Le militant sahraoui Mustafa Salma Ould Sidi Mouloud a affirmé que la solution de la question du Sahara réside dans un plan d'autonomie consensuel et négocié prenant en compte les intérêts de tous.
Dans une interview accordée depuis Nouakchott à France-24, dans le cadre de l'émission hebdomadaire Invité & événement, Mustapha Salma a déclaré:
Nous voulons une solution de juste milieu, mettant fin aux souffrances des Sahraouis et cela consiste en un plan d'autonomie consensuel négocié dans le cadre d'un accord international regroupant toutes les parties en vue de mettre un terme à ce conflit et ouvrant ainsi de nouvelles perspectives devant la région du Maghreb.
Ancien responsable du Polisario, Mustafa Salma est en rupture de ban avec celui-ci depuis le 21 septembre 2010, date de son arrestation, alors qu'il venait de rendre visite à son père à Smara dans les provinces du sud du Maroc, dans le cadre des visites familiales supervisées par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR).
Il sera ensuite remis, début décembre 2010, à la délégation du HCR en Mauritanie où il demeure toujours dans une situation de blocage, multipliant les actions de protestation avant d'entamer un sit-in ouvert devant le HCR pour réclamer la régularisation de sa situation en vue de retrouver sa famille.
aufait
Dans une interview accordée depuis Nouakchott à France-24, dans le cadre de l'émission hebdomadaire Invité & événement, Mustapha Salma a déclaré:
Nous voulons une solution de juste milieu, mettant fin aux souffrances des Sahraouis et cela consiste en un plan d'autonomie consensuel négocié dans le cadre d'un accord international regroupant toutes les parties en vue de mettre un terme à ce conflit et ouvrant ainsi de nouvelles perspectives devant la région du Maghreb.
Ancien responsable du Polisario, Mustafa Salma est en rupture de ban avec celui-ci depuis le 21 septembre 2010, date de son arrestation, alors qu'il venait de rendre visite à son père à Smara dans les provinces du sud du Maroc, dans le cadre des visites familiales supervisées par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR).
Il sera ensuite remis, début décembre 2010, à la délégation du HCR en Mauritanie où il demeure toujours dans une situation de blocage, multipliant les actions de protestation avant d'entamer un sit-in ouvert devant le HCR pour réclamer la régularisation de sa situation en vue de retrouver sa famille.
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