Prénom et personnalité

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Pourquoi rêveur ? LOL !
C'est incompatible ?

Nan je suis neutre j'te tend des perches parce que je sais que t'aime bien me taquiner LOL !


Bon alors tu donnera ça, quand tu ira voir ton pote à Guantanamo :D

On peut reconnaître Redouane à son aspect quelque peu banal, avec ses formes légèrement potelées. Les yeux, petits et allongés, n'éclairent pas le visage arrondi. Le front, déjà assez étroit, se cache souvent en partie sous une chevelure abondante. Les épaules épaisses, l'estomac un tantinet proéminent, l'allure un peu pesante et maladroite : tout dénote une personnalité peu distinguée mais profondément humaine et débonnaire. Redouane possède une charmante voix grave et enrouée. Il se passe souvent la langue sur les lèvres — manifestation, croit-on, d'un bon vivant et d'un sensuel.

Redouane est indéniablement un conformiste. Respectueux des traditions et conventions, il manifeste toujours une certaine méfiance à l'égard de tout changement et de toute innovation. On l'entend souvent chanter les louanges du passé et déplorer la dégradation des mœurs d'aujourd'hui. On ne s'étonnera pas de le voir s'attacher à tout ce qui concerne l'héritage d'antan : l'histoire, les langues mortes, l'archéologie, etc.

Dans sa prime jeunesse, Redouane peut papillonner un peu, plus par curiosité que par penchant donjuanesque. Puis il se marie sûrement et en général assez tôt. Il se révèle alors un bon époux qui fait tout son possible pour rendre la vie agréable à sa femme, et un bon père qui élève bien ses enfants et s'intéresse réellement à eux. C'est dire qu'il a le sens du devoir familial et de la fidélité conjugale. Il est rare de le voir traîner dans les bistros ou passer un après-midi entier à jouer à la pétanque avec ses copains. En revanche, il n'hésite pas à assumer une partie des charges ménagères, par exemple faire les courses.

On peut qualifier le natif de pantouflard. En effet, son foyer est à lui ce que le cocon est au ver à soie. Une cheminée, une pipe, un poste de télévision, une femme contente et des enfants sages constituent pour lui un train de vie idéal. Il ne mènera pas d'une main de fer son royaume domestique, mais il insistera quand même pour qu'on tienne compte de ses manies et qu'on les respecte.

La bonne humeur est la règle générale plutôt que l'exception dans le comportement de Redouane. Et dans des moments d'euphorie, il peut devenir très bavard, racontant de savoureuses histoires drôles.

Mais sous cet aspect bon enfant se cache une âme sensible. Une simple égratignure pourrait le faire saigner. Le natif est particulièrement vulnérable aux déceptions amoureuses. Pour lui, "plaisir d'amour ne dure qu'un moment, chagrin d'amour dure toute la vie" (Florian). C'est pourquoi il regarde toujours l'amour avec une certaine appréhension. Il vibrerait plus que personne en lisant ces vers de Verlaine :
Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon cœur, qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et, qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.


Un rêveur décalé qui ne l'est pas autant qu'on peut le croire :sournois:
 
Fatima-Zohra est rarement très belle. Cela ne veut nullement dire qu'elle est laide. Musclée comme Diane la chasseresse, la native marche d'un pas rapide et décidé. Toute sa personne dégage une grande vivacité et laisse entrevoir une réserve nerveuse inépuisable. Elle se maquille rarement et très peu. Il faut aussi signaler qu'elle porte des jupes ou des robes beaucoup moins souvent que des pantalons serrés qui moulent merveilleusement ses cuisses fermes et élancées. (=> j'aime les robes, quand même!)

Fatima-Zohra est tout ce qu'on veut, sauf docile et paresseuse. Elle sait ce qu'elle veut et remue ciel et terre pour l'obtenir. Elle sait aussi ce qu'elle vaut et exige que les gens le reconnaissent. Les obstacles ne la découragent pas.

Elle sent qu'elle est parfaitement égale à l'homme. C'est pourquoi elle supporte si difficilement les pratiques misogynes de la société contemporaine. Elle milite avec acharnement, seule ou au sein du M.L.F., pour forcer le respect des hommes, pour faire prévaloir ses droits de femme.

Douée de volonté et de discernement, détestant la frivolité et la dépendance, la native se lance dans la vie comme un cavalier charge l'ennemi. Elle choisit précisément les activités qui sont jusque-là considérées comme le domaine exclusif de la gent masculine. Et elle réussit, parfois brillamment, contre le souhait de ses détracteurs. Elle n'est pas toujours aimée des hommes, dont la plupart ne la regardent pas comme une vraie femme, mais elle force leur estime et les oblige à remettre en question leur prétendue supériorité de mâles.

C'est dans sa vie privée qu'elle connaît des problèmes qui la désemparent. Où peut-elle trouver un homme à aimer qui l'accepte comme elle est et qui ne se sente pas diminué à côté d'elle ? Pour fuir la solitude, elle est la plupart du temps obligée de céder — en aimant des hommes faibles, efféminés, qui seraient heureux qu'elle porte la culotte (=>je ne les aime pas, bien au contraire), ou en s'effaçant et en s'écrasant devant les hommes qu'elle se serait choisis (=>je me ressaisis sur le champs et je mets fin à l'histoire avant même qu'elle commence). L'une ou l'autre solution lui est également douloureuse. Une fois mariée, elle sera confrontée au pénible choix entre la poursuite de sa carrière professionnelle qui lui tient à cœur et ses devoirs de mère de famille et maîtresse de maison. Elle sera le lieu d'un tiraillement pénible. Et quelle que puisse être sa décision, elle aura sur le cœur un lourd sentiment de culpabilité ou de regret. Parfois la religion l'aide à surmonter sa tristesse.
 
Pourtant, sa situation n'est pas nécessairement si dramatique. La native peut certainement atténuer la rigueur de ses difficultés. Elle pourrait, si elle le voulait, ménager les hommes qu'elle aime, sans pour autant renoncer à sa dignité. Elle doit aussi exercer une profession différente de la leur afin d'éviter les occasions de conflit et de rivalité. Quant au second problème, il est toujours possible de concilier dans une certaine mesure vie professionnelle et vie familiale. D'ailleurs, Fatima-Zohra n'a pas intérêt à abandonner complètement sa carrière, son dynamisme ne lui permettant pas d'être femme au foyer à plein temps.

Qu'elle veuille le reconnaître ou non, Fatima-Zohra parfois regrette secrètement de ne pas appartenir à l'autre sexe, pensant que la vie est tout de même plus facile pour un homme. Mais elle n'a ni à envier les hommes, ni à se comparer à eux. Comme disait Rousseau, "en ce qu'ils ont de commun, les deux sexes sont égaux ; en ce qu'ils ont de différent, ils ne sont pas comparables".
 
Fatima-Zohra est rarement très belle. Cela ne veut nullement dire qu'elle est laide. Musclée comme Diane la chasseresse, la native marche d'un pas rapide et décidé. Toute sa personne dégage une grande vivacité et laisse entrevoir une réserve nerveuse inépuisable. Elle se maquille rarement et très peu. Il faut aussi signaler qu'elle porte des jupes ou des robes beaucoup moins souvent que des pantalons serrés qui moulent merveilleusement ses cuisses fermes et élancées. (=> j'aime les robes, quand même!)

Fatima-Zohra est tout ce qu'on veut, sauf docile et paresseuse. Elle sait ce qu'elle veut et remue ciel et terre pour l'obtenir. Elle sait aussi ce qu'elle vaut et exige que les gens le reconnaissent. Les obstacles ne la découragent pas.

Elle sent qu'elle est parfaitement égale à l'homme. C'est pourquoi elle supporte si difficilement les pratiques misogynes de la société contemporaine. Elle milite avec acharnement, seule ou au sein du M.L.F., pour forcer le respect des hommes, pour faire prévaloir ses droits de femme.

Douée de volonté et de discernement, détestant la frivolité et la dépendance, la native se lance dans la vie comme un cavalier charge l'ennemi. Elle choisit précisément les activités qui sont jusque-là considérées comme le domaine exclusif de la gent masculine. Et elle réussit, parfois brillamment, contre le souhait de ses détracteurs. Elle n'est pas toujours aimée des hommes, dont la plupart ne la regardent pas comme une vraie femme, mais elle force leur estime et les oblige à remettre en question leur prétendue supériorité de mâles.

C'est dans sa vie privée qu'elle connaît des problèmes qui la désemparent. Où peut-elle trouver un homme à aimer qui l'accepte comme elle est et qui ne se sente pas diminué à côté d'elle ? Pour fuir la solitude, elle est la plupart du temps obligée de céder — en aimant des hommes faibles, efféminés, qui seraient heureux qu'elle porte la culotte (=>je ne les aime pas, bien au contraire), ou en s'effaçant et en s'écrasant devant les hommes qu'elle se serait choisis (=>je me ressaisis sur le champs et je mets fin à l'histoire avant même qu'elle commence). L'une ou l'autre solution lui est également douloureuse. Une fois mariée, elle sera confrontée au pénible choix entre la poursuite de sa carrière professionnelle qui lui tient à cœur et ses devoirs de mère de famille et maîtresse de maison. Elle sera le lieu d'un tiraillement pénible. Et quelle que puisse être sa décision, elle aura sur le cœur un lourd sentiment de culpabilité ou de regret. Parfois la religion l'aide à surmonter sa tristesse.


Hihi c'est bien tu joues le jeu :D
 
Pas mal...
J'ai pris soin de clarifier certaines choses qui ne me correspondent pas (entre parenthèses et soulignés).
 
Une puissante ossature, des muscles volumineux, des mains géantes, des pieds extraordinairement pointés vers l'extérieur... voilà les quelques signes qui révèlent indiscutablement ****. Il se déplace et se meut avec lenteur, une lenteur presque étudiée qui exaspérerait les gens pressés ou nerveux. Sa voix grave et rauque constitue un de ses charmes.

****a un solide appétit sexuel sur lequel l'âge a peu d'incidence. Bien sûr, il n'est pas très fort en préliminaires, ni en épilogue, considérant les jeux érotiques comme des fioritures. Mais quand il s'agit de l'essentiel, il n'a rien à envier aux autres hommes ; il peut se mesurer avec les femmes les plus exigeantes.

Pourtant, courir les jupons serait la dernière de ses préoccupations, si jamais c'en était une. Le natif marié se montre généralement d'une fidélité exemplaire, et le célibataire est sage comme un moine.

Puisque son travail constitue sa raison d'être, *****a souvent tendance à s'y donner tout entier en négligeant ses autres obligations. Il se croit bon mari et bon père parce qu'il pourvoit consciencieusement aux besoins matériels de sa femme et de ses enfants. Il oublie que son foyer a aussi besoin de sa présence, de ses caresses, de sa participation aux multiples activités quotidiennes. On lui conseillera de se détacher de temps en temps de ses préoccupations professionnelles pour s'entretenir avec sa femme sur la nouvelle flambée des prix alimentaires, sur la rareté des pommes de terre ou du sucre, sur la mode du printemps prochain ; pour discuter avec son fils sur le championnat de France de football ; ou encore pour féliciter sa fille de son succès au concours régional de poésie. Il dira que tout cela est artificiel et même ridicule, persuadé que les vrais sentiments sont muets. Mais c'est là qu'il se trompe, car les sentiments humains doivent s'extérioriser pour pouvoir toucher ceux qui en sont l'objet. *****est-il plein de sollicitude et de tendresse pour sa famille ? Personne ne s'en rendra compte tant qu'il ne le traduira pas en faits et gestes concrets. Shakespeare disait, avec beaucoup de perspicacité : "Ceux-là n'aiment pas qui ne montrent pas leur amour."

Il importe que toute femme mariée à un *****soit consciente de la réticence naturelle, voire la pudeur naturelle, de son mari. Celui-ci, je vous l'assure, est toujours plein de bonnes intentions. Mais vous ne le trouverez certainement pas assez attentionné. Bouder, pleurer, récriminer ne serviront pas à grand-chose, car il déteste le chantage sentimental. Acceptez-le comme il est et cherchez votre consolation dans des activités qui vous plaisent. Il se bonifiera avec l'âge, cela est certain, et peut-être aussi après avoir lu mes conseils dans cet article...

*****a intérêt à lire beaucoup et à voyager fréquemment. Ce sont pour lui les meilleurs moyens de sortir de l'univers clos où il a tendance à s'enfermer. Il doit constamment se défier de l'encrassement moral.

y a un peu de vrai :D
 
La beauté de Shali est somptueuse et éblouissante. On peut la reconnaître de loin à sa démarche altière, à sa silhouette élancée, à ses mouvements précis et nobles. Elle est souvent blonde, d'une blondeur incendiaire. Si elle est brune, ses cheveux ont la couleur de la plus belle ébène et revêtent un aspect éminemment troublant. Elle a en général une poitrine bien développée et d'un galbe parfait. Le ventre plat, la cambrure des reins légèrement accusée mettant en valeur la taille fine, les membres modérément musclés, tels sont les éléments qui prédisposent la native à une brillante carrière de danseuse. On ne saurait résister à l'envie de se noyer dans les infinies profondeurs de ses yeux. Ajoutez à cela ses lèvres charnues et sensuelles, et vous aurez une idée de la fascination qu'elle peut exercer sur son entourage.

Shali n'a pratiquement pas de problème pour se marier — elle ne court pas le risque de rester vieille fille —, ce qui constitue déjà un privilège appréciable, n'est-ce pas ? Le cortège de ses soupirants est impressionnant, à telle enseigne qu'elle a bien souvent l'embarras du choix. On la demande en mariage de tous les côtés. La native reste jeune et belle beaucoup plus longtemps que la plupart des autres femmes. Le temps lui cause peu d'irréparables outrages. C'est d'ailleurs vers la quarantaine que sa beauté atteint son plein épanouissement ; avec une certaine expérience de la vie, son arsenal de séductrice est alors complet.

Shali est très attentive aux évolutions de la mode ; elle les suit avec assiduité et empressement. Cela n'a rien d'étonnant puisque son pain quotidien, c'est le regard de la foule. Elle s'habille généralement avec éclat et a tendance à forcer légèrement son maquillage. Les tons pastel ou discrets n'entrent pas dans ses préférences. "Elles viennent pour voir, elles viennent aussi pour être vues", disait Ovide à propos des Romaines qui venaient au spectacle. On a toutes les raisons de croire qu'un grand nombre de ces femmes étaient des Shali...

L'esprit d'indépendance est extrêmement développé chez Shali, et elle est rarement prête à l'abandonner ou même à l'édulcorer. Son amant ou son mari seraient avisés d'en tenir compte afin d'éviter de fâcheuses complications. Elle n'accorde qu'un intérêt mitigé aux revendications féministes, se sentant parfaitement égale aux hommes et capable de faire tous les métiers traditionnellement masculins. Ce n'est décidément pas une femme d'intérieur idéale. On surprend parfois chez elle une pointe de mépris pour certains hommes qu'elle qualifie de "bêtes" ; ce sont surtout ses prétendants jaloux auxquels elle ne daigne jeter un regard. Pourtant, au fond d'elle-même, elle se flatte d'être entourée de ces malheureux benêts.

La fidélité conjugale chez la native est incertaine, car Shali a besoin de flirts pour être bien dans sa peau comme d'air pour respirer. Un mari avisé ne cherchera pas à s'opposer à ses agissements et fera preuve de beaucoup d'indulgence. Une certaine ambiguïté serait probablement la meilleure solution. Comme la native n'est pas foncièrement mauvaise ou perverse, elle appréciera l'attitude compréhensive de son mari, lui gardera une place de choix dans son coeur. Ayant le sens du fair-play, elle fermera volontiers les yeux si son mari a le béguin pour d'autres femmes.

xptdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr c'est pas la réalité :D
 
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