Nuit de violences à Amiens : 16 policiers blessés

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En attendant il s'est balader pendant un moment sans être inquiéter

Sans compter le laxisme de la justice avec ses récidivistes

http://www.lepoint.fr/societe/viole...time-tres-en-colere-14-08-2012-1495777_23.php

Les pédophiles c'est pas une priorité.
T'as pas bien lu ou quoi, des jeunes se baladent avec des barettes de canabis e des couteaux oooowwww des couteaux quoi.
La volaille ne provoque jamais personne!!

Tu vois bien que ceux qui te répondent correspondent à un profil particulier faut laisser aboyer.

La seule chose que je regrette c'et que ces jeunes n'aillent pas casser les centres villes, les beaux quartiers, bruler les banques, les magasins, ça calmerait surement la volaille. Bruler les voitures des voisins et les batimets de son quartiers c'est un peu stupide et ça arrange bien la volaille.

Courage à ses jeunes qui subissent le harcèlement des geoliers.
 
Un contrôle, il faut s'y soumettre, quelque soient les conditions dans lesquelles il a lieu.... même si le but des policiers est de provoquer

Et à un moment, les policiers verront qu'ils ne peuvent plus provoquer d'incidents avec les contrôles... Et soit ils arretent les contrôles abusifs, soit ils vont plus moin et sont poussés à la faute.
http://www.youtube.com/watch?v=AGG12gcfXmA

Cet homme aurait pu être neutralisé mais il a été abattu de neuf balles
même si il portait un couteau .
Le maire de NYC M. Bloomberg l'a sur sa conscience . Et encore il a de la chance que la ville
de NYC n'a pas brûlé . Chaque chose en son temps
 
Entre quelqu'un qui défend les délinquants et un autre qui défend les forces de l'ordre mon choix est vite fait.

On n'a peut-être pas une police parfaite mais elle reste globalement l'une des plus intègres au monde.
CORRUPTION.
Michel Neyret incarcéré pour trafic de drogue
Le directeur adjoint de la police judiciaire de Lyon a été placé hier soir en détention provisoire. Un coup de tonnerre qui met en lumière les relations parfois douteuses entre policiers et malfaiteurs.
http://www.leparisien.fr/une/michel-neyret-incarcere-pour-trafic-de-drogue-04-10-2011-1638352.php
Le premier, Stéphane Alzraa, 31 ans, a déjà été condamné pour escroquerie. Il est soupçonné d'avoir tenté de soudoyer policiers - dont Michel Neyret - et magistrats. L'homme est notamment suspecté d'avoir mis à disposition du commissaire Neyret des Ferrari et Rolls-Royce lors de séjours sur la Côte d'Azur.

Le second, Gilles Benichou, est une figure de la nuit lyonnaise. Il aurait, pour sa part, tenté de tirer d'affaire un trafiquant de cocaïne enfui à à l'étranger. Grâce à Michel Neyret, il tient un petit rôle - celui d'un policier! - dans le dernier film d'Olivier Marchal, Les Lyonnais, comme l'a révélé le quotidien Le Progrès.
**
Un sous-préfet détaché à Bercy détenait cannabis et cocaïne. Il a été placé en garde à vue, puis déféré mardi.
Frédéric L., 44 ans, sous-préfet détaché auprès du ministère des Finances, a été placé en garde à vue pour usage et détention de stupéfiants dans la nuit de lundi à mardi. C'est vers 1 h 30 que les déambulations du haut fonctionnaire ont attiré l'attention de la brigade anti-criminalité du 12e arrondissement de Paris.
Interpellé, l'ancien chef de cabinet du préfet de région était en possession de cocaïne et de cannabis. Placé en garde à vue, il a expliqué alors aux fonctionnaires de police qu'il sortait d'une soirée "particulière" où il a acquis pour 200 euros de cocaïne. À l'issue de sa garde vue, le collaborateur de Pierre Moscovici à Bercy a été déféré au parquet de Paris. Le magistrat de permanence a prononcé une injonction thérapeutique.

Retrouvez cet article sur LePoint.fr
Evidemment le sous préfet n'aura rien du tout à part une injonction thérapeutique . Et oui entre voyous on se couvre n'est ce pas ?
Ceci est la partie visible .
 
non non c'est la police qui est dangeureuse pour le citoyens lambda selon certains ici ..

les jeunes ne font que du sociale en bas des immeubles ... ils portent les courses des grands mere ... aide les grand-pere a garer leur voitures ... font traverser les enfants a l'heure de l'ecole ....

bref que du bonheur ... :cool:
Est ce que tous les policiers sont bons ?
 
Je vais vous resumer la situation à Amiens..durant ces belles journées d'été de ramadan.. ça zone toute la journée en quad, en moto ça fait des derapages et des rodéos en voiture.. ça traine en bande et ça lorgne de travers le moindre representant des forces de l'ordre.. qui leurs le rendent bien il faut dire.. bref les combats de coqs.. perpétuel..
un jeune est mort en scoot, la semaine derniere.. bizarrement je ne peux m'empecher de pencher aux 2 autres qui sont mort il y a un an jour pour jour dans un autre quartier d'amiens à cause justement de ces incivilités.. idem.. un jour d'été..
On ne va pas tomber ds les clichés.. mais Fafet.. et non pas Fasset comme indiqué dans l'article du Parisien, est le repère des petits dealers en tout genre.. pourtant le quartier ne ressemble en rien aux cités des grosses villes.. il a entièrement été refait récemment, la vie est plutôt agréable ds cette ville malgré les apparences.. même si comme partout le boulot manque..
bref un coktail classique.. mais je pense qu'il serait temps que notre communauté sorte de ce processus de victimisation...


ajoutons que la zone vient d'être classée " prioritaire" ......
les dealers se sont fait mettre des batons dans les roues,
avec, enfin, des policiers qui entraient en "zone de non droit"
les bandes, même rivales, sont très bien organisées, surtout à Fafet
ils font la loi depuis bientôt 10 ans,
les autres quartiers similaires ayant été démantelés (détruits, purement et simplement) donc, tous sont maintenant regroupés à Amiens Nord
Amiens sud a été construit de façon que l'accès ne sont que par 3 routes :
plus faciles à surveiller
Philéas lebesgue a été quasiment vidé de ces leaders (regroupés dans un seul sous sol)
donc, tout le marché des produiits illicites se passe à Fafet, et, tout le monde sait que c'est juteux

rien d'étonnant à ce qui vient d'arriver, .........!!!!!!!!! à suivre

mam
 
ajoutons que la zone vient d'être classée " prioritaire" ......
les dealers se sont fait mettre des batons dans les roues,
avec, enfin, des policiers qui entraient en "zone de non droit"
les bandes, même rivales, sont très bien organisées, surtout à Fafet
ils font la loi depuis bientôt 10 ans,
les autres quartiers similaires ayant été démantelés (détruits, purement et simplement) donc, tous sont maintenant regroupés à Amiens Nord
Amiens sud a été construit de façon que l'accès ne sont que par 3 routes :
plus faciles à surveiller
Philéas lebesgue a été quasiment vidé de ces leaders (regroupés dans un seul sous sol)
donc, tout le marché des produiits illicites se passe à Fafet, et, tout le monde sait que c'est juteux

rien d'étonnant à ce qui vient d'arriver, .........!!!!!!!!! à suivre

mam

Tu veux dire que ce ne serait donc pas la faute aux vilains méchants policiers seulement ?
Y en a qui vont être déçus....
 
Émeutes à Amiens : l'inquiétante banalisation de la violence sociale


Par Alain Bertho
Anthropologue

LE PLUS. La nuit dernière, Amiens a été le théâtre de violents affrontements entre la jeunesse et la police, suite à un contrôle de police un peu musclé. Des émeutes qui font écho à celles de Clichy-sous-Bois ou Villiers-le-Bel en 2005 et 2007. Alain Bertho, anthropologue spécialiste de ces phénomènes, nous met en garde contre la banalisation de cette violence, reflet d'un climat social alarmant.


Les échauffourées qui ont eu lieu à Amiens le 13 août ne sont pas vraiment une surprise. Ces événements confirment le maintien, depuis au moins dix ans d’un contentieux lourd entre la jeunesse populaire urbaine et la police, notamment, en France, la brigade anti-criminalité. Là, c'est un contrôle de police un peu musclé qui semble à l’origine des affrontements. C'est une situation extrêmement classique, que l'on observe très régulièrement ailleurs, à la Grande Borne, à Grigny, par exemple.


Une grande tension entre les jeunes et l'État



Cette tension extrême entre une jeunesse stigmatisée, défavorisée et l'État, représenté par la police a pu prendre des dimensions plus dramatiques. On se rappelle les émeutes qui ont suivi, dans toute la France, la mort de Bouna Traoré et Zyed Benna dans le transformateur de Clichy-sous-Bois en octobre 2005.



Plus localisée, l’émeute qui avait secoué Villiers-Le-Bel en 2007 après la mort de Mushin et Larami avait été d’une grande violence. Mais le contentieux se vit aussi au quotidien, dans de multiples humiliations, de très nombreux accrochages forts bien décortiqués dans le documentaire de Marwan Mohamed et Samuel Luret de 2010 ("la tentation de l’émeute", ARTE-Morgane production). Et le contentieux s’élargit car les jeunes aujourd’hui impliqués n’étaient encore que des enfants en 2005…



Un phénomène mondial
 
Lorsque l'on suit un peu attentivement le phénomène, on s’aperçoit que les échauffourées, sinon les émeutes, sont très fréquentes et ne font pas souvent la une des journaux. C’est ici un autobus qui brûle, là des jets de pierre et de bouteilles, ailleurs des voitures incendiées… Le 24 mai, c’est encore la mort d'un jeune à Massy qui a provoqué des affrontements. Cette situation est particulièrement grave en France mais n’est pas propre à notre pays.



Dans le monde depuis 2001, plus de 100 émeutes ont suivi la mort d’un jeune dans laquelle la responsabilité des forces de police était impliquée. Sur tous les continents. On en a eu un exemple à Londres il y a à peine un an, comme à Sidi Bouzid le 17 décembre 2010.


Une banalisation inquiétante



L’émeute nous rappelle régulièrement au réel de cette blessure sociale. Mais le réveil ne dure jamais longtemps.



On en parle pendant trois jours, puis on oublie. Le mot que l'on pourrait employer, c'est la "banalisation". Non qu'il soit "banal" d'affronter la police, avec tous les risques que cela comprend, moins pour sa vie en France que pour des suites judiciaires qui peuvent abolir tout avenir : ces jeunes se mettent gravement en danger pour exprimer une rage, un sentiment d’injustice qu’on ne leur donne pas la possibilité d’exprimer autrement.



Mais parce que l'histoire se répète dans une sorte d’indifférence tranquille.

Propos recueillis par Louise Pothier

http://leplus.nouvelobs.com/contrib...ante-banalisation-de-la-violence-sociale.html
 
La drogue, les dealers et les partages de territoire?

Non?
C’est une des 15 zones prioritaire certes mais ce n’est pas la raison, les versions divergent d’après certains medias les incidents on éclaté suite à une interpellation musclé pendant la cérémonie de deuil, une enquête est en cours pour définir les conséquences exact.
 
Super ... Alain Bertho. Jamais il ne relie les émeutes à la domination territoriale pour le traffic de stupéfiants, ou alors sous la bannière du "Contentieux avec la police". MDR.

http://blogs.mediapart.fr/blog/alain-bertho/200809/l-europe-des-emeutes
Non mais il faut arrêter deux secondes… les émeutes et le trafic ça ne cohabitent pas ensemble, les dileurs pour préserver leur terrains j’imagine qu’ils doivent préférer la quiétude que les feux des projecteurs, Clichy sous-bois de l’époque ce n’était pas une plaque tournante du trafic ni Villiers le bel, le contraire les banlieues réputée dans le trafic était resté plutôt calme…
 
J'ai un contentieux avec mon voisin du dessus pour un dégât des eaux. Mais un "contentieux avec la police" ça veut dire qu'on n'accepte pas la présence policière dans la cité. Si les forces de l'ordre s'approchent de trop, on casse tout, Attila, la politique de la table rase.

Pourquoi ? Pour la force du signal, pour infléchir la politique intérieure qui est déjà pointée du doigt, qui est déjà dans la chaîne de causalité: émeutes après un contrôle d'identité. Sous-entendu, il n'y aurait pas eu des agents de police blessés et plusieurs millions d'euros de dégâts matériels si ce contrôle d'identité n'avait pas eu lieu.

La prochaine fois la police d'interviendra que si il y a un mort. Les fonctionnaires de police n'ont que très moyennement envie d'aller au casse-pipe et se faire tirer dessus à la chevrotine.
 
ajoutons que la zone vient d'être classée " prioritaire" ......
les dealers se sont fait mettre des batons dans les roues,
avec, enfin, des policiers qui entraient en "zone de non droit"
les bandes, même rivales, sont très bien organisées, surtout à Fafet
ils font la loi depuis bientôt 10 ans,
les autres quartiers similaires ayant été démantelés (détruits, purement et simplement) donc, tous sont maintenant regroupés à Amiens Nord
Amiens sud a été construit de façon que l'accès ne sont que par 3 routes :
plus faciles à surveiller
Philéas lebesgue a été quasiment vidé de ces leaders (regroupés dans un seul sous sol)
donc, tout le marché des produiits illicites se passe à Fafet, et, tout le monde sait que c'est juteux

rien d'étonnant à ce qui vient d'arriver, .........!!!!!!!!! à suivre

mam
Mais les vrais coupables crapuleux sont encore la depuis plus de 30 ans .
C'est sur eux que le peuple français doit coigner . Les vrais dépouilleurs
et malfrats sont en cols blancs . C'est eux qui ont créé cette situation .
 
Émeutes à Amiens : l'inquiétante banalisation de la violence sociale


Par Alain Bertho
Anthropologue

LE PLUS. La nuit dernière, Amiens a été le théâtre de violents affrontements entre la jeunesse et la police, suite à un contrôle de police un peu musclé. Des émeutes qui font écho à celles de Clichy-sous-Bois ou Villiers-le-Bel en 2005 et 2007. Alain Bertho, anthropologue spécialiste de ces phénomènes, nous met en garde contre la banalisation de cette violence, reflet d'un climat social alarmant.


Les échauffourées qui ont eu lieu à Amiens le 13 août ne sont pas vraiment une surprise. Ces événements confirment le maintien, depuis au moins dix ans d’un contentieux lourd entre la jeunesse populaire urbaine et la police, notamment, en France, la brigade anti-criminalité. Là, c'est un contrôle de police un peu musclé qui semble à l’origine des affrontements. C'est une situation extrêmement classique, que l'on observe très régulièrement ailleurs, à la Grande Borne, à Grigny, par exemple.


Une grande tension entre les jeunes et l'État



Cette tension extrême entre une jeunesse stigmatisée, défavorisée et l'État, représenté par la police a pu prendre des dimensions plus dramatiques. On se rappelle les émeutes qui ont suivi, dans toute la France, la mort de Bouna Traoré et Zyed Benna dans le transformateur de Clichy-sous-Bois en octobre 2005.



Plus localisée, l’émeute qui avait secoué Villiers-Le-Bel en 2007 après la mort de Mushin et Larami avait été d’une grande violence. Mais le contentieux se vit aussi au quotidien, dans de multiples humiliations, de très nombreux accrochages forts bien décortiqués dans le documentaire de Marwan Mohamed et Samuel Luret de 2010 ("la tentation de l’émeute", ARTE-Morgane production). Et le contentieux s’élargit car les jeunes aujourd’hui impliqués n’étaient encore que des enfants en 2005…



Un phénomène mondial
Tout à fait et pendant ce temps la secte crapuleuse a dépouillé le pays
en laissant la situation pourrir . C'est eux qui faut juger et dépouiller .
Tu as des quartiers avec des taux de chômage à 70 % .
 
Non mais il faut arrêter deux secondes… les émeutes et le trafic ça ne cohabitent pas ensemble, les dileurs pour préserver leur terrains j’imagine qu’ils doivent préférer la quiétude que les feux des projecteurs, Clichy sous-bois de l’époque ce n’était pas une plaque tournante du trafic ni Villiers le bel, le contraire les banlieues réputée dans le trafic était resté plutôt calme…
Tout à fait très mauvais pour leurs affaires
 
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