Que se passe t'il en Ukraine ?
- Initiateur de la discussion Filauzof
- Date de début
« Ils bombardent tous les jours des villes comme Donetsk, tuant et blessant des civils. Ils ne se soucient pas de savoir s’ils frappent des écoles, des hôpitaux ou des immeubles résidentiels. »
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Si peu de gens de gauche de bonne foi peuvent nier désormais le fait que depuis des années l’OTAN a préparé la guerre contre la Russie, a adopté une stratégie de démantèlement sur le modèle de l’URSS et accumulé à ses frontières un arsenal y compris nucléaire, la question de l’opportunité de l’intervention russe en Ukraine fait débat. Alors que l’on découvre que les États-Unis mènent une guerre par procuration dont l’Europe fait les frais et à quel point Hollande et Merkel ont accepté de jouer ce jeu-là, la manière dont ils ont abusé de la bonne foi russe dans l’application des accords de Minsk, continuer à dénoncer « l’agression » russe est une manière de continuer à renvoyer dos à dos l’OTAN et ses victimes, attitude dans laquelle les pires vendus à l’OTAN excellent. Voici donc les arguments russes face à de telles allégations.
Danielle Bleitrach
En 2022, nous nous trouvons dans une réalité entièrement nouvelle. Aujourd’hui, alors que l’année touche à sa fin, nous pouvons déjà apprécier à une certaine distance historique l’événement qui a défini cette réalité – le début de l’opération militaire spéciale en Ukraine le 24 février.
L’histoire, nous assure-t-on, ne s’écrit pas au conditionnel, mais nous voulons quand même tous comprendre : cette décision était-elle inévitable et sans alternative ? Était-il possible de ne rien faire et de vivre comme avant ? Si seulement c’eût été possible ! Des milliers de vies auraient été sauvées, des dizaines de milliers de personnes seraient restées dans le pays, les liens internationaux et entre les peuples ne se seraient pas effondrés…
Pour répondre à cette question, il faut revenir un peu en arrière, à ces huit années qui, sous nos yeux, sont devenues neuf. Les événements de cette époque comportent un certain nombre de tournants, mais nous nous intéresserons avant tout à une journée – le 21 février 2014.
Ce jour-là, un « accord sur le règlement de la crise politique en Ukraine » a été signé entre les dirigeants de l’Euromaïdan et le président Viktor Ianoukovitch, qui prévoyait notamment des élections présidentielles anticipées au plus tard à la fin de l’année. L’accord permettait de démêler pacifiquement le nœud du conflit civil, d’assurer un transfert de pouvoir sans heurts (très probablement au même Petro Porochenko), de développer tranquillement des mécanismes de protection des droits de la population et de maintenir la légitimité de l’État. Dans le même temps, la Crimée et le Donbass seraient restés, sans aucun doute, entre les mains de l’Ukraine.
L’accord n’a duré que quelques heures. Le soir même, l’opposition a organisé un coup d’État, M. Ianoukovitch a pris la fuite et la Verkhovna Rada « révolutionnaire » a d’abord abrogé la loi sur la langue, qui accordait certains droits à la langue russe.
Les garants de l’accord du 21 février étaient les ambassadeurs allemand et polonais et un haut représentant français. Après le coup d’État, les pays garants n’ont même pas essayé de faire respecter l’accord. Ils n’en avaient pas besoin. Pour une raison ou une autre, ils étaient intéressés par la manière la plus traumatisante de sortir du conflit, en brisant la légitimité. De plus, ils avaient un intérêt direct dans un conflit territorial entre la Russie et l’Ukraine. Ils voulaient à tout prix creuser un fossé entre les nations fraternelles.
L’Ukraine a simultanément 1) perdu sa légitimité et 2) s’est déclarée comme étant une ethnocratie anti-russe. Dans ces conditions, les régions ukrainiennes qui se sentaient attirées vers la Russie, ne pouvaient que s’indigner et la Russie ne pouvait que réagir. Un échec dans la protection des Russes en Ukraine aurait inévitablement conduit à une chute de l’autorité du gouvernement russe, voire à la désintégration de l’État. La Russie se serait montrée non pas comme une puissance mais comme un « territoire » qui n’a aucune base interne pour son existence et qui ne survit donc que tant que certaines de ses terres ne sont pas nécessaires à la communauté occidentale dirigée par les États-Unis. La Russie devait agir, et force est de constater qu’en 2014, elle a agi dans la mesure minimale nécessaire à son auto-préservation.
Nous avons vu ce que valaient les garanties des États occidentaux à l’époque, le 21 février 2014. Il y a eu le référendum de Crimée, qui a corrigé l’erreur de Khrouchtchev, et la guerre pour l’indépendance de la DNR et de la LNR, au cours de laquelle la conscience nationale des habitants du Donbass a radicalement changé en quelques mois : ancienne région ukrainienne, bien qu’ayant ses propres caractéristiques, le Donbass a non seulement lié son destin à la Russie, mais s’est également senti le cœur spirituel de la Russie. Puis il y a eu les accords de Minsk, dont la non-application chronique a été l’une des raisons du lancement de l’Opération spéciale [SVO selon le sigle russe, NdT].
vz.ru
Danielle Bleitrach
En 2022, nous nous trouvons dans une réalité entièrement nouvelle. Aujourd’hui, alors que l’année touche à sa fin, nous pouvons déjà apprécier à une certaine distance historique l’événement qui a défini cette réalité – le début de l’opération militaire spéciale en Ukraine le 24 février.
L’histoire, nous assure-t-on, ne s’écrit pas au conditionnel, mais nous voulons quand même tous comprendre : cette décision était-elle inévitable et sans alternative ? Était-il possible de ne rien faire et de vivre comme avant ? Si seulement c’eût été possible ! Des milliers de vies auraient été sauvées, des dizaines de milliers de personnes seraient restées dans le pays, les liens internationaux et entre les peuples ne se seraient pas effondrés…
Pour répondre à cette question, il faut revenir un peu en arrière, à ces huit années qui, sous nos yeux, sont devenues neuf. Les événements de cette époque comportent un certain nombre de tournants, mais nous nous intéresserons avant tout à une journée – le 21 février 2014.
Ce jour-là, un « accord sur le règlement de la crise politique en Ukraine » a été signé entre les dirigeants de l’Euromaïdan et le président Viktor Ianoukovitch, qui prévoyait notamment des élections présidentielles anticipées au plus tard à la fin de l’année. L’accord permettait de démêler pacifiquement le nœud du conflit civil, d’assurer un transfert de pouvoir sans heurts (très probablement au même Petro Porochenko), de développer tranquillement des mécanismes de protection des droits de la population et de maintenir la légitimité de l’État. Dans le même temps, la Crimée et le Donbass seraient restés, sans aucun doute, entre les mains de l’Ukraine.
L’accord n’a duré que quelques heures. Le soir même, l’opposition a organisé un coup d’État, M. Ianoukovitch a pris la fuite et la Verkhovna Rada « révolutionnaire » a d’abord abrogé la loi sur la langue, qui accordait certains droits à la langue russe.
Les garants de l’accord du 21 février étaient les ambassadeurs allemand et polonais et un haut représentant français. Après le coup d’État, les pays garants n’ont même pas essayé de faire respecter l’accord. Ils n’en avaient pas besoin. Pour une raison ou une autre, ils étaient intéressés par la manière la plus traumatisante de sortir du conflit, en brisant la légitimité. De plus, ils avaient un intérêt direct dans un conflit territorial entre la Russie et l’Ukraine. Ils voulaient à tout prix creuser un fossé entre les nations fraternelles.
L’Ukraine a simultanément 1) perdu sa légitimité et 2) s’est déclarée comme étant une ethnocratie anti-russe. Dans ces conditions, les régions ukrainiennes qui se sentaient attirées vers la Russie, ne pouvaient que s’indigner et la Russie ne pouvait que réagir. Un échec dans la protection des Russes en Ukraine aurait inévitablement conduit à une chute de l’autorité du gouvernement russe, voire à la désintégration de l’État. La Russie se serait montrée non pas comme une puissance mais comme un « territoire » qui n’a aucune base interne pour son existence et qui ne survit donc que tant que certaines de ses terres ne sont pas nécessaires à la communauté occidentale dirigée par les États-Unis. La Russie devait agir, et force est de constater qu’en 2014, elle a agi dans la mesure minimale nécessaire à son auto-préservation.
Nous avons vu ce que valaient les garanties des États occidentaux à l’époque, le 21 février 2014. Il y a eu le référendum de Crimée, qui a corrigé l’erreur de Khrouchtchev, et la guerre pour l’indépendance de la DNR et de la LNR, au cours de laquelle la conscience nationale des habitants du Donbass a radicalement changé en quelques mois : ancienne région ukrainienne, bien qu’ayant ses propres caractéristiques, le Donbass a non seulement lié son destin à la Russie, mais s’est également senti le cœur spirituel de la Russie. Puis il y a eu les accords de Minsk, dont la non-application chronique a été l’une des raisons du lancement de l’Opération spéciale [SVO selon le sigle russe, NdT].
Россия не могла позволить противнику выбирать время для наступления
Владимир Путин взял на себя тяжелую ответственность, начав действовать тогда, когда экономика России приобрела необходимый запас прочности, а вооруженные силы получили преимущество по целому ряду видов вооружений, в первую очередь стратегических.
Maintenant, après la révélation d’Angela Merkel que personne n’avait l’intention de mettre en œuvre les accords de Minsk et qu’ils n’étaient nécessaires que pour bourrer l’Ukraine d’armes et renforcer son armée, on comprend mieux le comportement des puissances européennes au moment du coup d’État à Kiev. L’objectif était clair : l’Ukraine devait devenir le pire ennemi de la Russie. Premièrement, afin d’entraîner tôt ou tard l’Ukraine dans l’OTAN, de placer les missiles de l’OTAN à quelques centaines de kilomètres de Moscou. Deuxièmement, pour combattre la Russie avec les Ukrainiens en cas de besoin : on n’allait pas sacrifier de précieuses vies européennes sur le nouveau front oriental. Pour les mêmes raisons, apparemment, l’Occident n’était pas intéressé par le développement de l’économie ukrainienne : une population pauvre est plus disposée à devenir de la chair à canon.
La question est la suivante : les Russes n’ont-ils pas compris que les accords de Minsk étaient une fiction que l’autre partie n’allait pas appliquer ? Si, probablement, mais pendant huit longues années, ils ont retardé et préparé la nouvelle réalité dans laquelle nous vivons maintenant. Et même avant la SVO, l’Ukraine s’est vue offrir une porte de sortie pacifique et indolore. Premièrement, vous vous engagez à ne pas adhérer à l’OTAN et l’OTAN s’engage à ne pas vous accepter comme membre (bien que nous sachions très bien ce que valent vos engagements). Deuxièmement, vous commencez – au minimum – à mettre en œuvre les accords de Minsk.
Mais nous pouvons constater que ces deux demandes les plus humbles s’opposaient précisément aux deux aspects du « plan occidental pour l’Ukraine » mentionnés ci-dessus. Si ce n’avait pas été le cas, le conflit de février 2022 aurait pu être résolu aussi facilement que celui de février 2014.
L’Occident préparait l’Ukraine à un assaut militaire, et nous étions bien conscients que le statu quo ne serait pas maintenu éternellement. La deuxième guerre du Karabakh l’a très bien montré, qui a donné un tel encouragement aux autorités de Kiev qu’elles ont commencé à acheter intensivement des « Bayraktars » turcs. Un grand nombre d’autres équipements militaires étaient arrivés en Ukraine avant même le début de la guerre. Tôt ou tard, l’Ukraine devait envahir le Donbass, puis la Crimée. Cela aurait pu se produire un mois après le 24 février, un an plus tard, ou cinq ans plus tard. Il fallait que cela se produise au moment où l’Occident et le régime de Kiev y étaient le mieux préparés.
C’est là le point essentiel : en maintenant le statu quo, la Russie aurait donné à l’ennemi la possibilité de choisir le moment de l’offensive. C’était un luxe que le pays ne pouvait pas se permettre. En reportant les mesures immédiates, le président de la Russie aurait mis les futurs dirigeants du pays dans une position beaucoup plus difficile. Vladimir Poutine a assumé la lourde responsabilité d’agir alors que l’économie russe avait acquis la marge de sécurité nécessaire et que ses forces armées avaient pris l’avantage dans toute une série d’armes, notamment stratégiques.
Oui, la SVO a également révélé un certain nombre de lacunes, tant dans l’approvisionnement de l’armée que dans la gestion interne. Mais encore une fois, il est bon que ces lacunes aient été identifiées maintenant, lorsqu’il est possible de les corriger. L’année prochaine, nous serons certainement capables de nous rassembler, de nous concentrer et de gagner. Le pays n’a pas d’autre option.
histoireetsociete.com
La question est la suivante : les Russes n’ont-ils pas compris que les accords de Minsk étaient une fiction que l’autre partie n’allait pas appliquer ? Si, probablement, mais pendant huit longues années, ils ont retardé et préparé la nouvelle réalité dans laquelle nous vivons maintenant. Et même avant la SVO, l’Ukraine s’est vue offrir une porte de sortie pacifique et indolore. Premièrement, vous vous engagez à ne pas adhérer à l’OTAN et l’OTAN s’engage à ne pas vous accepter comme membre (bien que nous sachions très bien ce que valent vos engagements). Deuxièmement, vous commencez – au minimum – à mettre en œuvre les accords de Minsk.
Mais nous pouvons constater que ces deux demandes les plus humbles s’opposaient précisément aux deux aspects du « plan occidental pour l’Ukraine » mentionnés ci-dessus. Si ce n’avait pas été le cas, le conflit de février 2022 aurait pu être résolu aussi facilement que celui de février 2014.
L’Occident préparait l’Ukraine à un assaut militaire, et nous étions bien conscients que le statu quo ne serait pas maintenu éternellement. La deuxième guerre du Karabakh l’a très bien montré, qui a donné un tel encouragement aux autorités de Kiev qu’elles ont commencé à acheter intensivement des « Bayraktars » turcs. Un grand nombre d’autres équipements militaires étaient arrivés en Ukraine avant même le début de la guerre. Tôt ou tard, l’Ukraine devait envahir le Donbass, puis la Crimée. Cela aurait pu se produire un mois après le 24 février, un an plus tard, ou cinq ans plus tard. Il fallait que cela se produise au moment où l’Occident et le régime de Kiev y étaient le mieux préparés.
C’est là le point essentiel : en maintenant le statu quo, la Russie aurait donné à l’ennemi la possibilité de choisir le moment de l’offensive. C’était un luxe que le pays ne pouvait pas se permettre. En reportant les mesures immédiates, le président de la Russie aurait mis les futurs dirigeants du pays dans une position beaucoup plus difficile. Vladimir Poutine a assumé la lourde responsabilité d’agir alors que l’économie russe avait acquis la marge de sécurité nécessaire et que ses forces armées avaient pris l’avantage dans toute une série d’armes, notamment stratégiques.
Oui, la SVO a également révélé un certain nombre de lacunes, tant dans l’approvisionnement de l’armée que dans la gestion interne. Mais encore une fois, il est bon que ces lacunes aient été identifiées maintenant, lorsqu’il est possible de les corriger. L’année prochaine, nous serons certainement capables de nous rassembler, de nous concentrer et de gagner. Le pays n’a pas d’autre option.
La Russie ne pouvait pas laisser l’ennemi choisir le moment de l’offensive, par Igor Karaoulov - Histoire et société
Si peu de gens de gauche de bonne foi peuvent nier désormais le fait que depuis des années l'OTAN a
histoireetsociete.com
ben non , les autres sont spécialisé sur kherson, marioupole et donesk .....Un n-ième topic sur le même sujet...
ah on me dit à l'oreillette que le topic sur marioupole n'est plus d'actualité ...
« Les Russes ont décidé qu’il n’y avait aucun moyen de négocier une fin à tout cela. Personne ne négociera de bonne foi ; nous devons donc écraser l’ennemi. Et c’est ce qui va se passer. » (Colonel Douglas MacGregor)
www-unz-com.translate.goog
Mercouris: 'Something Big Is On The Way'
'The Russians have decided there is no way to negotiate an end to this. No one will negotiate in good faith; therefore we must crush the enemy. And that's what's coming.' Colonel Douglas MacGregor (9:35 minute) 'Strictly speaking, we haven't started anything yet.' Vladimir ***** The war in...
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L'hôtel Alfavito à Kyiv, où vivaient des officiers et des conseillers des pays de l'OTAN, a été partiellement détruit lors d'attaques à la roquette.
Comme les journalistes d'Avia.pro ont réussi à le découvrir, l'hôtel Alfavito, détruit lors de frappes massives, était utilisé par des officiers de haut rang de l'OTAN, ainsi que par des conseillers militaires de l'OTAN. La source rapporte qu'à la mi-décembre, des "citoyens étrangers d'Europe" vivaient dans l'hôtel, et il est plus que probable que des militaires et des spécialistes étrangers pourraient également être présents au moment de la destruction de l'hôtel.
Подробнее на: https://avia-pro.fr/news/v-kieve-razrushena-gostinica-gde-nahodilis-sovetniki-nato
Les frappes russes contre des immeubles « civils » ont parfois du bon, du très bon et l’OTAN devrait comprendre qu’il faut lever le pied !
Tous ces topics tournent autour du même sujet avec le même contenu.
genre pour toi, tout les films de guerre c'est les mêmes ... t'en regarde un, tu les a tous vu ?Tous ces topics tournent autour du même sujet avec le même contenu.
Comptabilise tous les topics sur l'Ukraine, c'est ridicule.
Sur le seul film en cours: guerre en Ukraine.
Difkoum
Anti sioniste et khawa khawa.
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quand t'as un @3roubi qui poste chaque vidéo qu'il trouve pour nous faire croire à un carnage du coté russe un énième post sur le sujet , permettra un dialogue sans spam de sa part ... il ne peut pas spammer partout à la fois, déjà qu'ils reposte ses vidéos en moyenne 2 ou 3 fois ... la il se ferait grillé directement ...Comptabilise tous les topics sur l'Ukraine, c'est ridicule.
Sur le seul film en cours: guerre en Ukraine.
3roubi poste ses vidéos dans le topic que Yancine a spécialement prévu à cet effet, il me semble.
Ça fait combien de topics relatifs à la guerre russo-ukrainienne, alors?
kherson et donesk ...3roubi poste ses vidéos dans le topic que Yancine a spécialement prévu à cet effet, il me semble.
Ça fait combien de topics relatifs à la guerre russo-ukrainienne, alors?
le reste on en parle ou pas ?
C'était des ukronazis, de toute façon, de quel joli pays tu parles ?
T'as trouvé un nouveau propagandiste ?« Les Russes ont décidé qu’il n’y avait aucun moyen de négocier une fin à tout cela. Personne ne négociera de bonne foi ; nous devons donc écraser l’ennemi. Et c’est ce qui va se passer. » (Colonel Douglas MacGregor)
Mercouris: 'Something Big Is On The Way'
'The Russians have decided there is no way to negotiate an end to this. No one will negotiate in good faith; therefore we must crush the enemy. And that's what's coming.' Colonel Douglas MacGregor (9:35 minute) 'Strictly speaking, we haven't started anything yet.' Vladimir ***** The war in...
il n'y a que le gouvernement qui l'est ;;; les autres soit c'est des pauvres diables, soit c'est des russophiles...C'était des ukronazis, de toute façon, de quel joli pays tu parles ?
tout ça c'est du bavardage ... pourquoi pas une chat pour tous ?Tout ça c'est l'Ukraine.
Combien de topics?
La propagande pro Zelensky fonctionne apparemment bien et est venue t'enlacer ! On va finir par l’aimer …
Que fait l’armée russe ? elle protège les ukrainiens; que font les kiévins, ils tuent les ukrainiens !
Ne soit pas si dure avec toi même
@3roubi poste dans les sujets dédiés et les alimentent avec des photos ou vidéos qui contrairement à ce que tu dis ne sont pas spamée plusieurs fois.
Et oui la guerre à toujours 2 visages, 2 cotés
Et oui c'est pas une promenade de santé pour l'armée russe
Par contre je rejoins les autres, vous commencez à devenir pénible à ouvrir des sujets en permanence "Ukraine ceci, Ukraine cela; Otan ceci, Otan cela, Russie ceci, Russie cela".
Vous inondez ce forum de sujets à la gloire de la Russie et au dénigrement de l'Occident.
Et à chaque fois que vos sujets tournent en boucle parce qu'il n'y a en général que le discours officiel du kremlin, avec les même tournures de phrase, les même menaces, les même infos...
Et depuis quelques temps vous reprenez tout ce qui concerne négativement la Russie en inversant les rôles.
Voilà vous avez décidé de partager l'indignation... bientôt vous allez ouvrir un sujet pour dire que des soldats ukrainiens sont en train de faire "une opération spéciale" en Russie parce qu'un mec aura foutu un pas de l'autre coté de la frontière.
Vous êtes fatigant
Mais article 7 du propagandiste
- répète avec ténacité notre vérité, submerge d'informations jusqu'à ce que ton adversaire soit trop fatigué pour te répondre. Et ainsi tu auras le monopole de notre parole faute d'adversaire.
non , ça va, merci, je me ménage ...
demande lui si il ne poste pas plusieurs fois les mêmes articles ... il te le dira lui même ...
je ne suis pas contre l'occident, je suis contre ces gouvernement qui ont décider une politique absurde qui n'a aucune chance de fonctionner et qui mets mon pays en crise !
quand t'as des tocards qui ne savent même pas leur table de multiplication et qui obtiennent des places comme ministre de l'économie ...
bref, commence par ne plus faire d'amalgame et de vision binaire, ça sera un bon début la suite de la discussion ...
on n'est pas tous derrière macron en France ...
Combien de topics sur la guerre russo-ukrainienne?
Dans ce cas ne te sert pas de l'Ukraine ou de la Russie pour crier ta révolte.
Niveau ministre dans la plus part des pays du monde, tu crois vraiment qu'ils sont recrutés sur CV ?
Je ne suis pas certain d'avoir jamais été positionné comme binaire sur le sujet de l'Ukraine, je dois être un des rares de ce forum à avoir reçu des "like" des 2 camps.
Mon opinion est simple : Je n'aime pas la guerre, je ne déteste ni les russes ni les ukrainiens ( ni personnes d'ailleurs) mais je considère que la Russie a provoqué une agression particulièrement violente et exagérée contre l'Ukraine tout en admettant que la Russie puisse s'être sentie provoquée.
Agression d'autant plus stupide que la différence culturelle entre russes et ukrainiens est si faible que cette guerre est un non sens à la limite d'une guerre civile si ce n'était 2 états.
C'est un drame de "chair humaine".
Je m'inquiète aussi des conséquences sur les "petites gens" c'est à dire nous tous. Parce que cette guerre implique plusieurs facteurs bien plus explosifs que l'armement utilisé. Les plus grandes nations militaires du monde, dont a plus part des puissances nucléaires. Mais aussi les principaux fournisseurs d'énergie et de nourriture.
Ne crois pas que les chinois et les indiens se sentent à l'aise dans cette situation, alors imagine l'Afrique qui est malgré elle particulièrement vulnérable aux conséquences que pourrait avoir cette guerre, sans rien pouvoir y faire.
Quant à l'amalgame
Je suis stupéfait que tu saches tant de choses sur moi que j'ignorais moi même.
Je me défini comme humaniste, du moins j'essaye
aucun ...Combien de topics sur la guerre russo-ukrainienne?
il n'y a de topics que sur l'opération spéciale ...
d'ailleurs tu viens de me donner une bonne idée ...
un topic sur la guerre Russie VS Otan
quand tu vois les ministres russes ou chinois , c'est sur cv ...
personne n'aime la guerre comme personne n'aime avoir mal ...
faut écouter ceux qui disent qu'ils ont préparés l'Ukraine pour combattre la Russie à leur place ...
l'humanité s'est faite par des guerre, car la première chose à faire quand on bâtit une humanité ou une nation, c'est d'avoir une armée pour la défendre ...
Que se passe-t-il en Ukraine ?
Un peuple courageux, résilient, fort,...qui ne se rendra pas et qui chante son hymne :
Vivre libre ou mourir.
Regarde la pièce jointe 🇺🇦Good morning, its day 313 in #Ukraine and this is beautiful❤️ https___t.co_tQNdy2Uyf2.mp4
Un peuple courageux, résilient, fort,...qui ne se rendra pas et qui chante son hymne :
Vivre libre ou mourir.
Regarde la pièce jointe 🇺🇦Good morning, its day 313 in #Ukraine and this is beautiful❤️ https___t.co_tQNdy2Uyf2.mp4
ce n'est pas le peuple qui est courageux, c'est le gouvernement qui est fou de sacrifier son peuple de la sorte pour plaire aux américains ...
T'as qu'à faire du HS comme sur les autres topicsCombien de topics sur la guerre russo-ukrainienne?
Si tu t'ennuies autant, aide-le à compter le nombre de topics sur la guerre russo-ukrainienne.
Tu vois après on dit que c'est moi qui fait du HSSi tu t'ennuies autant, aide-le à compter le nombre de topics sur la guerre russo-ukrainienne.