Pédophilie : 4 à 5 signalements d'enseignants

Drianke

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Villejuif (Val-de-Marne) : un professeur d'anglais écroué pour l'envoi de photos pornographiques à des mineurs

Mis à jour : 10-06-2015

FAIT DIVERS - Un enseignant de Villejuif (Val-de-Marne) a été interpellé lundi par les forces de l'ordre. Agé de 41 ans, il est soupçonné de corruption de mineurs, détention et diffusion d'images pédopornographiques. Il a "partiellement reconnu les faits", d'après le parquet, et a été écroué mercredi soir.

C'est un signalement transmis via le bureau Interpol en Australie qui a permis de remonter jusqu'à lui. Lundi dernier, un professeur d'anglais de Villejuif (Val-de-Marne) âgé de 41 ans a été interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de l’office central de répression des violences aux personnes (OCRVP) à Nanterre (Hauts-de-Seine), a fait savoir le parquet de Créteil confirmant une information France Info.

Le quadragénaire en exercice est soupçonné d'avoir envoyé des messages et des images de lui à caractère pornographique avec des enfants australiens. "Une information judiciaire a été ouverte pour corruption de mineurs de moins de 15 ans via Internet, diffusion d'images pornographiques susceptibles d'être vues par un mineur et détention d'images pédopornographiques", a indiqué le parquet de Créteil joint ce mercredi par metronews.
 
Reuters -
Cinq ans de prison, dont deux ferme, ont été requis contre un ancien pédiatre soupçonné d'agressions sexuelles sur des jeunes filles mineures, lors d'un procès qui s'est achevé dans la nuit de lundi à mardi à Angers.

Les faits se seraient produits de la fin des années 1960 au début des années 1990. Lors de l'enquête, 14 jeunes femmes avaient affirmé aux enquêteurs avoir été victimes d'attouchements commis par le pédiatre alors qu'elles étaient enfants ou adolescentes.

Cependant, pour la majorité d'entre elles, ils se sont révélés prescrits. En conséquence, l'ancien pédiatre, aujourd'hui âgé de 83 ans, comparaissait lundi devant le tribunal correctionnel d'Angers pour des faits présumés d'agressions sexuelles sur quatre mineures de moins de 15 ans par personne ayant autorité, commis entre 1986 et 1992.

L'information judiciaire avait été ouverte en octobre 2012 à la suite de la plainte d'une femme de 34 ans, qui avait confié aux enquêteurs avoir été victime d'attouchements de 1987 à 1992 dans le cabinet du médecin et en l'absence de ses parents.

"Je me rappelle précisément la fermeture de cette porte et le fait que j?allais passer un mauvais moment. J?ai encore le son de sa voix", a-t-elle témoigné lundi soir à la barre.

La même année, deux autres jeunes femmes se présentaient devant les policiers pour dénoncer des faits similaires, mais aussi des faits de viols, commis lorsqu'elles avaient moins de 10 ans. Les chefs de viols n'ont finalement pas été retenus contre le pédiatre.

De nouveaux témoignages étaient enregistrés par les enquêteurs à partir de 2013, après que la presse eut fait état des soupçons pesant sur le médecin.

Le retraité, qui a invoqué pour sa défense de nombreux "trous de mémoire", a toujours contesté les faits, évoquant l'impossibilité matérielle de se retrouver isolé avec ses patientes et le caractère infondé de certains gestes médicaux qui lui sont attribués.

A la barre, l'une des victimes présumées a ainsi raconté avoir subi des agressions lors d?examens pour un "eczéma pubien". "Ça n?existe pas", lui a rétorqué l?ex-médecin. "C?est écrit sur le carnet de santé que vous avez signé", lui répondra-t-elle plus tard. Et d'ajouter: "Je suis soulagée de pouvoir parler, de voir que je ne suis pas toute seule."

L'avocat du pédiatre, Me Antoine Baret, n?a pas plaidé sur le fond, mais simplement sur la question de la prescription.

Le jugement a été mis en délibéré au 13 août.
 
Besançon : déjà condamné pour viol, un homme écroué pour attouchements sur des fillettes
Un homme de 51 ans, condamné par le passé à une lourde peine de prison pour viol de mineur, a été écroué ce samedi pour avoir agressé sexuellement deux fillettes la semaine dernière à Besançon, a-t-on appris de source judiciaire.

Le suspect avait été condamné en 1996 à 18 ans de réclusion criminelle pour viol, puis à nouveau en 2005 pour détention d’images pédopornographiques.

Il est soupçonné de s’être livré récemment à des attouchements et des gestes impudiques sur deux fillettes de 11 ans, dans les parties communes d’un immeuble. Il a été par la suite repéré par les mères de ses petites victimes, qui le recherchaient, et qu’il a tenté de frapper avant l’arrivée de la police.

Il a été mis en examen samedi pour « agressions sexuelles sur mineures de moins de 15 ans et violences volontaires », et placé en détention provisoire.
bfmtv
 
Pas chère la note mais est ce étrange ?

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L'animateur d'une classe verte mis en examen pour agressions sexuelles sur neuf fillettes
- L'homme âgé de 29 a été placé sous contrôle judiciaire...

L'animateur d'une classe verte réunissant des classes parisiennes de CM1-CM2 à Plévenon (Côtes-d'Armor), a été mis en examen samedi pour agressions sexuelles sur mineures de 15 ans par un juge d'instruction de Saint-Malo, a-t-on appris auprès du parquet de cette ville.

L'homme âgé de 29, un intervenant de la mairie du 17e arrondissement de Paris, a été placé sous contrôle judiciaire et sa mise en examen a été assortie d'une interdiction d'exercer toute activité au contact des enfants, a précisé le procureur de Saint-Malo, Alexandre de Bosschère.

Neuf fillettes l'accusent d'avoir eu «des gestes déplacés»

Neuf fillettes âgées de 10 et 11 ans, qui ont été entendues par les enquêteurs, accusent l'animateur, qui nie les faits, d'avoir eu «des gestes déplacés sur les cuisses, les fesses ou la poitrine», selon le procureur.

«Il s'agit de gestes effectués de manière furtive, lors de jeux en présence d'autres adultes», et par-dessus les vêtements, a précisé Alexandre de Bosschère.

Le parquet a estimé que la répétition des faits et leur «caractère déplacé» justifiait la qualification d'agressions sexuelles. Il avait requis la mise en examen du jeune homme.

Suspendu de ses fonctions

L'animateur, pour sa part, les conteste. Le jeune homme, qui travaille depuis plusieurs années comme animateur, ne présente aucun antécédent et ses précédents employeurs indiquent n'avoir jamais eu connaissance de faits similaires, a encore indiqué le procureur.

Les jeunes élèves en classe verte à Plévenon ont quitté la Bretagne vendredi soir et regagné la capitale où un dispositif d'accompagnement est prévu pour les enfants et leurs familles.

L'animateur avait été, lui, suspendu de ses fonctions dès que les faits avaient été signalés à la gendarmerie par le maire de Plévenon.
20minutes.fr
 
En plus du casier judiciaire, je suis pour une consultation en psy, c'est la vie d'un petit être innocent qui ne connaît rien, une fois violé, il peut être traumatisé à vie etc... Il faut que chaque prof consulte un psy pour son bien, et le bien des élèves.
 

Drianke

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Un ancien instituteur, déjà condamné pour des faits de pédophilie dans les années 1990, a écopé mardi de cinq ans de prison pour des agressions sexuelles sur trois garçons.

Le tribunal correctionnel de Créteil a assorti cette peine d'un suivi socio-judiciaire de quatre ans. Lors de l'audience, les juges se sont penchés sur deux périodes distinctes: d'abord des faits commis de 1993 à 1994, qu'il a niés, puis des faits survenus entre 2008 et 2013, qu'il a reconnus. A chaque fois, les victimes étaient de jeunes garçons âgés de 8 à 12 ans.

« Je suis poursuivi par les regrets et les remords, c'est quelque chose qui me hante », a déclaré le prévenu. « J'ai conscience de la gravité des faits et des conséquences sur ces enfants. »

En 1995, cet homme de 58 ans était instituteur dans une école primaire de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), lorsque quatre enfants se sont plaints d'attouchements sexuels. Suspendu de l'Éducation nationale en 1998 et jugé en 1999, il avait écopé à l'époque de dix mois de prison avec sursis.

Mais en novembre 2013, une nouvelle plainte est déposée contre lui. Les deux garçons d'un couple d'amis très proches l'accusent de les avoir agressés sexuellement pendant plusieurs années.

A reconnu les attouchements

A cette même période, un de ses anciens élèves dépose également plainte pour des agressions commises entre 1993 et 1994. Ce n'est qu'après une psychothérapie que cet homme, aujourd'hui âgé de trente ans, a eu la force de témoigner. S'il a contesté ces faits, le prévenu a en revanche reconnu les attouchements sur les deux frères. « Moi, j'avais découvert la sexualité comme ça, et c'était pour moi une façon de leur faire découvrir la leur », a-t-il expliqué, laissant entendre que les enfants avaient pu être « demandeurs ».

La procureure avait requis une peine de sept ans de prison. « Il a une attirance sexuelle pour les enfants. C'est un pédophile », avait-elle affirmé, pointant un risque de récidive.


Ouest France

 

Drianke

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Toulouse: suspension d'un prof remplaçant soupçonné de gestes déplacés

Un professeur des écoles remplaçant, soupçonné de "gestes déplacés" sur des élèves de CP d'une école de Toulouse, a été "suspendu" par l'Éducation nationale, tandis qu'"une enquête est en cours", a-t-on appris lundi auprès de l'inspection académique et du parquet.

"L'enseignant a été suspendu par l'Éducation nationale à titre de précaution", a indiqué un membre du cabinet de l'inspecteur d'académie à Toulouse. "Il est soupçonné de gestes déplacés sur des enfants. Des parents ont déposé plainte."

Des élèves s'étaient plaints du comportement de l'enseignant quand il avait fait "une seule journée de remplacement dans une classe de CP" de l'école publique Les Tibaous, le 16 juin, selon la même source.

Aucune indication n'a été donnée sur cet homme, qui n'a a priori "pas d'antécédents" judiciaires, selon l'administration.
Appelant à la prudence, le parquet a simplement indiqué qu'"une enquête était en cours pour mener toutes les investigations relatives aux auditions et déclarations" des enfants, sans livrer davantage d'éléments.

L'Éducation nationale se veut particulièrement vigilante après de récents scandales de pédophilie à l'école.

Le Parisien
 

Drianke

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Les affaires de pédophilie à l'école se multiplient.

Mais il est souvent difficile de discerner fausses accusations et réelle culpabilité. Un texte de loi sera débattu ce mercredi à l'Assemblée nationale afin de faciliter l'échange d'informations entre la justice et l’Éducation nationale. Pour l'heure, l'association Ange Bleu tente de dénoncer ces actes.

http://ange-bleu.com/category/actualites
 
Reuters - Deux juges d'instruction vont relancer les enquêtes concernant Charazed Bendouiou, 10 ans, disparue en 1987, Ludovic Janvier, 6 ans, disparu en 1983 et Grégory Dubrulle, enlevé à Grenoble en 1983 et ayant miraculeusement survécu.


Envoyée spéciale à Grenoble


C'est l'histoire d'un dossier perdu, ouvert, fermé, puis réouvert.
La cour d'appel de Grenoble a ordonné mardi 23 juin la réouverture de trois affaires de disparition d'enfants datant des années 80 en Isère. Il s'agit des enquêtes sur les disparitions de Charazed Bendouiou, 10 ans, le 8 juillet 1987 à Bourgoin-Jallieu, de Ludovic Janvier, 6 ans, le 17 mars 1983 à Saint-Martin d'Hères et de Grégory Dubrulle en juillet 1983. Alors âgé de 8 ans, ce dernier avait été enlevé par un homme au bas de son domicile à Grenoble et laissé pour mort, le crâne fracassé, dans une décharge du massif de la Chartreuse. Le petit garçon avait survécu par miracle mais son agresseur n'avait jamais été retrouvé.

Ces trois affaires font partie d'un ensemble de neuf disparitions mystérieuses et de meurtres survenus dans la région dans les années 80, connu sous le terme des «disparus de l'Isère.» C'est l'un des cold-case les plus importants de notre pays. L'enquête menée initialement dans les années 80 sur ces cas a fait l'objet de très nombreuses critiques. Des dossiers y ont disparu, mais, plus grave, des corps humains auraient été détruits sur décision de justice.

La cour demande aux juges de faire «beaucoup» d'investigations En novembre dernier, les juges d'instruction chargés des dossiers avaient rendu une ordonnance de non-lieu dans ces trois affaires. Le parquet estimait en effet que tous les éléments d'investigation avaient été exploités dans ces dossiers, que les enquêteurs ne pouvaient mettre la main sur les (...)
 
Chambéry -
L’éducateur accusé de viols et d’agression sexuelle acquitté Une fraction de seconde, un regard interrogatif. Et les larmes, irrépressibles, lui montent aux yeux. Puis, Emmanuel Rorif, 50 ans, grand costaud
Ledauphine
 
JUSTICE - Le parquet aura dans certains cas l'obligation de prévenir l'employeur d'une personne mise en examen pour pédophilie...

La justice pourra informer l'employeur d'une personne exerçant des activités auprès de mineurs et soupçonnée de pédophilie après la mise en examen de celle-ci, selon un amendement adopté mercredi en commission à l'Assemblée sur ce point sensible.

Un amendement au projet de loi sur la procédure pénale

Le parquet y sera obligé par la loi dans certains cas. Selon l'amendement du rapporteur Dominique Raimbourg (PS), adopté lors de la nouvelle lecture d'un projet de loi relatif à la procédure pénale, le parquet aura, pour certaines infractions graves commises contre des mineurs ou de nature sexuelle, une obligation d'information de l'employeur (l'Education nationale en premier lieu mais aussi des associations et des institutions privées) en cas de condamnation, même non définitive, ou de placement sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer une activité impliquant un contact habituel avec les mineurs.

L'information est par ailleurs possible en cas de mise en examen ou de saisine de la juridiction de jugement. La personne concernée devra en outre en être informée.

Seize enseignants révoqués en 2014

De récents scandales de pédophilie à l'école avaient soulevé cette question de l'information, qui n'est actuellement possible qu'après une condamnation définitive.

Le gouvernement voulait que le parquet puisse informer les employeurs dès le stade de l'enquête, mais députés et sénateurs avaient échoué à se mettre d'accord, craignant que cela n'aille à l'encontre des principes de la présomption d'innocence et du secret de l'instruction.

Ces dispositions sont la conséquence de l'affaire de Villefontaine (Isère) dans laquelle un directeur d'école, soupçonné de viols de 11 élèves, a été mis en examen, puis révoqué en mars.
20minutes.fr
 
reuters -
Révélation.Le Grand Orient de France a rapidement sanctionné le présumé violeur d'enfants de six ans Romain Farina, directeur d'une école élémentaire de Villefontaine (Isère). Transféré en prison le 25 mars 2015, la Chambre suprême de justice maçonnique de son obédience l'a suspendu dès le 24 avril 2015 "de ses droits et qualités maçonniques" "à titre conservatoire, temporaire et exceptionnel". En le faisant, le GODF a informé ses membres de cette appartenance.

Romain Farina

Le "Vénérable" Maître de la loge Ego Sum, à Bourgoin-Jallieu (Isère) a informé le Grand Orateur du GODF que le frère Romain Farina avait été incarcéré le 25 mars pour actes pédophiles. Le 27 mars, le Conseil de l'Ordre, réuni en séance plénière, a décidé de saisir la Chambre suprême de Justice maçonnique (CSJM). Le Garde des Sceaux et du Timbre Michel Monrose a confirmé au président de la CSJM la plainte du Conseil de l'Ordre en demandant la suspension du frère Farina et en précisant "que ce frère aurait déjà été condamné en 2008 pour recel d'images pédopornographiques".

Lors de son audience du 24 avril 2015, où Romain Farina n'était pas représenté, la CSJM a examiné les articles du Dauphiné Libéré qui évoquent le fait que "l'enseignant aurait imposé à plusieurs élèves [de CP] des ********** par surprise ces trois derniers mois", dans le cadre d'un atelier au cours duquel "il leur demandait de goûter à l'aveugle des choses les yeux bandés". Les juges maçonniques soulignent que leur frère a reconnu les faits au cours de sa garde à vue.

Ecole élémentaire Le Mas de la Raz à Villefontaine (Isère) que Romain Farina dirigeait depuis septembre 2014

La Section permanente de la CSJM, présidée par Philippe Daviaud, observe que lors de son admission au GODF, Romain Farina avait présenté un casier judiciaire vierge, car sa condamnation le 25 juin 2008, par la Tribunal de Grande Instance de Bourgoin-Jallieu pour recel d'images pédopornographiques à six mois de prison
 

Drianke

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Le violeur d’enfants Farina suspendu du GODF ?!? ils l'ont pas radié meuh non ...

Les déchets de l'Humanité qui représentent un danger pour nos enfants doivent être neutralisés à vie!
 
Le tribunal correctionnel d’Alençon a relaxé un éducateur en informatique qui était accusé de 10 agressions sexuelles sur des fillettes de CE2 et CM2.

Ces agressions sur écolières âgées de 8 à 10 ans, dont l’éducateur était accusé, se seraient produites dans le cadre d’ateliers périscolaires, dans les écoles primaires Molière d’Alençon, et de Lonrai.


C’est un pédiatre qui a alerté la justice après avoir entendu une fillette angoissée, qu’il avait reçu en consultation
. Les gendarmes ont alors entendu des enfants dont l’éducateur s’occupait, de septembre 2014 à avril 2015. Lise, Romane, Ines, Lena, Filipine : les 10 témoignages qui ont abouti a des plaintes sont les mêmes, avec des parents abasourdis des révélations de caresses sur leurs fillettes, notamment sur les fesses. Des jupes relevées. Depuis les faits, les enfants sont très perturbées...



Qu’a fait l’administration ?

Dès le premier fait, 3 semaines après la rentrée de septembre 2014, des faits ont été dénoncés. Son employeur a convoqué l’éducateur. La directrice du centre social Croix Mercier, le responsable enfance/jeunesse à la ville d’Alençon étaient là. Mais le dossier n’est pas remonté jusqu’au parquet. Selon le bâtonnier Deniaud, avocat des parties civiles, il y a eu les vacances scolaires de la Toussaint et après personne n’y a plus pensé. On peut aussi se demander si tout le monde n’a pas voulu étouffer cette affaire, qui a perduré jusqu’au printemps 2015.

L’accusé, âgé de 34 ans, employé du centre social de la Croix Mercier, a, lui, toujours contesté les faits.

Son avocate a soulevé des contradictions : l’éducateur travaillait sur 5 écoles auprès de 250 élèves. Seuls 10 d’entre eux ont été entendus. Comme si les gendarmes avaient dû aller très vite dans leur enquête, encore une fois comme s’il fallait vite classer le dossier, que « ça ne fasse pas trop de bruit ».

Elle a expliqué qu’on était dans un bruit qui circule, faisant la parallèle avec le film Les Risques du métier, où un instituteur, accusé à tort de viol, se suicidait.


La procureur a requis 1 an de prison avec sursis et mise à l’épreuve de 2 ans,
obligation de soins, obligation d’indemniser ses victimes, interdiction d’exercer une profession en lien avec des mineurs.

L’accusé a expliqué qu’il n’y avait aucune connotation sexuelle. Le tribunal l’a entendu et relaxé.



« Comment allons-nous annoncer ça à nos enfants ? »

À la sortie du tribunal, les familles se sont déclarées choquées. Elles attendent l’appel que pourrait bien engager le parquet [NDLR : le parquet a fait appel le lendemain].

L’éducateur relaxé a lui, entre temps, été licencié.
http://www.tendanceouest.com/actual...cateur-accuse-de-10-agressions-sexuelles.html
 
Selon le parquet, les faits ont eu lieu entre juin et juillet 2015...
Un moniteur-éducateur de 28 ans, suspecté d'agressions sexuelles sur des mineurs d'un centre spécialisé dans l'encadrement de jeunes atteints de troubles psychiques, a été mis en examen vendredi en Haute-Savoie, a appris l'AFP samedi auprès du parquet de Bonneville.

Le trentenaire, qui ne possédait pas d'antécédents judiciaires, travaillait depuis le début de l'année 2015 au sein du Dispositif expérimental d'accueil temporaire (DEAT) de La Roche-sur-Foron (Haute-Savoie), une structure pour adolescents de 10 à 17 ans souffrant de troubles psychotiques et du comportement.

« D'autres agissements menés par internet »

Pour l'heure, trois victimes âgées de 12 à 15 ans ont été identifiées par les enquêteurs de la brigade de gendarmerie de La Roche-sur-Foron, à qui l'enquête a été confiée. Deux d'entre elles sont des mineurs du centre où il avait été embauché.

Interpellé mercredi, le moniteur-éducateur a été mis en examen pour « des faits de relations sexuelles sur mineurs de 15 ans, détention d'images pédopornographiques, corruption de mineurs et propositions sexuelles à des mineurs de 15 ans », a précisé le parquet de Bonneville. Il a été placé sous contrôle judiciaire.

C'est l'un des pensionnaires du DEAT de La Roche-sur-Foron qui a révélé des agressions sexuelles à une autre éducatrice du centre et déposé plainte. Selon le parquet, les faits ont eu lieu entre juin et juillet 2015.

« La plupart des autres agissements de cet homme ont été menés par internet : il se connectait via Facebook avec des mineurs de moins de 15 ans pour obtenir, principalement, des photos d'eux nus », a précisé le parquet de Bonneville, confirmant une information de France Bleu Pays de Savoie.

Auparavant, l'homme avait enchaîné « des petits boulots qui n'étaient pas en lien avec des mineurs, ni avec ce domaine-là
 

Drianke

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Ils traquent les cyberpédophiles

OTTAWA | Une quinzaine d’agents de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) traquent les pédophiles partout dans le monde et «jusque dans les recoins les plus sombres d’internet».

La plupart des corps policiers d’importance ont leur escouade consacrée aux crimes sexuels sur internet. La GRC, de son côté, est dotée d’un centre de coordination qui reçoit les plaintes, nationales ou internationales, et qui transfère les dossiers aux juridictions locales. Et elle enquête.

Le gros du travail est concentré dans un immeuble très quelconque de la banlieue d’Ottawa, que Le Journal a visité. À l’entrée, le «mur de la renommée» du Centre national de coordination contre l’exploitation des enfants ne laisse pas de doutes sur ce qu’on fait ici. Sur des fiches illustrant des menottes, on lit: M. Untel, arrêté, condamné. Sur d’autres, décorées d’une étoile, on voit «trois petites filles sauvées».

En dehors des considérations morales et des délinquants sexuels envoyés en prison, «l’essentiel, ce sont les enfants», insiste Marc Franche, sous-officier responsable des opérations au Centre. «Ça fait 26 ans que je suis à la GRC et je n’ai jamais vu un groupe aussi dédié à l’ouvrage.»

Ce dernier s’occupait de drogues avant, mais ce n’est pas pareil: les délinquants trouvent toujours un plan B et le trafic continue. Mais dans ce domaine, quand un enfant est libéré, en principe, c’est pour de bon......................

http://www.journaldemontreal.com/2015/08/01/ils-traquent-les-cyberpedophiles
 
Reuters -
Les révélations continuent de faire la une de la presse britannique, mercredi 5 août. Cinq forces de police différentes enquêtent désormais sur le passé de l'ancien Premier ministre Edward Heath, rapporte le Guardian (en anglais). Mort en 2005, l'homme est mêlé à des accusations de pédophilie au Royaume-Uni où le scandale, après avoir éclaboussé le show-biz, rattrape aussi la classe politique.

Un ancien officier de police a d'abord affirmé qu'une affaire de mœurs, impliquant un mineur dans les années 1990, a été étouffée
lorsque le nom d'Edward Heath est apparu. Face à ces allégations, la police des polices a annoncé lundi, devant la maison de l'ancien Premier ministre conservateur (1970-1974), à Salisbury, l'ouverture d'une enquête.

Un viol présumé sur un enfant de 12 ans

Depuis, de nouveaux témoignages émergent. Le Daily Mirror (en anglais) a publié une interview d'un sexagénaire anonyme qui affirme avoir été violé par l'homme politique lorsqu'il était âgé de 12 ans. Les faits se seraient déroulés en 1961, quand Edward Heath était encore un simple député, dans un appartement de Park Lane, une avenue chic de Londres.
 
Reuters -
VIOLENCES - Depuis 2010, les viols dénoncés aux autorités auraient augmenté de 18 %. Un chiffre partiel qui témoigne toutefois d’une amélioration de la prise en charge des victimes…

Le viol est un crime. Un crime pouvant être puni de 15 ans de prison, 20 ans quand il s'agit d'une personne mineure. Ces quelques mots, ressassés et affichés par les pouvoirs publics et les associations ne le seront visiblement jamais assez. La preuve, ce mardi, avec la publication dans Le Figaro du nombre des déclarations de viols de ces cinq dernières années. Le quotidien affirme que les cas de viols déclarés seraient passés de « 10.762 faits en 2010 à 12.768 faits en 2014 », soit une hausse de 18 %. Pourtant selon plusieurs acteurs bénévoles, ces chiffres traduisent une meilleure prise en charge de la parole des victimes de violences sexuelles.


Un tabou qui se fissure


Marie France Casalis, responsable du pôle formation au sein du Collectif féministe contre le viol, confie sa satisfaction à la lecture de ces nouvelles données : « Plus les chiffres augmentent, plus cela signifie que nous devenons capables d'écouter les victimes, sans que forcément le nombre de viols augmente ». Un constat que partage Muriel Salmona, psychiatre et membre de l'association Mémoire Traumatique et Victimologie : « Les victimes commencent à parler. Nous avons connu le même phénomène avec les violences conjugales. C'est que cela porte ses fruits petit à petit. Depuis la mise en place de personnes référentes au sein des commissariats, on note une petite amélioration ».


Pédophilie : une loi pour mieux protéger l'école


Au sein du ministère chargé du Droit des Femmes, la secrétaire d'Etat Pascale Boistard abonde : « Même si l'omerta autour du viol reste encore très importante, ces chiffres témoignent du travail accompli par les associations et les pouvoirs publics pour faciliter la prise en charge de victimes de viol ».


Quels moyens mis en œuvre ?
 
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Il a été condamné par la justice ?
Tu connais les notions de procès ?
Ou de simples soupçons te semblent suffisant pour condamner quelqu'un
 
L'OMERTA et les complicités du crime
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Reuters -
Un ancien pédiatre a été condamné à quatre ans de prison, dont trois avec sursis, jeudi 13 août, par le tribunal correctionnel d’Angers (Maine-et-Loire) pour des agressions sexuelles de jeunes filles mineures qui étaient ses patientes entre 1986 et 1992. Agé aujourd’hui de 83 ans, l’homme n’était pas présent au tribunal pour entendre le jugement, pas plus que les quatre femmes dont les constitutions de partie civile avaient été retenues au terme de l’instruction.

« L’essentiel est qu’il soit reconnu coupable. Maintenant, ce qui est terrible, c’est de savoir que beaucoup de victimes n’ont pas pu ou voulu faire valoir leurs droits », a réagi la mère d’une des victimes. « Je ne trouve pas ça cher payé au regard de ce qu’il a fait », a commenté une ancienne patiente du médecin.

L’ex-pédiatre, connu à Angers, avait failli échapper à la justice. En 2000, une première plainte contre lui avait été classée sans suite. Mais l’affaire avait été relancée en 2012 à la suite de la plainte d’une autre femme. Au total, quatorze anciennes patientes du praticien ont affirmé aux enquêteurs avoir été victimes d’attouchements alors qu’elles étaient enfants ou adolescentes. Mais pour la majorité d’entre elles, les faits se sont révélés prescrits.

Trous de mémoire
Lors de l’audience le 16 juin, le ministère public avait requis cinq années d’emprisonnement, dont deux ferme. Le retraité avait nié les faits, invoquant pour sa défense de nombreux « trous de mémoire », l’impossibilité matérielle de se retrouver isolé avec ses patientes et le caractère infondé de certains gestes médicaux qui lui sont attribués.

A la barre, l’une des victimes présumées avait ainsi raconté avoir subi des agressions lors d’examens pour un « eczéma pubien ». « Ça n’existe pas », lui avait rétorqué l’ex-médecin. « C’est écrit sur le carnet de santé que vous avez signé », lui répondra-t-elle plus tard. Et d’ajouter : « Je suis soulagée de pouvoir parler, de voir que je ne suis pas toute seule »
 
yahoo
La justice enquête sur des viols présumés sur six mineurs. Le suspect de 27 ans mis en examen reconnaît des relations sexuelles mais "consentantes", selon le parquet de Lille dimanche. Il doit être présenté mercredi à un juge des libertés et de la détention.

En parallèle de son poste de surveillant de collège, l’homme est également depuis cinq ans entraîneur d’une équipe de foot de moins de 14 ans, et il intervient occasionnellement chez les moins de 12 ans.

Un signalement en avril

"Beaucoup de parents se posent des questions, on a mis en place une communication vis-à-vis des parents dont les enfants ont été en contact" avec lui, a déclaré à l’AFP le président du club de l'US Ascq, qui aurait fait part de ses doutes au procureur de la République au mois d’avril. "Lors d'un loto, il a eu un comportement anormal vis-à-vis d'un jeune qui souhaitait venir au club, en l'embrassant sur la bouche".

D’autres affaires de pédophilie en milieu scolaire ont éclaté ces derniers mois, parfois en récidive. Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l'Education nationale, a donc annoncé un projet de loi pour que la justice transmette systématiquement aux académies les condamnations de personnes travaillant avec des enfants.
 
Reuters -
Un ancien instituteur d'Orgeval (Yvelines), âgé de 63 ans, devra répondre d'

attouchements sur six de ses anciennes élèves, le 29 janvier 2016, devant le tribunal correctionnel de Versailles. Le suspect a reconnu devant les enquêteurs des "comportements inadaptés" avec certains de ses élèves, âgés entre 8 et 10 ans, lors de l'année scolaire 2014-2015.
Les attouchements présumés ont été dénoncés à la suite d'une première enquête pour viol sur une fillette de 6 ans, dans le département du Rhône. La jeune fille appartenait à son cercle familial élargi, mais n'avait aucun rapport avec son métier d'enseignant. Dans le cadre de cette enquête, le suspect avait été placé, en mars, en détention provisoire.

Il encourt dix ans de prison
"A la suite de l'ouverture de cette instruction, tous les enfants en relation avec lui ont été entendus et certains ont fait état d'attouchements", a indiqué une source proche du dossier. L'enquête a notamment mis en évidence une "forte proximité avec les enfants", que l'enseignant faisait monter sur ses genoux, parfois en mettant ses mains dans leurs poches ou en leur caressant le ventre.

L'instituteur, qui a été suspendu de ses fonctions, était jusqu'alors inconnu des services de police. Avant un éventuel renvoi devant les assises pour viol, il devra répondre du volet concernant les attouchements à l'école devant le tribunal correctionnel de Versailles le 29 janvier. Pour ces seuls faits, il encourt une peine de dix ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende.

La mafia qui cache des actes méchants mais peut on cacher quelque chose devant l’Éternel ?
 
Reuters
Il enseigne dans un collège-lycée catholique...

Il aurait commis des attouchements sur au moins six élèves mineures. Et disposait dans son ordinateur personnel de photographies à caractère pédo-pornographique. Un professeur d'informatique dans un collège-lycée catholique du septième arrondissement de Paris a été mis en examen ce jeudi.

Suspension à titre conservatoire

Agé de 55 ans, l'enseignant avait été placé en garde-à-vue par la Brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire parisienne le 9 septembre. Placé sous contrôle judiciaire, l'homme a également été «suspendu à titre conservatoire», selon le rectorat de Paris, qui n'a pas fait plus de commentaire.
 
Reuters -
PREVENTION - Seuls les agents de la fonction publique en contact avec des mineurs seront concernés ...
(Il n'y a que l'enseignement qui serait touché ? )

Opération mains propres. Les fonctionnaires en contact avec des mineurs pourront voir leur casier judiciaire examiné tout au long de leur carrière afin de vérifier qu'ils n'ont pas été condamnés pour abus sur enfants, selon un décret en préparation annoncé ce jeudi par l'Education nationale.

Ce décret fait suite à l'affaire de Villefontaine, près de Lyon, où un instituteur a été mis en examen au printemps 2015 pour viol de onze enfants et est soupçonné de plusieurs dizaines d'agressions. L'homme avait été condamné en 2008 à de la prison avec sursis pour avoir téléchargé des images pédopornographiques, mais cette condamnation n'avait jamais été communiquée à l'Education nationale, qui avait donc continué à employer ce professeur.

Le casier pour l'instant consulté à l'embauche

L'affaire avait donné lieu à un rapport des inspecteurs généraux. Parmi ses recommandations, la possibilité d'examiner, rétrospectivement et en cours de carrière, le casier judiciaire comportant la plupart des condamnations pour crimes et délits. Ce casier, dit B2, n'est pour le moment consulté qu'à l'embauche d'un fonctionnaire.

Les modalités de la consultation du casier, et notamment le tempo des vérifications, seront discutées avec les syndicats des fonctionnaires, d'enseignants pour ce qui concerne les agents de l'Education nationale, a-t-on indiqué au ministère.

«Grâce à ce décret, actuellement en discussion au Conseil d'Etat, on va avoir la possibilité (de faire ces vérifications), c'est ce qui comptait pour nous. Pour les modalités, on veut travailler main dans la main» avec les syndicats d'enseignants, a-t-on ajouté. «Techniquement, ces vérifications sont faisables et nous les réalisons d'ailleurs» depuis longtemps, mais uniquement lors de l'embauche d'un agent.
 
Yaho info
Un entraîneur de foot à l’AS Gignac-la-Nerthe (Bouches-du-Rhône), est soupçonné d’actes pédophiles sur plusieurs enfants. L’homme a été interpellé à la suite d'une plainte déposée mardi 28 septembre par un mineur de moins de 15 ans. L’enfant affirme avoir subi des attouchements sexuels de la part de cet homme.

D’autres victimes potentielles

Placé en garde à vue, le suspect a reconnu les faits. Selon nos informations, il aurait également évoqué deux autres victimes. Son témoignage laisse supposer que d'autres enfants ont pu subir des faits similaires. La police est à la recherche d'autres victimes éventuelles. L'homme devait être mis en examen.

Joint, le président du club de foot s’est dit "catastrophé par ce qui est arrivé" à ces jeunes joueurs.

PRÉVENTION - Seuls les agents de la fonction publique en contact avec des mineurs seront concernés ...Opération mains propres. Les fonctionnaires en contact avec des mineurs pourront voir leur casier judiciaire examiné tout au long de leur carrière afin de vérifier qu'ils n'ont pas été condamnés pour abus sur enfants, selon un décret en préparation annoncé ce jeudi par l'Education nationale.
(Il n'y a que l'enseignement qui serait touché ? )
 
Un professeur de chant soupçonné de viols et d'agressions sexuelles sur ses élèves

Par Francetv
Mis à jour le 07/10/2015

Il leur donnait des cours particuliers sur son temps libre. Un professeur de chant a été mis en examen, mardi 6 octobre au soir à Bourges (Cher), pour viols et agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans par personne ayant autorité. Cet instituteur, âgé de 42 ans, a été placé en détention provisoire. Son épouse a, elle, été mise en examen pour non-dénonciation de crime, et placée sous contrôle judiciaire.

Des faits qui ont eu lieu entre 2006 et 2008 (Vous voyez la mafia ? ils ne veulent pas régler les affaires
ils soutiennent la mal sauf si le scandale est trop fort . Et ça dure ) C'est valable dans d'autres domaines
bien entendu sans aucune réforme depuis depuis longtemps . Vols d'argent public en grande masse
par des groupes depuis longtemps ----------> Dette à 200 % du PIB chômage de masse

Les victimes présumées sont trois jeunes filles, âgées de 11 à 15 ans, selon le parquet de Bourges. Les faits ont été dénoncés il y a peu de temps, mais ils auraient eu lieu entre 2006 et 2008. Les cours se tenaient chez l'instituteur ou au domicile de ses victimes présumées. Selon Marie-Pierre Viret, substitut du procureur de la République de Bourges, le quadragénaire n'est pas soupçonné d'avoir abusé d'élèves à l'école, mais l'instruction devra s'en assurer.
 
Metz : un proviseur de lycée en garde à vue pour exhibition sexuelle.
Le proviseur du lycée Louis-de-Cormontaigne, l'un des plus importants établissements de Metz (Moselle), a été placé en garde à vue pour exhibition sexuelle. Il a été surpris mardi 13 octobre 2015 dans un cinéma de la périphérie messine. Ça ne serait pas une première.
Une garde à vue pour exhibitionnisme sexuel. C'est ce qui est arrivée au proviseur du lycée Louis-de-Cormontaigne de Metz (Moselle). Les faits se sont déroulés mardi 13 octobre 2015, dans un cinéma de la banlieue messine.

Il est environ 22 heures lorsqu'un projectionniste surprend au fond de la salle un homme de 62 ans. Son pantalon est baissé, son torse dénudé et il pratique un acte sexuel solitaire en se filmant. Le projectionniste alerte la police, qui arrête et place en garde à vue le proviseur à la tête d'un lycée de 1250 élèves.

Mais de tels actes se seraient déjà produits par le passé.
Selon le procureur de la République de Metz Christian Mercuri, l'enquête à révélé des faits similaires en décembre 2014. Déféré au parquet et placé sous contrôle judiciaire, le proviseur sera jugé début novembre. Il encourt jusqu'à un an de prison et 15 000 euros d'amende. Le temps de l'instruction, le chef d'établissement a été écarté de ses services. Un dispositif d'accompagnement pour les élèves a été mis en place au lycée.
**
Et avant il n'était pas écarté ? pourquoi ?
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
L'enquête progresse à Cadaujac, le directeur d'école filmait des garçons nus

L'enquête progresse à Cadaujac après l'interpellation d'un directeur d'école. Des images pédo-pornographiques retrouvées sur son ordinateur. Il a été interpellé et l'éducation nationale l'a suspendu à titre conservatoire. Selon les premiers éléments de l'enquête, il filmait lui même les enfants

C'est à l'aide de mini caméras cachés dans des lunettes, dans une montre, ou encore dans une sacoche que le directeur a réalisé une partie des images retrouvées sur son ordinateur. L'autre partie provenant de téléchargements. Ces appareils sophistiqués ont été saisi par les enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire, chargés de l'enquête, selon des sources policières. L'homme âgé d'une quarantaine d'années filmait ainsi à leur insu,_ des enfants nus, surtout des **_garçons âgés de 8 à 10ans, dans des vestiaires de piscine. Des images ramenées de séjour à Montalivet ou dans les pays nordique. Impossible de dire si des enfants de l'école de Cadaujac sont directement concernés. C'est un proche de l'enseignant qui a découvert ces images et qui l'a dénoncé. Le directeur a été arrêté le 27 octobre** sur son lieu de vacances à Montalivet. Il a tenté de se suicider au moment de son interpellation en se plantant un couteau dans le ventre. Ses jours ne sont pas en danger. L'éducation nationale l'a suspendu à titre conservatoire, le temps de l'enquête.

https://www.francebleu.fr/infos/fai...ur-d-ecole-filmait-des-garcons-nus-1446616588
 
Un animateur de centre aéré de Courbevoie a reconnu avoir abusé d'une dizaine de petits garçons. L'homme avait déjà été signalé pour son comportement. "Les enquêteurs ont déjà entendu beaucoup d'enfants qui étaient en contact avec cet animateur", rapporte Charlotte Gillard avant d'ajouter qu'à ce jour, "l'homme de 25 ans a déjà reconnu des agressions sexuelles sur 10 petits garçons dans trois écoles différentes". Il pourrait y en avoir bien plus.Handicapé mentalCet animateur, reconnu comme handicapé mental, "avait déjà été suspendu pour des faits similaires avant d'être réintégré et affecté dans une autre école en toute discrétion", poursuit la journaliste de France 3. La mairie de Courbevoie a mis en place une cellule psychologique. "L'homme mis en garde à vue pour agression sexuelle sur mineurs est lui placé en détention provisoire", conclut Charlotte Gillard en direct de Courbevoie.

Francetv info
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Pédophilie : un maître-nageur de Pont-Saint-Pierre sous les verrous
Paris Normandie-9 déc. 2015

Un maître-nageur de 48 ans, employé à la piscine de Pont-Saint-Pierre dans l’Eure, vient d’être mis en examen et incarcéré. La procureure de la République d’Evreux a ouvert une information judiciaire pour« agressions sexuelles et viols sur mineurs de 15 ans ». Alors que l’enquête ne fait que commencer, quatre personnes ont déjà déposé plainte.
 
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