‘‘Seuls trois pays dans le monde ont appuyé clairement Erdogan depuis le début - le Maroc, le Qatar et le Soudan.’’
Ainsi a relevé David Hirst, grand reporter et écrivain britannique, spécialiste du Moyen-Orient, en commentaire des positions ambigües, qu’ont pris tous les pays occidentaux, américains et Européens ainsi que des pays du Moyen-Orient, après l’éclatement en Turquie, de la tentative de putsch militaire, et dont les répliques l’ébranlent encore jusqu’à maintenant.
Dans une tribune qu’il a signée sur le site d’information, Middle East Eye, David Hirst a indiqué que nombreux et flagrants sont les signes que les occidentaux et certains pays arabes, []ont effectivement souhaité la réussite du coup d’Etat militaire et la chute du président Erdogan.[/i]
Ils ont, les uns et les autres, tergiversé longuement avant d’exprimer de manière vaseuse des positions de soutien à la démocratie en Turquie.
Alors que l'ambassade américaine à Ankara qualifiait le putsch militaire de ‘soulèvement’, des pays comme l’Egypte ou les Emirats Arabes Unis colportaient déjà de fausses informations sur la fuite d’Erdogan ou sur sa demande d’asile en Allemagne.
Les médias en Angleterre quant à eux, annonçaient sa chute en le qualifiant "d’islamiste autoritaire".
David Hirst releva que les occidentaux ont attendu 3 heures avant de s’exprimer sur le putsch sans ouvertement le condamner.
Les Saoudiens eux ont attendu 15 heures avant d'émettre une déclaration de soutien à Erdogan.
Seuls 3 pays dans le monde, souligne Hirst, ont été clairs dés le début en apportant leur soutien à Erdogan : le Maroc, le Qatar et le Soudan.
David Hirst conclut:
‘’La réaction du peuple turque a été celle d'une démocratie mature. La réaction occidentale était celle de la pseudo-démocratie corrompue, entachée par le soutien politique à l'autocratie militaire.’‘
Adam Sfali
Lemag.ma
Ainsi a relevé David Hirst, grand reporter et écrivain britannique, spécialiste du Moyen-Orient, en commentaire des positions ambigües, qu’ont pris tous les pays occidentaux, américains et Européens ainsi que des pays du Moyen-Orient, après l’éclatement en Turquie, de la tentative de putsch militaire, et dont les répliques l’ébranlent encore jusqu’à maintenant.
Dans une tribune qu’il a signée sur le site d’information, Middle East Eye, David Hirst a indiqué que nombreux et flagrants sont les signes que les occidentaux et certains pays arabes, []ont effectivement souhaité la réussite du coup d’Etat militaire et la chute du président Erdogan.[/i]
Ils ont, les uns et les autres, tergiversé longuement avant d’exprimer de manière vaseuse des positions de soutien à la démocratie en Turquie.
Alors que l'ambassade américaine à Ankara qualifiait le putsch militaire de ‘soulèvement’, des pays comme l’Egypte ou les Emirats Arabes Unis colportaient déjà de fausses informations sur la fuite d’Erdogan ou sur sa demande d’asile en Allemagne.
Les médias en Angleterre quant à eux, annonçaient sa chute en le qualifiant "d’islamiste autoritaire".
David Hirst releva que les occidentaux ont attendu 3 heures avant de s’exprimer sur le putsch sans ouvertement le condamner.
Les Saoudiens eux ont attendu 15 heures avant d'émettre une déclaration de soutien à Erdogan.
Seuls 3 pays dans le monde, souligne Hirst, ont été clairs dés le début en apportant leur soutien à Erdogan : le Maroc, le Qatar et le Soudan.
David Hirst conclut:
‘’La réaction du peuple turque a été celle d'une démocratie mature. La réaction occidentale était celle de la pseudo-démocratie corrompue, entachée par le soutien politique à l'autocratie militaire.’‘
Adam Sfali
Lemag.ma