Pas de vie sociale

madalena

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J'ai bien compris ce que tu recherchais.

Apparemment, tu n'arrives pas Ă  l'obtenir (une amie sincĂšre) et moi ce que j'essaye de faire, c'est de t'expliquer comment je pense
qu'on peut y parvenir, petit Ă  petit.

Je t'invite Ă  relire mon message.


salam

j'ai compris...et combien de temps ça va prendre? et si je me trompe?

je ne veux plus....je suis fatiguée...
 
A

AncienMembre

Non connecté
salam

oui! puis je remarque que ceux que j'apprécie s'en fiche de moi...elle tiens pas à moi comme je tiens à elle...alors j'en est marre...ou bien j'avais cru qu'elle tenais à moi...

alors je préfÚre rester seule...


je pense que tu as deux problĂšmes

1/ tu te dévalorises énormément, il faut reprendre confiance en toi et faire des choses positives dans TA vie, pas que POUR les autres (tes enfants). POur cela il va falloir dégager du temps et te trouver des envies, loisirs, projets

2/ une question d'organisation: ne te laisse pas dĂ©border par tes enfants. Il faut absolument que chaque semaine tu aies un moment pour TOI oĂč tu feras ce que TOI TU VEUX. sans eux. organise toi (fais les garder).

Courage
 
Aucune sortie entre copines absolument rien ..
C pathétique je le sais
Salam 3alaykoum,

Il y a pas que les copines dans la vie, et ce n'est pas pathétique de ne pas en avoir ;)

AprĂ©s une longue pĂ©riode sans copinage pour diverses dĂ©ceptions, j'ai tentĂ© de nouveau mais j'ai vu que c'Ă©tait que par intĂ©rĂȘts et services (moi quand je demande ya plus personne) et une fois que tu dis non tu les revoient plus 🙃, ça mĂȘme rajoutĂ© des problĂ©mes enfin bref...

J'en ai qu'une seule qui correspond à ma vision de l'amitié ^-^ , on se voit rarement mais on discute souvent , et de temps en temps sorties avec nos enfants mais ça reste rare ..

J'ai eu le mĂȘme soucis que toi Ă  un moment et la solution c'est avant tout de te trouver Une/des Occupation's mĂȘme avec tes enfants, sortir avec eux , faire des activitĂ©s ...

Ils grandissent vite, et ceci n'est qu'une passade ... Nos parents ressentent l'effet inverse une fois que le nid se vide ... Lol
 

madalena

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je pense que tu as deux problĂšmes

1/ tu te dévalorises énormément, il faut reprendre confiance en toi et faire des choses positives dans TA vie, pas que POUR les autres (tes enfants). POur cela il va falloir dégager du temps et te trouver des envies, loisirs, projets

2/ une question d'organisation: ne te laisse pas dĂ©border par tes enfants. Il faut absolument que chaque semaine tu aies un moment pour TOI oĂč tu feras ce que TOI TU VEUX. sans eux. organise toi (fais les garder).

Courage


salam

et bien je fais des sorties avec mes filles et j'aime bien....

je sais pas quoi faire...puis elles sont grande déjà...
 
A

AncienMembre

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salam

j'ai compris...et combien de temps ça va prendre? et si je me trompe?

je ne veux plus....je suis fatiguée...

Combien de temps? Moi je sais pas, ça dépendra de toi.

Et entre nous, ça ne devrait pas ĂȘtre la premiĂšre question que tu dois te poser.
En fait, ton Ă©tat d'esprit (l'impatience) n'est pas bon Ă  mon avis.

Tu es majeure, tu as des enfants - qui sont grandes d'aprĂšs ce que j'ai pu lire. Tu as des belles qualitĂ©s : tu es une bonne mĂšre, tu es persĂ©vĂ©rante, dans ta foi et dans l'Ă©ducation de tes filles, dans ton travail, tu as bon cƓur etc.

NĂ©anmoins, j'ai pu remarquer une certaine souffrance chez toi - tu l'exprimes toi-mĂȘme dans tes messages. Si tu me permets, je vais te donner mon avis, tu en feras ce que tu voudras.

Tu as peut-ĂȘtre un manque de maturitĂ© qui, pour une adulte, rend toute frustration difficile Ă  vivre.
C'est ce qui ressort de ce topic : "je veux une amie sincÚre. C'est ça, ou rien" ; "Comme on se désintéresse de moi, je boude et je m'isole".
Cela ressemble aux rĂ©actions d'une enfant qui n'a pas ce qu'elle veut. C'est trĂšs courant chez Ă©normĂ©ment d'adultes. MĂȘme moi j’en suis pas Ă  l’abri.

AprÚs, tout est question de degré. Certains arrivent à vivre avec : ils font en sorte d'avoir ce qu'ils désirent, avec beaucoup d'efforts. Mais le problÚme de l'insatisfaction en cas d'échec est toujours là. Il se traduit par de la colÚre, de l'agressivité etc.
D'autres obtiennent rarement ce qu'ils veulent et enchaßnent les frustrations sans réussir à relativiser. Je pense que beaucoup de personnes dépressives se retrouvent dans ce cas. Souvent, ils mettent tout sur le compte des autres : "moi je suis pur, c'est les autres qui sont tordus, malveillants etc." Comme cette pensée est plus confortable que se remettre en question, alors ils renoncent à la société. Ils conservent néanmoins une tristesse profonde dans la solitude qui empire avec l'ùge.

D'autres, enfin, ceux qu’il faut essayer de prendre pour exemple si on veut changer en bien, ont conscience de leur situation (difficultĂ©s, dĂ©fauts etc.). Ils font un travail pour amĂ©liorer leur rapport avec l'objet de leur dĂ©sir. « J’ai pas ce que je veux, tant pis, c’est pas grave » tout en restant apaisĂ©s. Quand on n’est pas souple et serein par nature, ce n’est pas Ă©vident. On y arrive pas du jour au lendemain.

Commencer par ne pas tenir les autres pour responsables de tous nos maux : "tiens, peut-ĂȘtre que le problĂšme vient un peu de moi".

Ensuite, ĂȘtre lucide la rĂ©alitĂ© : "tout n'est pas blanc ou noir, les gens ont des qualitĂ©s et des dĂ©fauts, il ne faut pas attendre la lune de leur part ni jeter bĂ©bĂ© avec l'eau du bain" ; « peut-ĂȘtre que moi aussi je ne suis pas facile ». « Tant que je ne me serai pas amĂ©liorĂ©, je ne devrais pas m’attendre Ă  ce que les autres me tombent dans les bras ou m’invitent dans leur intimitĂ© ». Ça s’appelle relativiser.

Toi, tu as la chance d’avoir l’islam. L’islam facilite Ă©normĂ©ment ce travail de relativisation. En effet – et je suis le premier Ă  me faire ce rappel – ce qui compte, c’est d’adorer Allah et lui plaire par notre comportement. Le reste a trĂšs peu d’importance.
On sait ce qu’on a Ă  faire et on n’a pas le temps de se prĂ©occuper du superflu (« un tel est mĂ©chant, un tel m’a fait ceci ou cela ». Ou encore, "les gens sont pourris, ça vaut mieux de rester seul". D'une part, c'est faux - il y a des gens gĂ©niaux, on n'est juste pas capable de les connaĂźtre et les frĂ©quenter -d'autre part, raisonner comme ça n'est pas conforme Ă  l'islam selon moi.

Cultiver sa sociabilitĂ©, le croyant devrait le voir comme un acte d’adoration d’Allah.
C’est aussi, comme je l’ai dit dans mon prĂ©cĂ©dent message, un besoin humain.
Il ne faut pas lui donner une importance dĂ©mesurĂ©e : « je veux une amie sincĂšre, qui est prĂȘte Ă  tout pour moi comme moi pour elle ». C’est inutile et vouĂ© Ă  l’échec si on n’a pas la maturitĂ© suffisante pour y arriver.

C’est pourquoi je te rĂ©pĂšte : quand on reprend le chemin d’une vie avec les autres aprĂšs des annĂ©es de solitude, il faut ĂȘtre humble et patient. Se contenter d’ĂȘtre avec les gens dans le cadre d’activitĂ©s bien dĂ©finies (Ă©vĂ©nements organisĂ©s par la mosquĂ©e par exemple, vente de gĂąteaux, collecte, activitĂ©s associatives, je sais pas) et ne pas chercher plus loin. S’efforcer de garder ses problĂšmes et ses difficultĂ©s pour soi. Toujours ĂȘtre bienveillant et gĂ©nĂ©reux. Les gens apprĂ©cient les personnes discrĂštes et positives. A bon entendeur...

C’est comme ça qu’on progresse. Le temps que ça prends, aucune idĂ©e. Mais on s’en fiche. L’important, c’est de se lancer et d’ĂȘtre patient.
 
Mais non je suis pas une femme
Le message que je voulais lui faire passer c'est qu'on parle pas de moi mais d'elle, en effet c'est elle qui a un problĂšme familial d'oĂč mon message 4 enfants et femme au foyer
En fait ta pas compris mon post je crois
Je c pas ou ta lu qye mon pb c les enfants et mon mari et pk tu pzrle de divorce direct les grands mots
Le rapport il est ou stp
Bon bref visiblement t es pas une femme donc merci ...
 
Salam 3alaykoum,

Il y a pas que les copines dans la vie, et ce n'est pas pathétique de ne pas en avoir ;)

AprĂ©s une longue pĂ©riode sans copinage pour diverses dĂ©ceptions, j'ai tentĂ© de nouveau mais j'ai vu que c'Ă©tait que par intĂ©rĂȘts et services (moi quand je demande ya plus personne) et une fois que tu dis non tu les revoient plus 🙃, ça mĂȘme rajoutĂ© des problĂ©mes enfin bref...

J'en ai qu'une seule qui correspond à ma vision de l'amitié ^-^ , on se voit rarement mais on discute souvent , et de temps en temps sorties avec nos enfants mais ça reste rare ..

J'ai eu le mĂȘme soucis que toi Ă  un moment et la solution c'est avant tout de te trouver Une/des Occupation's mĂȘme avec tes enfants, sortir avec eux , faire des activitĂ©s ...

Ils grandissent vite, et ceci n'est qu'une passade ... Nos parents ressentent l'effet inverse une fois que le nid se vide ... Lol
Je vois ce que tu veux dire oui
Je cherche pas 20 mille copines mm juste une gentille sa suffit

Jss pas le genre a copiner avec tt le monde et o final etre l amie de personne
Mes filles sont encore yrop petite pr fr des activités ensemble elles st pas tt a fait autonome de plus jss pas capable de les fr garde par qui que se soit sauf mon mari et ma mere

D ou je pense mon manque de disponibilité pour cree des liens sociaux avec des adultes
 
Combien de temps? Moi je sais pas, ça dépendra de toi.

Et entre nous, ça ne devrait pas ĂȘtre la premiĂšre question que tu dois te poser.
En fait, ton Ă©tat d'esprit (l'impatience) n'est pas bon Ă  mon avis.

Tu es majeure, tu as des enfants - qui sont grandes d'aprĂšs ce que j'ai pu lire. Tu as des belles qualitĂ©s : tu es une bonne mĂšre, tu es persĂ©vĂ©rante, dans ta foi et dans l'Ă©ducation de tes filles, dans ton travail, tu as bon cƓur etc.

NĂ©anmoins, j'ai pu remarquer une certaine souffrance chez toi - tu l'exprimes toi-mĂȘme dans tes messages. Si tu me permets, je vais te donner mon avis, tu en feras ce que tu voudras.

Tu as peut-ĂȘtre un manque de maturitĂ© qui, pour une adulte, rend toute frustration difficile Ă  vivre.
C'est ce qui ressort de ce topic : "je veux une amie sincÚre. C'est ça, ou rien" ; "Comme on se désintéresse de moi, je boude et je m'isole".
Cela ressemble aux rĂ©actions d'une enfant qui n'a pas ce qu'elle veut. C'est trĂšs courant chez Ă©normĂ©ment d'adultes. MĂȘme moi j’en suis pas Ă  l’abri.

AprÚs, tout est question de degré. Certains arrivent à vivre avec : ils font en sorte d'avoir ce qu'ils désirent, avec beaucoup d'efforts. Mais le problÚme de l'insatisfaction en cas d'échec est toujours là. Il se traduit par de la colÚre, de l'agressivité etc.
D'autres obtiennent rarement ce qu'ils veulent et enchaßnent les frustrations sans réussir à relativiser. Je pense que beaucoup de personnes dépressives se retrouvent dans ce cas. Souvent, ils mettent tout sur le compte des autres : "moi je suis pur, c'est les autres qui sont tordus, malveillants etc." Comme cette pensée est plus confortable que se remettre en question, alors ils renoncent à la société. Ils conservent néanmoins une tristesse profonde dans la solitude qui empire avec l'ùge.

D'autres, enfin, ceux qu’il faut essayer de prendre pour exemple si on veut changer en bien, ont conscience de leur situation (difficultĂ©s, dĂ©fauts etc.). Ils font un travail pour amĂ©liorer leur rapport avec l'objet de leur dĂ©sir. « J’ai pas ce que je veux, tant pis, c’est pas grave » tout en restant apaisĂ©s. Quand on n’est pas souple et serein par nature, ce n’est pas Ă©vident. On y arrive pas du jour au lendemain.

Commencer par ne pas tenir les autres pour responsables de tous nos maux : "tiens, peut-ĂȘtre que le problĂšme vient un peu de moi".

Ensuite, ĂȘtre lucide la rĂ©alitĂ© : "tout n'est pas blanc ou noir, les gens ont des qualitĂ©s et des dĂ©fauts, il ne faut pas attendre la lune de leur part ni jeter bĂ©bĂ© avec l'eau du bain" ; « peut-ĂȘtre que moi aussi je ne suis pas facile ». « Tant que je ne me serai pas amĂ©liorĂ©, je ne devrais pas m’attendre Ă  ce que les autres me tombent dans les bras ou m’invitent dans leur intimitĂ© ». Ça s’appelle relativiser.

Toi, tu as la chance d’avoir l’islam. L’islam facilite Ă©normĂ©ment ce travail de relativisation. En effet – et je suis le premier Ă  me faire ce rappel – ce qui compte, c’est d’adorer Allah et lui plaire par notre comportement. Le reste a trĂšs peu d’importance.
On sait ce qu’on a Ă  faire et on n’a pas le temps de se prĂ©occuper du superflu (« un tel est mĂ©chant, un tel m’a fait ceci ou cela ». Ou encore, "les gens sont pourris, ça vaut mieux de rester seul". D'une part, c'est faux - il y a des gens gĂ©niaux, on n'est juste pas capable de les connaĂźtre et les frĂ©quenter -d'autre part, raisonner comme ça n'est pas conforme Ă  l'islam selon moi.

Cultiver sa sociabilitĂ©, le croyant devrait le voir comme un acte d’adoration d’Allah.
C’est aussi, comme je l’ai dit dans mon prĂ©cĂ©dent message, un besoin humain.
Il ne faut pas lui donner une importance dĂ©mesurĂ©e : « je veux une amie sincĂšre, qui est prĂȘte Ă  tout pour moi comme moi pour elle ». C’est inutile et vouĂ© Ă  l’échec si on n’a pas la maturitĂ© suffisante pour y arriver.

C’est pourquoi je te rĂ©pĂšte : quand on reprend le chemin d’une vie avec les autres aprĂšs des annĂ©es de solitude, il faut ĂȘtre humble et patient. Se contenter d’ĂȘtre avec les gens dans le cadre d’activitĂ©s bien dĂ©finies (Ă©vĂ©nements organisĂ©s par la mosquĂ©e par exemple, vente de gĂąteaux, collecte, activitĂ©s associatives, je sais pas) et ne pas chercher plus loin. S’efforcer de garder ses problĂšmes et ses difficultĂ©s pour soi. Toujours ĂȘtre bienveillant et gĂ©nĂ©reux. Les gens apprĂ©cient les personnes discrĂštes et positives. A bon entendeur...

C’est comme ça qu’on progresse. Le temps que ça prends, aucune idĂ©e. Mais on s’en fiche. L’important, c’est de se lancer et d’ĂȘtre patient.
Merci c exactement mon etat d esprit aussi
Tu ma remontée le moral
 
Merci amine tu me comprends tt a fait
Piur l instant j attend que ma derniere entre a l ecole g pour projet de troyver un travail inchallah le 1er depuis que g quitter le lycee et que jss mariée
Une fois qu il on passe 3ans inchallah ils st plus autonome
Juste un mi temps histoire de pas les délaisser non plus

que dieu te facilite tout cela, amene, car oui pas facile de concilier , mais pas impossible non plus ;)
 
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