Pourquoi les politiques sont aussi ****

🔥 Incendies estivaux : et chaque été, l’État redécouvre que ça brûle​


Chaque été, des milliers d’hectares partent en fumée. Chaque été, les pompiers sont en première ligne, les habitants évacués, les forêts dévastées. Et chaque été, les autorités semblent surprises. Comme si la canicule, la sécheresse et le vent étaient une découverte scientifique récente.


Pourtant, tout est prévisible. Tout est documenté. Tout est évitable — ou au moins gérable — avec un minimum de préparation : débroussaillage, gestion des forêts, moyens renforcés, arrêt de l’urbanisation sauvage, campagnes de prévention sérieuses.


Mais non. On préfère réagir dans l’urgence, activer des "cellules de crise", envoyer les ministres sur le terrain... et recommencer l’année suivante. Toujours trop tard, toujours sous tension.


Les incendies ne sont pas une fatalité. L’incompétence organisée, si!
avec l'aide de chat GPT
 
Néanmoins il y a quand même une tendance à la réduction des surfaces brulées:

Évolution des surfaces brûlées en France métropolitaine​

PériodeSurface moyenne brûlée par an (hectares)
Années 1980 (1980‑1989)≈ 42 360 ha Vie Publique
Années 1990 (1990‑1999)≈ 22 720 ha Vie Publique
Années 2000 (2000‑2009)≈ 19 680 ha Vie Publique
Période 2015‑2019≈ 7 570 ha Vie Publique
Moyenne 2006‑2021≈ 9 814 ha Le Monde.frTF1 INFO
Années 1970‑1980 (ordre de grandeur)≈ 45 000 ha Le Monde.frTF1 INFO
1976 (année exceptionnelle)≈ 88 000 ha Radio FranceWikipédia
2003 (année exceptionnelle)≈ 73 000 ha Radio France
 
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