Lies Hebbadj, l'une de ses compagnes, ainsi qu'une troisième personne, sont en garde à vue depuis ce matin à la section financière de la police judiciaire de Nantes, rapporte Presse Océan. Les trois personnes seraient entendues dans le cadre d'une enquête portant sur des soupçons de polygamie, de fraudes aux allocations familiales et de travail dissimulé, précise Le Nouvelobs.com.
Lies Hebbadj, sa compagne Sandrine Mouleres, qui avait été verbalisée en avril dernier pour port de niqab au volant, ainsi qu'un homme qui travaillerait dans un Taxi-Phone, boutique appartenant à Lies Hebbadj, sont entendus depuis ce matin dans les locaux de la section financières de l'Hotel de police, rue Waldeck-Rousseau, à Nantes.
Cette garde à vue s'inscrirait dans le cadre de l'enquête ouverte il y a quelques semaines pour suspicion de polygamie et fraudes aux allocations familiales à l'encontre de Lies Hebbadj, et qui avait provoqué une polémique; le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux réclamant une déchéance de nationalité à l'encontre du commerçant de Rezé.
"Escroquerie, travail dissimulé et fraudes aux aides sociales"
Le procureur de Nantes, Xavier Ronxin, a confirmé cette garde à vue sans en préciser les motifs. Selon une source proche du dossier, les gardes à vues porteraient sur des suspicions d'"escroquerie, de travail dissimulé et de fraude aux aides sociales", précise l'AFP. Le travail dissimulé concernerait la troisième personne placée en garde à vue.
En parallèle, une perquisition serait menée dans l'un des domiciles de Lies Hebbadj, précise Presse Océan.
Jean-Michel Pollono, l'avocat de Sandrine Mouleres, a indiqué ce matin qu'il avait vu sa client. Il a déclaré avoir "du mal à comprendre" cette affaire... "Maintenant, si on conteste une contravention, on se retrouve en garde à vue ?", s'est-il interrogé. "M. Hebbadj, son amant, est aussi en garde à vue , est-ce que ma cliente ne serait pas un dommage collatéral", a-t-il questionné avant de considérer qu'"il est injuste de s'en prendre" à elle.
ils sont amants maintenant... c'est mignon
ils pourraient assumer quand même
Lies Hebbadj, sa compagne Sandrine Mouleres, qui avait été verbalisée en avril dernier pour port de niqab au volant, ainsi qu'un homme qui travaillerait dans un Taxi-Phone, boutique appartenant à Lies Hebbadj, sont entendus depuis ce matin dans les locaux de la section financières de l'Hotel de police, rue Waldeck-Rousseau, à Nantes.
Cette garde à vue s'inscrirait dans le cadre de l'enquête ouverte il y a quelques semaines pour suspicion de polygamie et fraudes aux allocations familiales à l'encontre de Lies Hebbadj, et qui avait provoqué une polémique; le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux réclamant une déchéance de nationalité à l'encontre du commerçant de Rezé.
"Escroquerie, travail dissimulé et fraudes aux aides sociales"
Le procureur de Nantes, Xavier Ronxin, a confirmé cette garde à vue sans en préciser les motifs. Selon une source proche du dossier, les gardes à vues porteraient sur des suspicions d'"escroquerie, de travail dissimulé et de fraude aux aides sociales", précise l'AFP. Le travail dissimulé concernerait la troisième personne placée en garde à vue.
En parallèle, une perquisition serait menée dans l'un des domiciles de Lies Hebbadj, précise Presse Océan.
Jean-Michel Pollono, l'avocat de Sandrine Mouleres, a indiqué ce matin qu'il avait vu sa client. Il a déclaré avoir "du mal à comprendre" cette affaire... "Maintenant, si on conteste une contravention, on se retrouve en garde à vue ?", s'est-il interrogé. "M. Hebbadj, son amant, est aussi en garde à vue , est-ce que ma cliente ne serait pas un dommage collatéral", a-t-il questionné avant de considérer qu'"il est injuste de s'en prendre" à elle.
ils sont amants maintenant... c'est mignon
ils pourraient assumer quand même