LuneSoleil
Ombres et fumée...
Parfois, c'est ce que je voudrais dire à mes frères et soeurs en Dieu.
Dans la société d'aujourd'hui, où tout semble si difficile, et qui l'est peut-être, assurément, on a tôt fait de baisser les bras encore plus vite qu'on ne les lève.
Les problèmes de sociétés, les problèmes de par le monde, les problème de la famine et autres problèmes en tout genre ne sont pourtant pas que l'apanage des Autres, ces sacro-saints Autres qui font quand nous les regardons faire.
Pourtant qui sont-ils ces Autres ? Des humains tout simplement, qui ont fait le choix de ne pas baisser les bras, de les garder tendus vers le ciel parmis une multitude de bras baissés.
De même, se plaindre des discriminations en tout genre, se plaindre des diffiultés de la vie, se plaindre du chemins à parcourir ici-bas, même si ces plaintes sont justifiées, elles ne serviront à rien, si on ne fait rien, et je suis catégorique.
Si impossible n'est pas français, impossible n'est pas non-plus musulmans.
Parfois on contemple le monde, avec toute sa misère noire et ses injustices profondes.
Puis d'autres, ces Autres qui font, et qui paraissent la plupart du temps "idéalistes", nous demandent de faire à notre tour, d'aider, de changer.
Parce que pour changer ce qui ne nous plait pas, il faut d'abord changer soi-même pour sinon parvenir du moins essayer de cheminer vers nos propres idées pour les épouser.
Mais que leur répond-on, à ces fameux Autres ?
Eh bien, tout d'abord on commence avec un "oui, c'est vrai...".
Puis, après ample reflexion, après avoir passé en revu sa propre vie, avec ses propres conflits, et ses propres problèmes, ils finissent par se dire que tout compte fait il ont déjà assez de problèmes eux-mêmes dans leur cercle privée pour ne pas avoir à s'occuper d'un plus large périmètre.
En fait c'est simple, on applique l'anecdote de la pomme de terre fraiche qui, lorsqu'on l'a lance dans un tas d'autres pommes de terre mais pourries, devient elle-même pourrie.
Autrement dit, il est plus simple de se faire patate et de suivre le mouvement qu'autre chose.
Mais est-ce que quelqu'un s'est déjà dit qu'il pouvait se liberer de sa "patate-attitude" et se transformer en ce vaccin, cette unique goutte guérisseuse, qui seule parmis les bactéries guérissait ?
Peut-être, mais peut-être pas, puisqu'il est plus facile de se plaindre et de grogner sur le monde présent que de faire quelque chose même infime, même infime, même infime.
Je ne blâme personne, je fait sans doute moi aussi partie de ces gens qui se plaignent et qui voudraient voir le monde changer quand il ne font rien pour que cela arrive.
C'était juste une pensée qui m'est venue, et que je voulais partagé avec vous, en esperant avoir vos avis, et de pouvoir mener un débat calme, dans le respet de l'autre et en tenant compte respectueusement de l'avis de chacun.
Salam wa'laykoum, bonne journée,
LuneSoleil.
Dans la société d'aujourd'hui, où tout semble si difficile, et qui l'est peut-être, assurément, on a tôt fait de baisser les bras encore plus vite qu'on ne les lève.
Les problèmes de sociétés, les problèmes de par le monde, les problème de la famine et autres problèmes en tout genre ne sont pourtant pas que l'apanage des Autres, ces sacro-saints Autres qui font quand nous les regardons faire.
Pourtant qui sont-ils ces Autres ? Des humains tout simplement, qui ont fait le choix de ne pas baisser les bras, de les garder tendus vers le ciel parmis une multitude de bras baissés.
De même, se plaindre des discriminations en tout genre, se plaindre des diffiultés de la vie, se plaindre du chemins à parcourir ici-bas, même si ces plaintes sont justifiées, elles ne serviront à rien, si on ne fait rien, et je suis catégorique.
Si impossible n'est pas français, impossible n'est pas non-plus musulmans.
Parfois on contemple le monde, avec toute sa misère noire et ses injustices profondes.
Puis d'autres, ces Autres qui font, et qui paraissent la plupart du temps "idéalistes", nous demandent de faire à notre tour, d'aider, de changer.
Parce que pour changer ce qui ne nous plait pas, il faut d'abord changer soi-même pour sinon parvenir du moins essayer de cheminer vers nos propres idées pour les épouser.
Mais que leur répond-on, à ces fameux Autres ?
Eh bien, tout d'abord on commence avec un "oui, c'est vrai...".
Puis, après ample reflexion, après avoir passé en revu sa propre vie, avec ses propres conflits, et ses propres problèmes, ils finissent par se dire que tout compte fait il ont déjà assez de problèmes eux-mêmes dans leur cercle privée pour ne pas avoir à s'occuper d'un plus large périmètre.
En fait c'est simple, on applique l'anecdote de la pomme de terre fraiche qui, lorsqu'on l'a lance dans un tas d'autres pommes de terre mais pourries, devient elle-même pourrie.
Autrement dit, il est plus simple de se faire patate et de suivre le mouvement qu'autre chose.
Mais est-ce que quelqu'un s'est déjà dit qu'il pouvait se liberer de sa "patate-attitude" et se transformer en ce vaccin, cette unique goutte guérisseuse, qui seule parmis les bactéries guérissait ?
Peut-être, mais peut-être pas, puisqu'il est plus facile de se plaindre et de grogner sur le monde présent que de faire quelque chose même infime, même infime, même infime.
Je ne blâme personne, je fait sans doute moi aussi partie de ces gens qui se plaignent et qui voudraient voir le monde changer quand il ne font rien pour que cela arrive.
C'était juste une pensée qui m'est venue, et que je voulais partagé avec vous, en esperant avoir vos avis, et de pouvoir mener un débat calme, dans le respet de l'autre et en tenant compte respectueusement de l'avis de chacun.
Salam wa'laykoum, bonne journée,
LuneSoleil.