Le tribunal administratif d’Oujda s’est penché hier sur l’affaire déposée par 6 élus PAM d’Oujda contre le Conseil de la ville. La juridiction a in fine décidé de reporter l’audience au 18 suite à une demande de la défense du Conseil de la ville, qu’elle puisse s’enquérir de la plainte déposée et préparer sa défense.
Dans les faits, la défense des 6 élus PAM d’Oujda remet en cause le processus de restructuration des Commissions permanents du Conseil de la ville. Les dessous de cette affaire remontent à la session extraordinaire tenue par le Conseil de la ville d’Oujda, courant août, suivie d’une entente cordiale entre certains élus PAM avec leurs homologues PJD, à savoir que ces derniers ont fini par faire l’objet d’une sanction disciplinaire de la part des instances centrales du parti.
En vertu de l’accord conclu entre ces deux composantes du Conseil de la ville d’Oujda, un vote a été entrepris afin de dissoudre les commissions permanentes, révoquer leurs présidents et leurs suppléants, puis les reconstituer. Cette situation inattendue a en effet suscité l’incompréhension de leurs camarades de parti qui ont décidé de recourir à la justice.
Présidé par l’Istiqlalien Omar Hejira, le Conseil de la ville d’Oujda semble nettement divisé par des problèmes internes propres aux élus PJD, en conflit avec le Secrétariat général de leur parti à Rabat et des problèmes d’ordre organisationnel pour les élus PAM, un parti également en pleine lutte intestine.
Courant août, des membres du secrétariat régional ont été démis de leurs fonctions en raison de cette alliance jugée « contre-nature » avec les élus PAM à Oujda. Les élus des deux bords envisageaient même la possibilité de se présenter aux élections sur une liste indépendante.
Cette initiative avait suscité l’ire de plusieurs dirigeants centraux du parti islamiste, d’autant plus qu’ils mesurent la force d’adhésion des membres du secrétariat régional, y compris leur engagement parallèle dans le rang de l’aile prédicatrice du parti, le MUR. Mais Le secrétariat général du PJD, avec Saâd-Eddine El Othmani à sa tête, a décidé de dissoudre la section du parti à Oujda.
https://fr.hespress.com/94517-oujda-6-elus-pam-intentent-en-justice-le-conseil-de-la-ville.html
Dans les faits, la défense des 6 élus PAM d’Oujda remet en cause le processus de restructuration des Commissions permanents du Conseil de la ville. Les dessous de cette affaire remontent à la session extraordinaire tenue par le Conseil de la ville d’Oujda, courant août, suivie d’une entente cordiale entre certains élus PAM avec leurs homologues PJD, à savoir que ces derniers ont fini par faire l’objet d’une sanction disciplinaire de la part des instances centrales du parti.
En vertu de l’accord conclu entre ces deux composantes du Conseil de la ville d’Oujda, un vote a été entrepris afin de dissoudre les commissions permanentes, révoquer leurs présidents et leurs suppléants, puis les reconstituer. Cette situation inattendue a en effet suscité l’incompréhension de leurs camarades de parti qui ont décidé de recourir à la justice.
Présidé par l’Istiqlalien Omar Hejira, le Conseil de la ville d’Oujda semble nettement divisé par des problèmes internes propres aux élus PJD, en conflit avec le Secrétariat général de leur parti à Rabat et des problèmes d’ordre organisationnel pour les élus PAM, un parti également en pleine lutte intestine.
Courant août, des membres du secrétariat régional ont été démis de leurs fonctions en raison de cette alliance jugée « contre-nature » avec les élus PAM à Oujda. Les élus des deux bords envisageaient même la possibilité de se présenter aux élections sur une liste indépendante.
Cette initiative avait suscité l’ire de plusieurs dirigeants centraux du parti islamiste, d’autant plus qu’ils mesurent la force d’adhésion des membres du secrétariat régional, y compris leur engagement parallèle dans le rang de l’aile prédicatrice du parti, le MUR. Mais Le secrétariat général du PJD, avec Saâd-Eddine El Othmani à sa tête, a décidé de dissoudre la section du parti à Oujda.
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