قلبك هاني و انا من الجفا قلبي كاويزور احبيبك يا راحة العقل زهو القلب المرعوش ضد في ذوك الّرقبانعالج من طال اهواك به ما صاب امداويغير الهجرة راني بسيوفهتا بالماضي مبطوش تّبعت اهواك از مانو اعلى الأيام الفايتة من غير ازهاويبالموسيقة وطيور ناطقة و اسبيغت لرموشبالماية و الزيدانوتسارح بالحرجات كل تسريح امساويومخايد واخوامي على الّرقى و الرقيب عّنا محشوشدبا ذهبت لحزانيا الّداعي بالغيوان جيب عشقك مخاويلو شفت اغزالي كامل البها ما حمل عّطوشعشقي وهواك اقران
Ton cœur est paisible tandis que le mien brûle de la séparation
Rends visite à ton bien aimé paix de l’esprit gaité du cœur tremblant pour défier ces épieurs
Guéris celui dont ton amour perdure sans qu’il n’y trouve remède
Je ne vis que la séparation avec ses épées tranchantes qui m’anéantissent
Je traîne ton amour depuis longtemps
Avec des jours passés sans joies
Sans la musique, sans des oiseaux roucoulant et sans celle aux yeux teintés,
Jouant en maya et en zidane (modes musicaux andalous)
Et sans les carpettes à franges bien alignées
Les coussins et les tapis raffinés et le voyeur soustrait (à notre regard)
Notre malheur s’en irait alors sur le champ
Ô toi qui te targues de passion dévoile ton amour pour le comparer au mien
Si tu voyais ma bien -aimée à la beauté rayonnante, tu n’aurais pas accablé Attouche,
Nos amours étant semblables.
Ton cœur est paisible tandis que le mien brûle de la séparation
Rends visite à ton bien aimé paix de l’esprit gaité du cœur tremblant pour défier ces épieurs
Guéris celui dont ton amour perdure sans qu’il n’y trouve remède
Je ne vis que la séparation avec ses épées tranchantes qui m’anéantissent
Je traîne ton amour depuis longtemps
Avec des jours passés sans joies
Sans la musique, sans des oiseaux roucoulant et sans celle aux yeux teintés,
Jouant en maya et en zidane (modes musicaux andalous)
Et sans les carpettes à franges bien alignées
Les coussins et les tapis raffinés et le voyeur soustrait (à notre regard)
Notre malheur s’en irait alors sur le champ
Ô toi qui te targues de passion dévoile ton amour pour le comparer au mien
Si tu voyais ma bien -aimée à la beauté rayonnante, tu n’aurais pas accablé Attouche,
Nos amours étant semblables.