Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Philosophie, spiritualité et autres religions
Pourquoi ne fait-on pas toujours le bien qu'on connaît?
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Ebion, post: 16369761, member: 130060"] Apparemment, les religions dans la modernité ont compris ce principe : par exemple l'étude de la théologie savante avec ses concepts abstraits reste une occupation assez rare; mais parmi les croyants, plusieurs aiment lire des témoignages de convertis, ou bien recherchent des miracles ou des expériences spirituelles intenses d'union ou contact avec Dieu (ou Jésus, ou Marie, ou un saint, ou un ange, ou un mort, etc.), lesquelles sont pour eux une validation de leur foi bien plus puissante que des discours savants sur les preuves de Dieu. Et même dans le domaine des preuves de Dieu, depuis plusieurs années, la plupart des auteurs utilisent davantage des preuves inspirées de la science (comme le réglage des constantes des lois de la nature ou argument anthropique), ou bien le dessein intelligent, ou bien le big bang, plutôt que des arguments proprement philosophiques (comme l'argument ontologique ou l'argument cosmologique)... Remarque que les athées aussi sont souvent dans la même perspective : la plupart des athées sont plus sensibles à des arguments concrets ou des anecdotes (les terribles souffrances de malades, les catastrophes, les crimes de croyants, les versets problématiques de la Bible et du Coran) qu'ils ne le sont à des arguments abstraits. Bref... les expériences sensibles, même trompeuses, ont souvent plus de poids que des conclusions purement rationnelles, la psychologie humaine étant ce qu'elle est. Spinoza croit qu'il faut avoir fait une expérience spirituelle d'union avec Dieu pour vraiment être libéré des passions (qui viennent de nos représentations erronées et partielles sur l'attrait des choses corporelles). [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Philosophie, spiritualité et autres religions
Pourquoi ne fait-on pas toujours le bien qu'on connaît?
Haut