dans la realité les choses sont plus complexe :
nous avons les mechants qui se croient gentil
et les gentil qui se croient mechant
nous avons des gentil qui se cache sous des aire de mechant
et nous avons des mechant qui se cache sous des aire de gentil
et nous avons les gentil qui sont les mechant d'un autre
et les mechant qui sont les gentil d'un autre
nous avons aussi les switch tantot gentil tantot mechant suivant les circonstance et les humeur du moment
trinita :
« Personne : Il était une fois un petit oisillon qui ne savait pas encore voler.
On était en plein hiver et un soir, il tombe de son nid et il se retrouve sur le sentier.
Alors il se met à crier: « Piu ! Piu ! Piu ! ». Il se fend le gosier parce qu’il meurt de froid.
Pour son bonheur, voilà qu’arrive une vache. Elle le voit, elle veut le réchauffer.
Alors, elle soulève la queue et plaf ! Elle pose une belle galette fumante, grosse comme ça !
Le petit oiseau, bien pénard et bien au chaud, sort sa petite tête et remet ça : « Pipiu ! Pipiu ! Pipiu ! Pipiu ! » plus fort qu’avant.
Rrrrrrr ! Mais un vieux coyote arrive au triple galop. Il allonge une patte, l’extrait délicatement de son tas de *****, essuie la crotte qui le recouvre et ensuite… il n’en fait qu’une bouchée !
Mon grand-père disait qu’il y a une morale à cette histoire mais il faut que chacun la trouve tout seul !
....
Jack Beauregard : [Plus tard, à la fin du film] À propos, j’ai trouvé la morale de la fable que ton grand-père racontait,
celle du petit oiseau que la vache avait recouvert de ***** pour le tenir au chaud et que le coyote a sorti et croqué…
C’est la morale des temps nouveaux.
Ceux qui te mettent dans la ***** ne le font pas toujours pour ton malheur
et ceux qui t’en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur.
Mais surtout ceci, quand tu es dans la *****, tais-toi ! »