Bonjour sadik69.Paix........!
C'est la théorie la plus probable, même si quelques tenants du big cruch ne désarment pas.sadik69 a dit:( Parenthèse relative à la finitude de l'univers )
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Réfléchissons.
Nous savons que l'univers est dans un état d'expansion perpétuel.
C'est à dire que le volume de l'univers ne cesse d'augmenter à chaque instant et que ce phénomène ne s'arrêtera pas.
Cela dit, on ne peut parler d'univers dont le volume augmente que si l'univers est fini. Si l'univers est infini, on ne peut pas parler de volume croissant...
Expansion ne signifie volume croissant que dans le cas fini. Dans le cas infini, cela se traduirait plutôt par une dilatation de l'espace en tout point, sans que l'on puisse parler de son volume.
Dans le cas de l'univers, c'est possible de raisonner ainsi. Mais il faut aussi se dire qu'un objet qui a un volume en perpétuelle croissance peut très bien ne pas dépasser un volume limite, un volume asymptotique. Par exemple V(T)=Vlimite - 1/(1+T)sadik69 a dit:Ainsi donc nous voyons que toutes tailles ou toutes grandeurs de volume que nous pourrions fixer à l'univers celui-ci atteindra ces tailles ces grandeurs et les dépasseront.
En outre, le temps utilisé ("atteindra", futur) montre qu'au temps présent, au moment où l'on parle, il peut fort bien être fini...
Mais à tout instant, il serait fini, bien que croissant, non?sadik69 a dit:L'univers donc atteindra toutes les grandeurs possibles en terme de volume ; nous pouvons donc dire qu'il n'existe aucune grandeur limite qui serait supérieure à la taille volumineuse de l'univers.
Ce n'est pas ainsi qu'on définit "l'infini".sadik69 a dit:En fait l'univers est donc infini car on ne peut lui donner aucune grandeur limite de taille de volume.
Un ensemble est infini si à un moment donné il a une taille illimitée.
Par contre, et je l'ai déjà noté dans un de mes mails, si le volume de l'univers était par exemlpe:
V(T)=K*T (avec K strictement positif)
Alors en effet, quelque soit le volume considéré, V(T) sera forcément à un moment ou un autre plus grand que ce volume. Mais sans que l'univers ayant V(T) pour volume soit "infini", car il est fini à tout instant.
Les théories des cordes voient les particules élémentaires comme des "modes de vibrations" de cordes.sadik69 a dit:( Parenthèse relative à la divisibilité à l'infini )
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Réfléchissons.
Si division à l'infini de la matière alors chaque particule est composée d'un nombre infini de sous-particules qui seraient elles-mêmes composées de sous-sous énièmes particules... et donc il y aurait impossibilité qu'il y ait quelque chose de STABLE puisque chaque ATOME STABLE devrait être une combinaison infinie de particules qui elle même serait une combinaison infinie de particules et donc on ne pourrait arriver à un atome stable c'est à dire impossible de RÉUNIR le nombre de particules qu'il faudrait pour constituer telle ou telle particule.....puisque ce nombre de composants serait infini......!
Cependant, l'idée de particules élémentaires est en effet intutivement fondée, depuis que l'on sait que la matière est essentiellement "lacunaire", interaction entre des particules éloignées les unes des autres, et non pas un élément continu, sans "trous".
Et dont les diverses "combinaisons" donnent diverses caractéristiques. Plutôt que de considérer qu'en chaque "indivisible" se niche toutes les caractéristiques de la matière.sadik69 a dit:Donc comme nous l'avions déjà dit il existe un " indivisible " ou des " indivisibles " en nombre fini qui constituent le fondement de la matière.
Bonne journée.