Pour "l'opération spéciale militaire russe" qui traine en longueur, les forces armées dépendent de forces fraîches. Les « volontaires » sont annoncés partout et pas toujours sans coercition.
Il est sorti acheter des cigarettes et n'est jamais revenu. De telles histoires sont à l'ordre du jour depuis fin février dans les « républiques populaires » de lougansk et donetsk, qui ne sont reconnues que par la russie. Ils traitent d'une forme particulière de disparition : la mobilisation pour la « milice populaire » des zones autonomes du Donbass qui sont en réalité sous contrôle russe. Les autorités tentent de recruter par tous les moyens la population masculine valide pour le service militaire.
meduza.io
Il est clair pour tout le monde : les "soldats" ainsi recrutés sont de la chair à canon dans "l'opération militaire spéciale", contre l'Ukraine. Les "milices populaires" sont utilisées conjointement avec l'armée russe, également hors du Donbass, par exemple près de Kharkiv.
Dans un article du portail en ligne Medusa, leurs proches font état d'un équipement inadéquat, d'un manque de vêtements et d'un ravitaillement insuffisant. Ceux qui sont blessés sont mal soignés.
La motivation est donc faible. Environ 140 000 personnes ont été enrôlées de cette manière, selon des rapports de groupes de défense des droits de l'homme ; un à deux tiers d'entre eux ont été envoyés sur le front de guerre.
Il est sorti acheter des cigarettes et n'est jamais revenu. De telles histoires sont à l'ordre du jour depuis fin février dans les « républiques populaires » de lougansk et donetsk, qui ne sont reconnues que par la russie. Ils traitent d'une forme particulière de disparition : la mobilisation pour la « milice populaire » des zones autonomes du Donbass qui sont en réalité sous contrôle russe. Les autorités tentent de recruter par tous les moyens la population masculine valide pour le service militaire.
Жизнь здесь катится в хреновую сторону В ЛНР и ДНР на войну с Украиной забрали десятки тысяч жителей. Без них в тылу не работают предприятия, а спецслужбы преследуют даже жен призывников — Meduza
С начала войны с Украиной в самопровозглашенных республиках Донбасса принудительно мобилизованы десятки тысяч жителей. Сами призывники испытывают недостаток в медицинской помощи, обмундировании и даже еде. Их близких, которые решаются заявлять о проблемах, преследуют спецслужбы. Тем временем...
Il est clair pour tout le monde : les "soldats" ainsi recrutés sont de la chair à canon dans "l'opération militaire spéciale", contre l'Ukraine. Les "milices populaires" sont utilisées conjointement avec l'armée russe, également hors du Donbass, par exemple près de Kharkiv.
Dans un article du portail en ligne Medusa, leurs proches font état d'un équipement inadéquat, d'un manque de vêtements et d'un ravitaillement insuffisant. Ceux qui sont blessés sont mal soignés.
La motivation est donc faible. Environ 140 000 personnes ont été enrôlées de cette manière, selon des rapports de groupes de défense des droits de l'homme ; un à deux tiers d'entre eux ont été envoyés sur le front de guerre.