Envisagée par la majorité précédente, la privatisation des aéroports de province (Toulouse, Lyon, Nice…) entre enfin dans une phase opérationnelle avec le gouvernement Valls.
Ce désengagement va permettre à l'État d'encaisser plusieurs centaines de millions d'euros.
Une manne indispensable dans la période actuelle de disette budgétaire.
Plutôt que de céder d'un seul coup sa participation dans plusieurs plates-formes, l'État commencera par vendre ses 49,9% dans un aéroport, celui de Toulouse-Blagnac.
Un choix logique: dans la Ville rose, ce désengagement fait consensus. «Je soutiens le projet du gouvernement, confie le maire UMP de Toulouse, Jean-Luc Moudenc.
L'arrivée d'un investisseur puissant va permettre de développer notre aéroport.»
Avec cette opération, l'État peut espérer récupérer plus de 150 millions d'euros.
Avec 7,5 millions de passagers par an, l'aéroport de Toulouse est un gros-porteur qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 117 millions d'euros.
Le ministère de l'Économie a lancé l'opération le 11 juillet.
Les candidats ont remis leurs premières offres le 15 septembre.
À la fin de cette semaine, l'État dira quels groupements sont qualifiés pour remettre des offres définitives le 31 octobre.
Après, les pouvoirs publics devraient désigner l'heureux élu courant novembre.
(...)
Si la privatisation de l'aéroport de Toulouse est un succès, celle de Lyon et Nice devrait suivre assez vite.
Article complet :
http://www.lefigaro.fr/societes/201...ion-de-l-aeroport-de-toulouse-est-lancee.php#
Ce désengagement va permettre à l'État d'encaisser plusieurs centaines de millions d'euros.
Une manne indispensable dans la période actuelle de disette budgétaire.
Plutôt que de céder d'un seul coup sa participation dans plusieurs plates-formes, l'État commencera par vendre ses 49,9% dans un aéroport, celui de Toulouse-Blagnac.
Un choix logique: dans la Ville rose, ce désengagement fait consensus. «Je soutiens le projet du gouvernement, confie le maire UMP de Toulouse, Jean-Luc Moudenc.
L'arrivée d'un investisseur puissant va permettre de développer notre aéroport.»
Avec cette opération, l'État peut espérer récupérer plus de 150 millions d'euros.
Avec 7,5 millions de passagers par an, l'aéroport de Toulouse est un gros-porteur qui réalise un chiffre d'affaires annuel de 117 millions d'euros.
Le ministère de l'Économie a lancé l'opération le 11 juillet.
Les candidats ont remis leurs premières offres le 15 septembre.
À la fin de cette semaine, l'État dira quels groupements sont qualifiés pour remettre des offres définitives le 31 octobre.
Après, les pouvoirs publics devraient désigner l'heureux élu courant novembre.
(...)
Si la privatisation de l'aéroport de Toulouse est un succès, celle de Lyon et Nice devrait suivre assez vite.
Article complet :
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