Il y a plusieurs origines à cette perversion mais les principales sont : la relation à la mère, l’environnement social et culturel et le modèle relationnel.
Cette maladie peut se manifester sous différentes formes, cela dépend de la personnalité de l'individue.
L'un des plus spectaculaire (dans le sens vulgaire) est sans doute celle de celui qui souffre d'un trouble de la personalité narcissique (nous avons la chance d'avoir un spécimen sur bladi) car ces gens ont un besoin immense d’exister aux yeux des autres et cela s'exprime souvent par leurs besoin d'étaler leurs états d’âme qu'évidement croient intéressent pour le reste de l'humanité.
Ce type de malade est très dangereux pour les femmes, la nature étant bien façonnée, ces dernière possèdent la capacité de détecter ce type d'anomalie sociale (moins d'un 1% de la population est atteint) et donc de les repousser. Notre malade va donc à chaque expérience de rejet décupler sa haine deja bien profonde, car évidement ayant un trouble de la personnalité narcissique il ne peut concevoir qu'il a un problème qu'il doit régler, lui est parfait, merveilleux,au top de l'échelle des valeurs dans une logique fétichiste de la marchandise, il est ce qui se fait de mieux, alors si le problème ne vient pas de lui, c'est que ceux sont les femmes qui sont mauvaises...
L'individu va donc construire tout au long de sa vie, ce qui va lui permettre de régler ses contradictions et dans son cas de s’auto convaincre de la malfaisance des femmes. Elles deviennent ses ennemies et une guerre leurs est déclarée à vie. Si on conjugue à cela un manque de virilité, un modèle pervers des relations homme/femme , nous avons en plus de la haine, une obsession et le désire de faire mal, de se venger, de punir, d'écraser un ennemi paradoxalement tant désirer.
Nous retrouverons d'ailleurs des éléments de langage guerrier quand il parle des femmes et de sa relation à elles, si en plus la personne est lache, il inventera (et y croira) des victoires, de moment de gloire, ou il puni, détruit, fait mal à son ennemi la femme.
