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Un changement de vie "radical" pour la bimbo.
En pleine promotion de son livre, Nabilla fait son grand retour dans les médias. Interviewée par le JDD, la jeune femme en a profité pour régler ses comptes avec certaines personnalités. "En France, il y a ceux qui ont le droit et ceux qui n'ont pas le droit. Moi, je n'ai eu le droit qu'aux insultes. Quand on m'invitait à la télé, c'était pour ça, pour se foutre de ma gueule. ********, ******, ****... J'ai tout entendu. C'était violent, sexiste, intolérant. Je me prenais des insultes par de grosses personnalités comme Ruquier alors que je n'étais qu'une gamine...", se souvient Nabilla.
Et dans les pages de Télé Loisirs, c'est Maîtena Biraben qui en prend pour son grade. "Quelle faux-*** celle-là!", déclare Nabilla. "Quand je sortais des Anges, j'avais été chez Denisot dans le Grand Journal qui lui, m'a reçue comme les stars hollywoodiennes qu'il reçoit habituellement. Pour le Supplément, Maïtena est venue me voir dans ma loge et m'a dit: Je viens de Suisse comme vous. Tout va bien se passer! Et là sur le plateau, elle sort mon extrait de casier judiciaire!"
Nabilla a changé depuis sa sortie de prison. "Je me suis retrouvée en prison avec un savon Dove et un verre d'eau. Ça m'a fait beaucoup réfléchir, ça m'a ouverte aux autres." Aujourd'hui, elle n'a plus besoin de "12 paires de Louboutin" et elle a considérablement réduit son train de vie. "J'arrive à vivre avec 4.000 euros par mois. C'est nettement suffisant. Avant j'en voulais toujours plus (...) Maintenant, aller tous les deux jours chez le coiffeur me suffit. Je ne manque de rien, je n'ai besoin que de mon homme, d'amour, d'un joli appartement et de ma famille
Un changement de vie "radical" pour la bimbo.
En pleine promotion de son livre, Nabilla fait son grand retour dans les médias. Interviewée par le JDD, la jeune femme en a profité pour régler ses comptes avec certaines personnalités. "En France, il y a ceux qui ont le droit et ceux qui n'ont pas le droit. Moi, je n'ai eu le droit qu'aux insultes. Quand on m'invitait à la télé, c'était pour ça, pour se foutre de ma gueule. ********, ******, ****... J'ai tout entendu. C'était violent, sexiste, intolérant. Je me prenais des insultes par de grosses personnalités comme Ruquier alors que je n'étais qu'une gamine...", se souvient Nabilla.
Et dans les pages de Télé Loisirs, c'est Maîtena Biraben qui en prend pour son grade. "Quelle faux-*** celle-là!", déclare Nabilla. "Quand je sortais des Anges, j'avais été chez Denisot dans le Grand Journal qui lui, m'a reçue comme les stars hollywoodiennes qu'il reçoit habituellement. Pour le Supplément, Maïtena est venue me voir dans ma loge et m'a dit: Je viens de Suisse comme vous. Tout va bien se passer! Et là sur le plateau, elle sort mon extrait de casier judiciaire!"
Nabilla a changé depuis sa sortie de prison. "Je me suis retrouvée en prison avec un savon Dove et un verre d'eau. Ça m'a fait beaucoup réfléchir, ça m'a ouverte aux autres." Aujourd'hui, elle n'a plus besoin de "12 paires de Louboutin" et elle a considérablement réduit son train de vie. "J'arrive à vivre avec 4.000 euros par mois. C'est nettement suffisant. Avant j'en voulais toujours plus (...) Maintenant, aller tous les deux jours chez le coiffeur me suffit. Je ne manque de rien, je n'ai besoin que de mon homme, d'amour, d'un joli appartement et de ma famille