI auquel il reproche -consciemment ou pas -d’être amazigh par sa mère, alors que lui, Hicham, est un pur produit arabe à cent pour cent, donc prioritaire pour le trône marocain. Cette position de principe, raciste en soi, rejoint parfaitement l’idéologie arabo-islamiste du Parti de l’Istiqlal
 
Alaoui (entretien accordé à Stéphane Smith dans la revue «le Débat» - Septembre 2011-) où il exprime son opposition à l’officialisation de la langue amazighe ne laisse aucun choix aux acteurs du Mouvement Amazigh: en se déliant de la réserve que son rang devrait lui imposer sur un sujet aussi sensible, Monsieur Hicham Al Alaoui nous oblige en retour, en tant que citoyens amazigh de ce pays, à lui répondre du tac au tac.

Depuis longtemps, nous suivons avec une attention particulière, les sorties médiatiques de Monsieur Hicham Al Alaoui. Nous nous sommes toujours demandé ce que voulait ce Prince qui ne rate pas une occasion pour se rappeler au monde à travers une critique systématique qui vise à saper tous les efforts de son cousin pour dépasser les conséquences catastrophiques des années de plomb de son oncle.

On sait aujourd’hui que les sorties médiatique du Prince sont toutes intéressées et que les valeurs morales, modernistes et démocratiques mises en avant de ses prises de position perdent de leur crédibilité. On comprend mieux maintenant les objectifs de Monsieur Hicham: se positionner comme ultime rechange au Roi Mohamed VI. En fait, Hicham Al Alaoui veut apparaître comme le leader d’une opposition au pouvoir qui ne dit pas son nom, mais une opposition qui a certainement des ramifications un peu partout et jusque dans le Maroc même.

En déclarant son opposition à l’officialisation de l’amazighité du Maroc dans la nouvelle constitution, en faisant appel au maudit « Dahir berbère » et à la démagogie qui va avec, Monsieur Hicham a dévoilé au grand jour ses alliés politiques ou au moins idéologiques au Maroc, à savoir le Parti de l’Istiqlal et le PJD. Cette connivence idéologique n’est pas fortuite. Depuis longtemps déjà, on connaissait les supporters du Prince au Proche Orient et ailleurs. Mais les spéculations allaient bon train quant aux éventuelles complicités et alliances dont bénéficiait le Prince au sein des mouvances politiques marocaines. Maintenant tout le monde est fixé.

L’anti-amazighizme du Prince n’a d’égale que sa jalousie voire sa haine pour Mohamed VI auquel il reproche -consciemment ou pas -d’être amazigh par sa mère, alors que lui, Hicham, est un pur produit arabe à cent pour cent, donc prioritaire pour le trône marocain. Cette position de principe, raciste en soi, rejoint parfaitement l’idéologie arabo-islamiste du Parti de l’Istiqlal

Je m'excuse c'est une reponse destinee a Alicemortronkil
 
Alaoui (entretien accordé à Stéphane Smith dans la revue «le Débat» - Septembre 2011-) où il exprime son opposition à l’officialisation de la langue amazighe ne laisse aucun choix aux acteurs du Mouvement Amazigh: en se déliant de la réserve que son rang devrait lui imposer sur un sujet aussi sensible, Monsieur Hicham Al Alaoui nous oblige en retour, en tant que citoyens amazigh de ce pays, à lui répondre du tac au tac.

Depuis longtemps, nous suivons avec une attention particulière, les sorties médiatiques de Monsieur Hicham Al Alaoui. Nous nous sommes toujours demandé ce que voulait ce Prince qui ne rate pas une occasion pour se rappeler au monde à travers une critique systématique qui vise à saper tous les efforts de son cousin pour dépasser les conséquences catastrophiques des années de plomb de son oncle.

On sait aujourd’hui que les sorties médiatique du Prince sont toutes intéressées et que les valeurs morales, modernistes et démocratiques mises en avant de ses prises de position perdent de leur crédibilité. On comprend mieux maintenant les objectifs de Monsieur Hicham: se positionner comme ultime rechange au Roi Mohamed VI. En fait, Hicham Al Alaoui veut apparaître comme le leader d’une opposition au pouvoir qui ne dit pas son nom, mais une opposition qui a certainement des ramifications un peu partout et jusque dans le Maroc même.

En déclarant son opposition à l’officialisation de l’amazighité du Maroc dans la nouvelle constitution, en faisant appel au maudit « Dahir berbère » et à la démagogie qui va avec, Monsieur Hicham a dévoilé au grand jour ses alliés politiques ou au moins idéologiques au Maroc, à savoir le Parti de l’Istiqlal et le PJD. Cette connivence idéologique n’est pas fortuite. Depuis longtemps déjà, on connaissait les supporters du Prince au Proche Orient et ailleurs. Mais les spéculations allaient bon train quant aux éventuelles complicités et alliances dont bénéficiait le Prince au sein des mouvances politiques marocaines. Maintenant tout le monde est fixé.

L’anti-amazighizme du Prince n’a d’égale que sa jalousie voire sa haine pour Mohamed VI auquel il reproche -consciemment ou pas -d’être amazigh par sa mère, alors que lui, Hicham, est un pur produit arabe à cent pour cent, donc prioritaire pour le trône marocain. Cette position de principe, raciste en soi, rejoint parfaitement l’idéologie arabo-islamiste du Parti de l’Istiqlal

Je vois ta logique, mais je ne suis pas d'accord. J'ai besoin de temps pour répondre parce que là je suis entrain de faire autre chose, mais on en rediscutera si tu veux bien.
 
Si la majorité des marocains ont le courage de ce gars ! Et une petite partie de ses connaissances (Universitaire apprécié aux USA), On serait le pays le plus démocratique du tiers monde.
 

Yoel1

VIB
Alaoui (entretien accordé à Stéphane Smith dans la revue «le Débat» - Septembre 2011-) où il exprime son opposition à l’officialisation de la langue amazighe ne laisse aucun choix aux acteurs du Mouvement Amazigh: en se déliant de la réserve que son rang devrait lui imposer sur un sujet aussi sensible, Monsieur Hicham Al Alaoui nous oblige en retour, en tant que citoyens amazigh de ce pays, à lui répondre du tac au tac.

Depuis longtemps, nous suivons avec une attention particulière, les sorties médiatiques de Monsieur Hicham Al Alaoui. Nous nous sommes toujours demandé ce que voulait ce Prince qui ne rate pas une occasion pour se rappeler au monde à travers une critique systématique qui vise à saper tous les efforts de son cousin pour dépasser les conséquences catastrophiques des années de plomb de son oncle.

On sait aujourd’hui que les sorties médiatique du Prince sont toutes intéressées et que les valeurs morales, modernistes et démocratiques mises en avant de ses prises de position perdent de leur crédibilité. On comprend mieux maintenant les objectifs de Monsieur Hicham: se positionner comme ultime rechange au Roi Mohamed VI. En fait, Hicham Al Alaoui veut apparaître comme le leader d’une opposition au pouvoir qui ne dit pas son nom, mais une opposition qui a certainement des ramifications un peu partout et jusque dans le Maroc même.

En déclarant son opposition à l’officialisation de l’amazighité du Maroc dans la nouvelle constitution, en faisant appel au maudit « Dahir berbère » et à la démagogie qui va avec, Monsieur Hicham a dévoilé au grand jour ses alliés politiques ou au moins idéologiques au Maroc, à savoir le Parti de l’Istiqlal et le PJD. Cette connivence idéologique n’est pas fortuite. Depuis longtemps déjà, on connaissait les supporters du Prince au Proche Orient et ailleurs. Mais les spéculations allaient bon train quant aux éventuelles complicités et alliances dont bénéficiait le Prince au sein des mouvances politiques marocaines. Maintenant tout le monde est fixé.

L’anti-amazighizme du Prince n’a d’égale que sa jalousie voire sa haine pour Mohamed VI auquel il reproche -consciemment ou pas -d’être amazigh par sa mère, alors que lui, Hicham, est un pur produit arabe à cent pour cent, donc prioritaire pour le trône marocain. Cette position de principe, raciste en soi, rejoint parfaitement l’idéologie arabo-islamiste du Parti de l’Istiqlal
Je ne connaissais pas cette position de sa part anti amazigh ....pour le reste , j'ai du mal à te suivre qu'il soit proche de l'Istiqlal pourquoi pas ,mais du PJD !?
 
L’anti-amazighizme du Prince n’a d’égale que sa jalousie voire sa haine pour Mohamed VI auquel il reproche -consciemment ou pas -d’être amazigh par sa mère, alors que lui, Hicham, est un pur produit arabe à cent pour cent, donc prioritaire pour le trône marocain. Cette position de principe, raciste en soi, rejoint parfaitement l’idéologie arabo-islamiste du Parti de l’Istiqlal

Je crois que tu exagères izmfazzaz. Il a peut être donner son avis comme un homme politique.
Je crois que moulay Hicham doit être au courant que plus de 80 % de marocains sont des arabo amazighs. Les mariages mixtes ont commencé depuis longtemps,et personne ne peut dire aujourd'hui qu'il est à 100 % amazigh ou arabe,sauf dans les endroits les plus reculés.
 
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