A l'appel du syndicat agricole de la FDSEA des producteurs de tomates catalans ont collé de nouvelles étiquettes sur des tomates marocaines dans un hypermarché de Perpignan ce vendredi. Pour eux, la mention de l'origine du produit n'est pas assez visible, ils s'estiment défavorisés.
ction coup de poing de producteurs de tomates des Pyrénées-Orientales, à l'appel du syndicat agricole de la FDSEA, ce vendredi 9 septembre dans un hypermarché de Perpignan. Les agriculteurs ont recouvert des barquettes de tomates venant du Maroc d'une nouvelle étiquette, plus visible avec la mention "origine Maroc" écrite en plus grand.
Pour eux, les tomates importées du Maroc sont moins chère que les tomates françaises, et cette signalisation trop petite n'incite pas les consommateurs à choisir en fonction de l'origine du produit et à privilégier une consommation française.
"Si on veut favoriser et aider les producteurs français à continuer à produire en France, il faut quand même favoriser nos productions, enchaîne le président de la FDSEA, les choses doivent être claires pour le consommateur dans les rayons."
ction coup de poing de producteurs de tomates des Pyrénées-Orientales, à l'appel du syndicat agricole de la FDSEA, ce vendredi 9 septembre dans un hypermarché de Perpignan. Les agriculteurs ont recouvert des barquettes de tomates venant du Maroc d'une nouvelle étiquette, plus visible avec la mention "origine Maroc" écrite en plus grand.
Consommation française
Pour le syndicat, les produits importés du Maroc ne sont pas suffisamment identifiables. Si la réglementation européenne est respectée, la mention du pays d'origine n'est pas assez visible selon les producteurs.Pour eux, les tomates importées du Maroc sont moins chère que les tomates françaises, et cette signalisation trop petite n'incite pas les consommateurs à choisir en fonction de l'origine du produit et à privilégier une consommation française.
"Favoriser nos produits"
"Quand le consommateur passe dans les rayons et voit les barquettes, il est incapable de reconnaître l'origine des produits, il lui faut une loupe", explique, amer, Bruno Villa producteur maraîcher de tomates à Saint Cyprien et président de la FDSEA 66."Si on veut favoriser et aider les producteurs français à continuer à produire en France, il faut quand même favoriser nos productions, enchaîne le président de la FDSEA, les choses doivent être claires pour le consommateur dans les rayons."
Opération étiquetage de tomates marocaines par des producteurs catalans dans un hypermarché
A l'appel du syndicat agricole de la FDSEA des producteurs de tomates catalans ont collé de nouvelles étiquettes sur des tomates marocaines dans un hypermarché de Perpignan ce vendredi. Pour eux, la mention de l'origine du produit n'est pas assez visible, ils s'estiment défavorisés.
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