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LOMS dénonce un phénomène mondial dampleur épidémique
Un rapport de plus. Des constats effarants qui confortent davantage lidée que la violence faite aux femmes est un phénomène mondial. Et pour cause, un tiers des femmes en sont victimes. Cest ce qui ressort de la dernière étude publiée par lOrganisation mondiale de la santé (OMS) en partenariat avec la London School of Hygiene & Tropical Medicine et le Conseil sud-africain de la recherche médicale.
Ce document donne, pour la première fois, des estimations mondiales et régionales agrégées de la prévalence de chacune delles, calculées en utilisant des données de population du monde entier qui ont été compilées de manière systématique.
Des rapports, des études, il ny en aura jamais assez pour tirer la sonnette dalarme sur ce fléau. L'OMS appelle à un renforcement massif des efforts mondiaux en vue de prévenir toutes les formes de violence à l'encontre des femmes en agissant sur les facteurs sociaux et culturels sous-jacents.
L'agence souligne aussi qu'il est urgent d'améliorer les soins prodigués aux femmes victimes de violence. Celles-ci consultent souvent, sans nécessairement dévoiler les causes de leurs blessures ou pathologies.
Quelles soient physiques, sexuelles, quelles débouchent sur un décès, une blessure, une maladie mentale, toutes sortes de violences ont été reprises par létude.
« Les résultats de cette étude envoient un message fort. La violence à l'encontre des femmes est un problème mondial de santé publique d'ampleur épidémique », a déclaré le directeur général de l'OMS, Margaret Chan.
La violence est dautant plus difficile à admettre lorsquelle émane du partenaire intime. Et pourtant, cest la plus courante, souligne le rapport. Elle touche 30% des femmes.
L'étude montre qu'à l'échelle mondiale, 38% des femmes assassinées l'ont été par leur partenaire intime, alors que 42% des femmes qui ont connu des violences physiques ou sexuelles d'un partenaire ont été blessées. Il va sans dire que les répercussions de la violence sur la santé mentale des victimes sont très profondes.
En effet, la probabilité de dépression est presque deux fois plus élevée chez celles qui ont subi des violences de leur partenaire intime, par rapport aux femmes qui n'ont connu aucune forme de violence.
http://www.libe.ma/Plus-du-tiers-des-femmes-sont-victimes-de-violence-a-travers-le-monde_a39483.html
LOMS dénonce un phénomène mondial dampleur épidémique
Un rapport de plus. Des constats effarants qui confortent davantage lidée que la violence faite aux femmes est un phénomène mondial. Et pour cause, un tiers des femmes en sont victimes. Cest ce qui ressort de la dernière étude publiée par lOrganisation mondiale de la santé (OMS) en partenariat avec la London School of Hygiene & Tropical Medicine et le Conseil sud-africain de la recherche médicale.
Ce document donne, pour la première fois, des estimations mondiales et régionales agrégées de la prévalence de chacune delles, calculées en utilisant des données de population du monde entier qui ont été compilées de manière systématique.
Des rapports, des études, il ny en aura jamais assez pour tirer la sonnette dalarme sur ce fléau. L'OMS appelle à un renforcement massif des efforts mondiaux en vue de prévenir toutes les formes de violence à l'encontre des femmes en agissant sur les facteurs sociaux et culturels sous-jacents.
L'agence souligne aussi qu'il est urgent d'améliorer les soins prodigués aux femmes victimes de violence. Celles-ci consultent souvent, sans nécessairement dévoiler les causes de leurs blessures ou pathologies.
Quelles soient physiques, sexuelles, quelles débouchent sur un décès, une blessure, une maladie mentale, toutes sortes de violences ont été reprises par létude.
« Les résultats de cette étude envoient un message fort. La violence à l'encontre des femmes est un problème mondial de santé publique d'ampleur épidémique », a déclaré le directeur général de l'OMS, Margaret Chan.
La violence est dautant plus difficile à admettre lorsquelle émane du partenaire intime. Et pourtant, cest la plus courante, souligne le rapport. Elle touche 30% des femmes.
L'étude montre qu'à l'échelle mondiale, 38% des femmes assassinées l'ont été par leur partenaire intime, alors que 42% des femmes qui ont connu des violences physiques ou sexuelles d'un partenaire ont été blessées. Il va sans dire que les répercussions de la violence sur la santé mentale des victimes sont très profondes.
En effet, la probabilité de dépression est presque deux fois plus élevée chez celles qui ont subi des violences de leur partenaire intime, par rapport aux femmes qui n'ont connu aucune forme de violence.
http://www.libe.ma/Plus-du-tiers-des-femmes-sont-victimes-de-violence-a-travers-le-monde_a39483.html