Onpc : bernard-henri lévy désigne les musulmans comme « les ennemis des juifs »

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Drianke
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heu non c'était pas une guerre civile...des éléments extérieux ont provoqué un incendie sinon en Libye un pays sans dettes extérieures, un pays ou l'analphabétisme était presque inexistant, le pays le plus riche d'Afrique, les femmes protégées et instruites, ou l'électricité était gratuite, ou l'Etat donnait de l'argent pour se marier, meubler les nouveaux couples....

Avant khadafi et après y'a pas photo, les libyens vont pleurer des années encore...

Ou sont les richesses de la Libye? qui les a bouffé? otan and co...merci les chacals!!!

Vous lui donnez beaucoup de pouvoir. La Lybie était en guerre civile, et la chute de Kadhafi s'est faite sous l'égide de l'OTAN. L'armée et ses généraux l'ont lâché. Il n'y avait pas grand monde pour le pleurer à l'époque.
 
heu non c'était pas une guerre civile...des éléments extérieux ont provoqué un incendie sinon en Libye un pays sans dettes extérieures, un pays ou l'analphabétisme était presque inexistant, le pays le plus riche d'Afrique, les femmes protégées et instruites, ou l'électricité était gratuite, ou l'Etat donnait de l'argent pour se marier, meubler les nouveaux couples....

Avant khadafi et après y'a pas photo, les libyens vont pleurer des années encore...

Ou sont les richesses de la Libye? qui les a bouffé? otan and co...merci les chacals!!!
La politique de khadafi etait appelée a s'effondrée de toute façons !
quand tu vois les prix du petrole actuel et ensuite l'eau qui n'appartient pas completement a la Libye mais aussi a l'Algérie, Niger, Tchad et Égypte au vue de la consommation due a khadafi allait dégénérer en conflit d'une manière ou de l'autre
 
heu non c'était pas une guerre civile...des éléments extérieux ont provoqué un incendie sinon en Libye un pays sans dettes extérieures, un pays ou l'analphabétisme était presque inexistant, le pays le plus riche d'Afrique, les femmes protégées et instruites, ou l'électricité était gratuite, ou l'Etat donnait de l'argent pour se marier, meubler les nouveaux couples....

Avant khadafi et après y'a pas photo, les libyens vont pleurer des années encore...

Ou sont les richesses de la Libye? qui les a bouffé? otan and co...merci les chacals!!!

bref une dictature sanguinaire.
le genre de regime qui fini classiquement par un putsh ou une revolution.
en general la situation qui suit la chuter est pire qu'avant, les exemple abondent dans l'histoire, mais cela signifie t-il que les habitant d'un pays doivent fermer leurs gueule et subir ?

tu sais durant des decennies l'URSS etait considéré comme le paradis des travailleurs, ce n'est que plus tard que l'ensemble du monde a vu l'horreur d'y habiter

Et c'est pas Kaddhafi qui aurait eu l'idée de faire des election pour desamorcer la situation.
pas tres humaniste ton idole
 
En fait bien sur que je savais qui il était:D, Je l'avais vu au salon de l'aéroport avant d'embarquer, mais je ne croyais pas qu'il était sur mon vol, et encore moins à coté de moi. Comme je suis assez anti-social dans un avion parce que ça ne m'intéresse pas de discuter pendant 2h40 alors que je peux m'occuper, lire, faire des mails, dormir etc... j'ai été poli, je l'écoutais parce qu'il me parlait de trucs qu'il a fait et j'ai dis que je ne m'intéressais pas aux informations à la télé, et que quand je regardais la télé c t pour voir les lapins crétins.:D Il s'est vexé et a fermé son claquemerde.

alors qu'il te suffisais de dire que tu etais fan de Dieudonné pour qu'il ai une crise cardiaque...
on aurait ete debarrassé de ce pseudo intelectuel
 
bref une dictature sanguinaire.
le genre de regime qui fini classiquement par un putsh ou une revolution.
en general la situation qui suit la chuter est pire qu'avant, les exemple abondent dans l'histoire, mais cela signifie t-il que les habitant d'un pays doivent fermer leurs gueule et subir ?

tu sais durant des decennies l'URSS etait considéré comme le paradis des travailleurs, ce n'est que plus tard que l'ensemble du monde a vu l'horreur d'y habiter

Et c'est pas Kaddhafi qui aurait eu l'idée de faire des election pour desamorcer la situation.
pas tres humaniste ton idole
le Kaddhafisme etait l'egal du communisme ni plus ni moins !
et comme le dit @Drianke "les femmes protégées et instruites" mais pour son usage personel ...les moches selon les criteres du grand leader n'avaient pas cet avantage :)
 
Ancien président de Médecins sans frontières, pourfendeur du droit d’ingérence, Rony Brauman s’est élevé contre l’intervention. Il s’agit pour lui d’une guerre légale, certes, mais "illégitime" et désastreuse. Il met en doute les affirmations jugées grossières d’Al-Jazira et estime que "Benghazi n’était pas menacé d’anéantissement". Thabo Mbeki, ex-président de l’Afrique du Sud, ne mâche pas ses mots : "Nous pensions avoir définitivement mis un terme à cinq cents ans d’esclavage, d’impérialisme, de colonialisme et de néocolonialisme. Or les puissances occidentales se sont arrogé de manière unilatérale et éhontée le droit de décider de l’avenir de la Libye."

Cette forme d’arrogance de "l’homme blanc" déplaît. S’adressant au Conseil de sécurité le 17 mars 2011, le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, fait dans la grandiloquence : "Ce sera l’honneur du Conseil de sécurité d’avoir fait prévaloir en Libye la loi sur la force, la démocratie sur la dictature, la liberté sur l’oppression." Réponse du philosophe français d’origine bulgare Tzvetan Todorov : "L’ordre international incarné par le Conseil de sécurité consacre le règne de la force, non du droit."
 
"L’Afrique a été méprisée." Le président guinéen Alpha Condé, comme ses pairs africains, a vécu l’intervention en Libye comme un coup de force. Alors qu’en Côte d’Ivoire l’Union africaine (UA) peine à pousser son dialogue politique, seule alternative au fracas des armes et au droit d’ingérence, la Libye cristallise le ressentiment de l’organisation panafricaine et de ses poids lourds, Afrique du Sud et Algérie en tête.

En cause, la violation de l’intégrité territoriale d’un pays membre. Jusqu’au bout, l’UA a tenté une médiation entre le CNT et Kadhafi, mais les rebelles ont toujours posé comme préalable le départ du "Guide". Pendant le conflit, les exactions massives contre les immigrés subsahariens, assimilés en bloc à des mercenaires de Kadhafi, et la destruction de la ville à majorité noire de Tawergha n’ont pas contribué à redorer le blason de la rébellion.
 
Élément de la propagande kadhafiste, qui a touché là une corde sensible chez les Occidentaux, la rébellion a été assimilée à ses pires éléments, labellisés Al-Qaïda. Un homme incarne aujourd’hui ce danger, Abdelhakim Belhadj, ancien chef du Groupe islamique combattant en Libye (GICL), autrefois traqué par la CIA et le MI5, transféré en Libyen repenti sous l’égide de Seif el-Islam. Porté à bout de bras par le Qatar, il s’impose comme gouverneur militaire de Tripoli durant l’été 2011. Ses anciens compagnons d’armes sont aujourd’hui nombreux à truster les hauts postes civils et militaires.

Des fuites font état d’une entente entre Paris et le CNT, lequel aurait promis d’accorder un tiers de son or noir à la France en échange de son soutien.

En Cyrénaïque, les pires craintes semblent s’être réalisées depuis que Benghazi et Derna sont devenus des bastions d’Ansar al-Charia. Fin mars 2011, le président tchadien Idriss Déby Itno faisait part à J.A. de son inquiétude face au risque de "déstabilisation régionale" et de "dissémination du terrorisme". Récemment encore, son homologue malien, Ibrahim Boubacar Keïta, nous confiait, en marge du XXIIIe sommet de l’UA à Malabo : "Cette Libye, par le Sud, continue de déverser chez nous des armes et des combattants."
 
Une guerre pour le pétrole

L’intervention aurait été avant tout motivée par l’appât du gain. Première réserve de pétrole d’Afrique et quatrième de gaz, la Libye aurait été convoitée d’abord pour ses ressources. Avec, dans l’ombre, le Qatar, qui lorgnerait, via la France et Total, le fameux gisement NC7, à l’ouest de Tripoli. Pourtant, Kadhafi offrait des conditions particulièrement attractives aux pétroliers étrangers et était prêt, dès 2009, à céder l’exploitation de ce gisement à Total, d’autant que la Libye dispose de 150 milliards de dollars de réserves de change.

Qu’importe, des fuites font état d’une entente entre Paris et le CNT, lequel aurait promis d’accorder un tiers de son or noir à la France en échange de son soutien. Et les théories du complot, alimentées par des kadhafistes et leurs relais médiatiques, de s’emballer sur une myriade d’"accords secrets".

En Occident comme en Afrique, rares sont ceux qui se sont souciés du sort des Libyens durant les quarante-deux ans de règne de Kadhafi. Bien plus qu’une nostalgie présumée du "Guide", c’est une ode à la stabilité disparue qui tourne en boucle. Mali, Centrafrique, Ansar al-Charia en Tunisie… La révolution du 17 février aurait donné naissance à une hydre terroriste qui s’est nourrie de la désagrégation de la Jamahiriya.

Une fois Kadhafi éliminé, personne n’a vraiment aidé les autorités de transition ni même ne les a incitées à amorcer un processus de réconciliation, à désarmer les milices, à mettre en place des institutions et à défaire le jihadisme, qui a pu prospérer et s’exporter. Mais par-delà le fracas des armes, les démocrates poursuivent leur chemin. Le 4 août, un nouveau Parlement a été installé à Tobrouk, en Cyrénaïque. Un symbole.
 
Élément de la propagande kadhafiste, qui a touché là une corde sensible chez les Occidentaux, la rébellion a été assimilée à ses pires éléments, labellisés Al-Qaïda. Un homme incarne aujourd’hui ce danger, Abdelhakim Belhadj, ancien chef du Groupe islamique combattant en Libye (GICL), autrefois traqué par la CIA et le MI5, transféré en Libyen repenti sous l’égide de Seif el-Islam. Porté à bout de bras par le Qatar, il s’impose comme gouverneur militaire de Tripoli durant l’été 2011. Ses anciens compagnons d’armes sont aujourd’hui nombreux à truster les hauts postes civils et militaires.

Des fuites font état d’une entente entre Paris et le CNT, lequel aurait promis d’accorder un tiers de son or noir à la France en échange de son soutien.

En Cyrénaïque, les pires craintes semblent s’être réalisées depuis que Benghazi et Derna sont devenus des bastions d’Ansar al-Charia. Fin mars 2011, le président tchadien Idriss Déby Itno faisait part à J.A. de son inquiétude face au risque de "déstabilisation régionale" et de "dissémination du terrorisme". Récemment encore, son homologue malien, Ibrahim Boubacar Keïta, nous confiait, en marge du XXIIIe sommet de l’UA à Malabo : "Cette Libye, par le Sud, continue de déverser chez nous des armes et des combattants."
purée la liste de dictateurs que tu adules se reduit fortement !!!!
il ne va te rester que Kim Jong-un :):)
 
Ancien président de Médecins sans frontières, pourfendeur du droit d’ingérence, Rony Brauman s’est élevé contre l’intervention. Il s’agit pour lui d’une guerre légale, certes, mais "illégitime" et désastreuse. Il met en doute les affirmations jugées grossières d’Al-Jazira et estime que "Benghazi n’était pas menacé d’anéantissement". Thabo Mbeki, ex-président de l’Afrique du Sud, ne mâche pas ses mots : "Nous pensions avoir définitivement mis un terme à cinq cents ans d’esclavage, d’impérialisme, de colonialisme et de néocolonialisme. Or les puissances occidentales se sont arrogé de manière unilatérale et éhontée le droit de décider de l’avenir de la Libye."

Cette forme d’arrogance de "l’homme blanc" déplaît. S’adressant au Conseil de sécurité le 17 mars 2011, le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, fait dans la grandiloquence : "Ce sera l’honneur du Conseil de sécurité d’avoir fait prévaloir en Libye la loi sur la force, la démocratie sur la dictature, la liberté sur l’oppression." Réponse du philosophe français d’origine bulgare Tzvetan Todorov : "L’ordre international incarné par le Conseil de sécurité consacre le règne de la force, non du droit."

Ce n'es tpa sparce que je dis que Kadaffi etait un horrible dictateur et que la guerre civile qui a eclaté est du essencielleemnt à sa dictature que je cautionne une intervention quelquonque.
si les lybiens se rebellent c'es tleur probleme pas le notre, idem pour les syriens.
 
Une guerre pour le pétrole

L’intervention aurait été avant tout motivée par l’appât du gain. Première réserve de pétrole d’Afrique et quatrième de gaz, la Libye aurait été convoitée d’abord pour ses ressources. Avec, dans l’ombre, le Qatar, qui lorgnerait, via la France et Total, le fameux gisement NC7, à l’ouest de Tripoli. Pourtant, Kadhafi offrait des conditions particulièrement attractives aux pétroliers étrangers et était prêt, dès 2009, à céder l’exploitation de ce gisement à Total, d’autant que la Libye dispose de 150 milliards de dollars de réserves de change.

Qu’importe, des fuites font état d’une entente entre Paris et le CNT, lequel aurait promis d’accorder un tiers de son or noir à la France en échange de son soutien. Et les théories du complot, alimentées par des kadhafistes et leurs relais médiatiques, de s’emballer sur une myriade d’"accords secrets".

En Occident comme en Afrique, rares sont ceux qui se sont souciés du sort des Libyens durant les quarante-deux ans de règne de Kadhafi. Bien plus qu’une nostalgie présumée du "Guide", c’est une ode à la stabilité disparue qui tourne en boucle. Mali, Centrafrique, Ansar al-Charia en Tunisie… La révolution du 17 février aurait donné naissance à une hydre terroriste qui s’est nourrie de la désagrégation de la Jamahiriya.

Une fois Kadhafi éliminé, personne n’a vraiment aidé les autorités de transition ni même ne les a incitées à amorcer un processus de réconciliation, à désarmer les milices, à mettre en place des institutions et à défaire le jihadisme, qui a pu prospérer et s’exporter. Mais par-delà le fracas des armes, les démocrates poursuivent leur chemin. Le 4 août, un nouveau Parlement a été installé à Tobrouk, en Cyrénaïque. Un symbole.

oui il y a aussi les nostaliques de l'URSS ou de l'allemagne de l'Est, regarde donc le film goodbye lenine.
il y a meme des royalistes en France, c'est pour dire.
 
BHL a mis dans la ***** un pays musulman et c'est pour ça qu'il extrêmement fier. Et c'est vrai que du point de vue sioniste, où tout ce qui est musulman est détesté, la destruction et la déstabilisation du monde musulman que l'intervention en Libye a provoqué est une superbe réussite.

Ce n'est pas avec ce genre de personnages que la paix s'installera en israel.
 
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