Depuis deux mois, elle conserve précieusement le petit papier rose dans son portefeuille. Julie*, 25 ans, vient de décrocher son permis de conduire à Tanger, au Maroc. « Je suis super contente. En tout, ça ma pris quatre mois avec une bonne coupure de quatre semaines de vacances au milieu, le tout pour 250 », jubile cette cadre dune société de production audiovisuelle.
Originaire de Saint-Germain-en-Laye (78), la brunette sétait pourtant inscrite à deux reprises dans des auto-écoles françaises. La première fois, adolescente, elle avait essayé de passer la conduite accompagnée avant dabandonner, faute de motivation. Il y a un peu plus dun an, elle décide de retenter sa chance dans une auto-école parisienne. Au bout de plusieurs mois, Julie obtient son code, puis se lance dans les cours de conduite. Peu de temps après, elle décroche un contrat dun an dans une société basée au Maroc.
«Cest au niveau de linterprétation du code que cest plus compliqué»
« Pour passer mon permis en France, jaurais dû attendre six mois avant davoir une date pour passer la conduite. Et il maurait fallu au minimum six heures de conduite supplémentaires pour être au niveau. Je me suis donc dit que ce serait plus pratique de le passer là-bas », soupire-t-elle. Avant de décoller pour le Maghreb, la jeune femme écoule tout de même son forfait de 25 heures de conduite à Paris.
Une fois à Tanger, Julie sinscrit dans une auto-école. « Je nétais pas la seule Française, il y avait également des jeunes du lycée français de Tanger. Jy ai aussi rencontré des expatriés allemands », assure-t-elle. « Là-bas, les deux épreuves du code et de la conduite se déroulent le même jour », explique-t-elle. Pas de problème de langue pour lexamen théorique, la jeune femme le passe en français. « Cest au niveau de linterprétation du code que cest plus compliqué. Parfois, cest un peu déroutant », sourit-elle. Notamment au niveau des questions posées à lexamen du code : « Est-ce que lon est plus en sécurité dans un char ou dans une voiture? » la bonne réponse étant la dernière proposition.
«Je nai pas eu à passer la seconde»
http://www.leparisien.fr/societe/a-tanger-cela-n-a-coute-que-250-eur-a-julie-04-06-2010-949899.php
Originaire de Saint-Germain-en-Laye (78), la brunette sétait pourtant inscrite à deux reprises dans des auto-écoles françaises. La première fois, adolescente, elle avait essayé de passer la conduite accompagnée avant dabandonner, faute de motivation. Il y a un peu plus dun an, elle décide de retenter sa chance dans une auto-école parisienne. Au bout de plusieurs mois, Julie obtient son code, puis se lance dans les cours de conduite. Peu de temps après, elle décroche un contrat dun an dans une société basée au Maroc.
«Cest au niveau de linterprétation du code que cest plus compliqué»
« Pour passer mon permis en France, jaurais dû attendre six mois avant davoir une date pour passer la conduite. Et il maurait fallu au minimum six heures de conduite supplémentaires pour être au niveau. Je me suis donc dit que ce serait plus pratique de le passer là-bas », soupire-t-elle. Avant de décoller pour le Maghreb, la jeune femme écoule tout de même son forfait de 25 heures de conduite à Paris.
Une fois à Tanger, Julie sinscrit dans une auto-école. « Je nétais pas la seule Française, il y avait également des jeunes du lycée français de Tanger. Jy ai aussi rencontré des expatriés allemands », assure-t-elle. « Là-bas, les deux épreuves du code et de la conduite se déroulent le même jour », explique-t-elle. Pas de problème de langue pour lexamen théorique, la jeune femme le passe en français. « Cest au niveau de linterprétation du code que cest plus compliqué. Parfois, cest un peu déroutant », sourit-elle. Notamment au niveau des questions posées à lexamen du code : « Est-ce que lon est plus en sécurité dans un char ou dans une voiture? » la bonne réponse étant la dernière proposition.
«Je nai pas eu à passer la seconde»
http://www.leparisien.fr/societe/a-tanger-cela-n-a-coute-que-250-eur-a-julie-04-06-2010-949899.php