Quelles différences y-a-t-il entre l'holocauste nazi et le génocide sioniste ?

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Le génocide de Gaza montre que l’Holocauste n’est pas destiné à prévenir les génocides, mais à les perpétuer, pas plus qu’à comprendre le passé, mais à manipuler le présent.

Presque tous les spécialistes de l’Holocauste, qui considèrent toute critique d’Israël comme une trahison de la mémoire de l’Holocauste, ont refusé de condamner le génocide perpétré à Gaza. Aucune des institutions vouées à la recherche et à la commémoration de l’Holocauste n’a établi les parallèles historiques évidents, ni dénoncé le massacre de masse des Palestiniens.

Les spécialistes de l’Holocauste, à quelques exceptions près, ont dévoilé leur véritable objectif, qui n’est pas d’étudier la nature humaine et sa terrible propension à commettre le mal, mais de sanctifier les juifs en tant que victimes éternelles et d’absoudre l’État ethnonationaliste d’Israël de ses crimes de colonialisme, d’apartheid et de génocide.

L’instrumentalisation de l’Holocauste et l’incapacité à défendre les victimes palestiniennes uniquement parce qu’elles sont palestiniennes ont fait imploser toute autorité morale des institutions et des mémoriaux consacrés à l’Holocauste. Ils sont désormais dénoncés comme autant de moyens non pas de prévenir le génocide, mais de le perpétrer, pas d’explorer le passé, mais de manipuler le présent.

Toute reconnaissance, même modeste, que l’Holocauste ne serait pas l’exclusivité d’Israël et de ses soutiens sionistes a été rapidement censurée. Le Musée de l’Holocauste de Los Angeles a supprimé un post Instagram qui disait : «PLUS JAMAIS ÇA» ne saurait signifier «PLUS JAMAIS ÇA» exclusivement pour les juifs, après avoir suscité de vives réactions. Or, c’est précisément ce que «plus jamais ça» signifie selon les sionistes : plus jamais ça, mais seulement pour les juifs.

Dans son «Discours sur le colonialisme», Aimé Césaire écrit qu’Hitler était perçu comme exceptionnellement cruel uniquement parce qu’il se livrait à «l’humiliation de l’homme blanc», appliquant à l’Europe les «procédures colonialistes qui, jusqu’alors, étaient exclusivement réservées aux Arabes d’Algérie, aux coolies de l’Inde et aux nègres d’Afrique».

C’est cette distorsion de l’Holocauste en tant qu’événement unique qui a troublé Primo Levi, emprisonné à Auschwitz de 1944 à 1945, et auteur de «Survivant à Auschwitz». Fervent détracteur de l’apartheid pratiqué par l’État d’Israël à l’encontre des Palestiniens, il considérait la Shoah comme une «source intarissable du mal» qui se perpétue par la haine chez les survivants et se manifeste de mille façons, malgré eux, par soif de vengeance, la déchéance morale, la négation, la lassitude et la résignation.

Il déplorait le «manichéisme» de ceux qui «récusent les nuances et la complexité» et «réduisent le cours des affaires humaines à des conflits, les conflits à des dualités, le «nous et eux»». Il rappelait que «le réseau des relations humaines à l’intérieur des camps de concentration [était] complexe : il ne pouvait être réduit à deux catégories, celle des victimes et celle des bourreaux». Il savait que l’ennemi «est extérieur, mais aussi en nous».

Levi y évoque Mordechai Chaim Rumkowski, un collaborateur juif qui dirigeait le ghetto de Łódź. Surnommé «le roi Chaim», il a transformé le ghetto en un camp de travail forcé, source de richesse pour les nazis et lui-même. Il déportait ses opposants vers les camps de la mort. Il a violé et agressé sexuellement une multitude de filles et de femmes. Il exigeait une obéissance aveugle et incarnait la cruauté de ses oppresseurs. Pour Levi, il illustre ce que beaucoup d’entre nous sommes capables de devenir dans des circonstances similaires.
 
Ghetto de Lodz, Litzmannstadt, Mordechai Chaim Rumkowski, chef du Conseil des anciens, rencontre des responsables allemands dans une rue du ghetto, Pologne, 1940, Seconde Guerre mondiale. (Photo © Dukas/Universal Images Group via Getty Images)


«Nous avons tous en nous quelque chose de Rumkowski, son ambiguïté est nôtre, comme une seconde nature, celle des hybrides faits d’argile et d’esprit», écrit Levi dans «Les Naufragés et les Rescapés». «Sa folie est nôtre, la folie de notre civilisation occidentale qui «se précipite en enfer au son des trompettes et des tambours», dont les misérables symboles sont l’image déformée de nos attributs du prestige social».

«Comme Rumkowski, nous sommes nous aussi aveuglés par le pouvoir et le prestige, au point d’oublier notre fragilité fondamentale», ajoute Levi. «Volontairement ou non, nous nous accommodons du pouvoir, oubliant que nous sommes tous dans le ghetto, que le ghetto est en état de siège, que les seigneurs de la mort règnent dehors et que les trains de la mort sont prêts à partir».

Ces vérités amères de l’Holocauste, qui nous avertissent que la frontière entre victime et bourreau est si ténue que nous sommes tous des bourreaux en puissance, et que rien n’est intrinsèquement moral dans la judéité ou la survie de l’Holocauste, sont ce que les sionistes cherchent à occulter. C’est pourquoi Levi était persona non grata en Israël.

Les études sur l’Holocauste, qui ont proliféré dans les années 1970 et ont été incarnées dans la déification du survivant de l’Holocauste et fervent sioniste Elie Wiesel – que le critique littéraire Alfred Kazin a qualifié de «Jésus de l’Holocauste» -, ont désormais renoncé à toute prétention de vérité universelle. Ces spécialistes de l’Holocauste, comme le souligne Norman Finkelstein, n’utilisent la référence à l’Holocauste «non pas comme une boussole morale, mais comme un outil idéologique». «Interdire toute comparaison», écrit Finkelstein, «est le mantra des racketteurs de la morale».

Pour les sionistes, l’Holocauste et l’État juif confèrent un sens et une raison d’être, ainsi qu’une supériorité morale nauséabonde. Après la guerre de 1967, lorsque l’État d’Israël a pris le contrôle de Gaza et de la Cisjordanie, il est devenu, pour reprendre les termes de Nathan Glazer, «le credo des juifs américains».

Les études sur l’Holocauste sont fondées sur la croyance erronée selon laquelle une souffrance exceptionnelle confère un droit exclusif. Telle est la vision déformée qui sous-tend «L’industrie de l’Holocauste», selon Finkelstein.

«La souffrance juive est décrite comme innommable, incompréhensible, qu’il faut pourtant continuer à dénoncer», écrit l’historien européen Charles Maier dans «The Unmasterable Past : History, Holocaust, and German National Identity».

«Elle demeure intensément intime, sans jamais être banalisée, mais doit également devenir publique afin de permettre à la société non juive de commémorer les crimes. Cette souffrance très particulière doit être célébrée dans des lieux publics : musées de l’Holocauste, jardins du souvenir, sites de déportation, non pas comme des mémoriaux juifs, mais citoyens. Mais quel doit être le rôle d’un musée dans un pays comme les États-Unis, si loin du théâtre de l’Holocauste ? Dans quelles circonstances une douleur subjective peut-elle faire office de deuil public ? Et si le génocide est reconnu comme un deuil public, ne devons-nous pas alors accepter les références à d’autres souffrances spécifiques ? Les Arméniens et les Cambodgiens ont-ils également droit à des musées de l’Holocauste financés par des fonds publics ? Et avons-nous besoin de mémoriaux pour les adventistes du septième jour et les homosexuels persécutés par le Troisième Reich ?»
 
Tout crime commis par Israël au nom de sa survie, de son «droit à exister», se trouve justifié par cette singularité. Tout est permis. Le monde est noir et blanc : c’est une lutte sans fin contre le nazisme, qui prend différentes formes selon la cible choisie par Israël. Remettre en question ces pulsions meurtrières, c’est être antisémite et encourager un nouveau génocide des juifs.

Cette formule simpliste sert non seulement les intérêts d’Israël, mais aussi ceux des puissances coloniales coupables de génocides qu’elles cherchent à occulter. Comment qualifier l’extermination des Amérindiens par les colons européens, des Arméniens par les Turcs, des Indiens par les Britanniques lors de la famine au Bengale ou par les Soviétiques en Ukraine ? Et que dire des bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki ? La destinée messianique est-elle si différente de l’adhésion des nazis au concept de Lebensraum ? Pourtant, on parle bien d’holocaustes, alimentés par la même déshumanisation et les mêmes pulsions meurtrières.

L’instrumentalisation de l’Holocauste nazi est un étrange marché de dupes. Armer et financer l’État d’Israël, s’opposer aux résolutions et aux sanctions de l’ONU condamnant ses crimes, et diaboliser les Palestiniens et leurs partisans, tel serait le prix à payer pour expier les crimes commis contre les juifs. En échange, Israël absout l’Occident de son indifférence face au sort des juifs durant l’Holocauste, et exonère l’Allemagne de l’avoir perpétré.

L’Allemagne exploite cette alliance contre nature pour dissocier le nazisme du reste de son histoire, y compris le génocide perpétré par les colons allemands contre les Nama et les Herero en Afrique du Sud-Ouest allemande, l’actuelle Namibie.

«Une telle manipulation», écrit l’historien israélien et spécialiste du génocide, Raz Segal, «légitime le racisme à l’égard des Palestiniens précisément au moment où l’État hébreu leur inflige un massacre. Le concept du statut d’exception de l’Holocauste perpétue ainsi, sans le remettre en question, le nationalisme exacerbé et le colonialisme de peuplement qui ont précisément mené à l’Holocauste».

Segal, directeur du programme d’études sur l’Holocauste et le génocide à l’université Stockton, dans le New Jersey, a écrit un article sur Gaza, le 13 octobre 2023, six jours après l’incursion du Hamas et d’autres combattants palestiniens en Israël, intitulé «Un cas d’école de génocide». Cette accusation émanant d’un spécialiste israélien de l’Holocauste, dont des membres de la famille ont péri durant cette période, a été vivement critiquée.

Il a perçu dans l’exigence pressante du gouvernement israélien d’évacuer les Palestiniens du nord de Gaza et dans la diabolisation effroyable des Palestiniens par les dirigeants israéliens – le ministre de la Défense a déclaré qu’Israël «combat des animaux humains» – l’odeur nauséabonde du génocide.

«Le principe même du «plus jamais ça», comme nous l’enseignons à nos étudiants, consiste à reconnaître les signes précurseurs d’un génocide qui doivent nous inciter à agir pour mettre fin à un processus potentiellement génocidaire, même s’il ne l’est pas encore», m’a confié Segal lors de notre entretien.

Mon interview avec Segal peut être consultée via ce lien.

«Les études sur l’Holocauste en tant que champ de recherche pourraient toucher à leur fin, ce qui n’est pas nécessairement une mauvaise chose», a-t-il poursuivi. «Si les études sur l’Holocauste sont effectivement associées depuis le début à l’idéologie de la mémoire mondiale de l’Holocauste, il est peut-être bon que ces études soient abandonnées pour laisser place à d’autres recherches plus intéressantes et pertinentes sur l’Holocauste en tant que réalité historique».

Segal a payé le prix de son courage et de son honnêteté. Sa nomination au poste de directeur du Centre d’études sur l’Holocauste et le génocide de l’université du Minnesota, qui n’a émis aucune condamnation du génocide, a été annulée.
 
Près de deux ans après le début du génocide, l’Association internationale des chercheurs sur le génocide a néanmoins fini par publier une déclaration affirmant que les agissements d’Israël répondent à la définition juridique du génocide telle qu’énoncée dans la Convention des Nations unies sur le génocide.

Mais la grande majorité des spécialistes de l’Holocauste garde le silence, condamnant sans cesse les attaques du Hamas tout en ignorant l’ampleur des atrocités commises par Israël. Ils se sont tus lorsque l’Afrique du Sud a accusé Israël de génocide devant la Cour internationale de justice. Ils se sont tus lorsque Amnesty International a publié, en décembre 2024, un rapport accusant Israël de génocide.

«Combien d’étudiants palestiniens s’inscrivent à des programmes d’études supérieures sur l’Holocauste et le génocide dans le monde ? Généralement, aucun. Combien de chercheurs palestiniens revendiquent le statut de spécialiste dans ce domaine ? On peut également les compter sur les doigts d’une seule main», écrit Segal dans un article co-écrit et publié dans le Journal of Genocide Research.

Le génocide est gravé dans l’ADN de l’impérialisme occidental. La Palestine en est la preuve criante. Le génocide est la prochaine étape de ce que l’anthropologue Arjun Appadurai appelle «une vaste révision malthusienne du monde» qui destine «le monde aux vainqueurs de la mondialisation, sans l’agitation gênante de ses vaincus».

En finançant et en armant Israël tandis qu’il commet un génocide, les États-Unis et les nations européennes ont fait imploser l’ordre juridique international de l’après-Seconde Guerre mondiale. Cet ordre n’a plus aucune crédibilité. L’Occident n’est plus en position de donner de leçons à quiconque en matière de démocratie, de droits de l’homme ou de prétendues vertus de la civilisation occidentale.

«Alors que Gaza donne le vertige, instaurant le chaos et le vide, elle devient pour tant de populations impuissantes le fondement essentiel de la conscience politique et éthique au XXIe siècle, à l’instar de la Première Guerre mondiale pour toute une génération en Occident», écrit Pankaj Mishra dans «The World After Gaza».

La fiction selon laquelle l’Holocauste nazi serait une tragédie exclusive, ou que les juifs jouiraient de droits supérieurs, n’est plus tenable. Le génocide présage un nouvel ordre mondial où l’Europe, les États-Unis et leur mandataire, Israël, seront des parias. Gaza a exhumé une funeste vérité révélant que barbarie et civilisation occidentale ne font qu’un.

source : Chris Hedges via Spirit of Free Speech

 
L'une des différences entre les deux, c'est que le second est largement documenté et de manière objective, l'histoire n'est pas écrite par les vainqueurs comme dans le premier.
Il n'y a rien de commun entre l'holocauste et le génocide. (si tant est que l'on puisse parler de génocide)
où sont les camps, où sont les fours crématoires, où sont les rafles de palestiniens ?
LES juifs étaient tués parce qu'ils étaient juifs, DES palestiniens sont tués parce qu'il y a un conflit sur l'occupation de la terre.
 
Il n'y a rien de commun entre l'holocauste et le génocide.
Pour un vieux beauf triple vacciné! ton endoctrinement aux médias dominés par les likoudnik est la seule raison qui t'amène à produire une opinion absurde et contredite par l'ONU et les institutions internationales et les observateurs sur place.
Contrairement à l'histoire de la seconde guerre mondiale totalement écrite par les vainqueurs, le génocide en Palestine est observé en direct.
 
A mettre en perspective avec le génocide Arménien



En 1915 et 1916, entre 1,2 et 1,5 million d’Arméniens ont été assassinés, victimes d'un implacable programme d'extermination. Plus de cent ans plus tard, et malgré le soutien de 30 pays, la communauté arménienne continue d'œuvrer pour que ces crimes soient reconnus par tous comme génocide. À commencer par leur commanditaire : la Turquie.


Pour les Arméniens, aux massacres dont ils ont été victimes, s’est longtemps ajoutée une seconde plaie ouverte : la non-reconnaissance, pendant des décennies, de l’ampleur et du caractère systématique des tueries. « Qui se souvient de l'extermination des Arméniens ? », avait lancé Hitler à ses généraux le 22 août 1939, à la veille de l'invasion de la Pologne.

Cette question, qui s’est cristallisée, depuis les années 1960, autour de l’emploi, ou non, du mot « génocide », est devenu un élément constitutif de l’identité du peuple arménien.

Le mot « génocide », inventé par le juriste américain Raphael Lemkin (1900-1959) en combinant le mot grec genos (« clan » ou « race ») et le terme latin cide (« tuer »), est un crime reconnu depuis 1948 par les Nations unies pour désigner la tentative d’anéantir tout ou partie d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux.

L’histoire officielle turque a toujours refusé, et refuse encore aujourd’hui, l’usage du mot pour qualifier l’élimination des Arméniens, minimisant le nombre de victimes et niant son caractère officiel et délibéré. Le combat des Arméniens a finalement abouti à la reconnaissance du génocide par plus de 30 pays. En France, la loi du 29 janvier 2001 affirme : « La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915. » En avril 2021, un nouveau pas est franchi lorsque Joe Biden, président des États-Unis, déclare : « Nous nous souvenons de la vie de tous ceux qui sont morts lors du génocide arménien sous l’ère ottomane », évoquant « un million et demi d’Arméniens (qui) ont été déportés, massacrés ou mis à mort dans une campagne d’extermination. » Une véritable rupture après des décennies de déclarations prudentes de la Maison-Blanche et, surtout, plus d’un siècle après la tragédie. Obtenir la reconnaissance de leur martyr fut un très long combat pour les Arméniens.


(........)


Le 24 avril 2019, le même Erdoğan, devenu président de la République de Turquie, déclare pourtant que la décision de déporter la population arménienne était « raisonnable » pour l’époque. Pour Ankara, admettre la réalité du génocide ouvrirait la voie à de gigantesques demandes d’indemnisations, une large part de l’économie turque s’étant construite sur la récupération des biens « abandonnés » arméniens, sans parler des terres confisquées. Les fondements idéologiques du régime seraient remis en question.

Ainsi, Talaat Pacha, considéré comme le principal ordonnateur du génocide par les Arméniens, est encore aujourd’hui honoré comme l’un des pères du nationalisme turc. Un mausolée lui est dédié à Istanbul et de nombreuses avenues et boulevards portent son nom en Turquie. Talaat, c’est pourtant bien cet homme qui, le 10 août 1915, assumait devant l’ambassadeur américain Henry Morgenthau : « Aucun Arménien ne peut rester en vie après ce que nous leur avons fait », manière d’assumer alors un point de non-retour et une nécessité d’aller au bout des massacres.



Pour un texte plus fouillé

 
A mettre en perspective avec le génocide Arménien



En 1915 et 1916, entre 1,2 et 1,5 million d’Arméniens ont été assassinés, victimes d'un implacable programme d'extermination. Plus de cent ans plus tard, et malgré le soutien de 30 pays, la communauté arménienne continue d'œuvrer pour que ces crimes soient reconnus par tous comme génocide. À commencer par leur commanditaire : la Turquie.
Tu répète malheureusement betement la propagande diffusé par le gouvernement RF et d'autres faiseurs d'opinions comme les médias RF.
La Turquie n'est pas responsable du massacre d'arméniens qui a évidement réellement eu lieu comme le furent d'autres massacres contre d'autres peuples perpétrés par le mouvement jeune turc, mouvement FM révolutionnaire nationalistes et laycard, fondé par Carasso qui a massacré des centaines de milliers de gens considérés non turc.

En outre, depuis 1909 la dawla 3othmania n'existe plus.


 
Il n'y a rien de commun entre l'holocauste et le génocide. (si tant est que l'on puisse parler de génocide)
où sont les camps, où sont les fours crématoires, où sont les rafles de palestiniens ?
LES juifs étaient tués parce qu'ils étaient juifs, DES palestiniens sont tués parce qu'il y a un conflit sur l'occupation de la terre.

Sérieux ?

Un génocide est un génocide.

Et pour t'en convaincre...il suffit d'ecouter la rhétorique supremaciste messianique des sionistes depuis un siècle d'occupation et culmine ouvertement sans filtre aujourd'hui en direct par les ministres députés et la hiearchie militaire.

C juste qu'il y'a une auto censure des mainstream occidentaux qui ont peur d'appeler un chat un chat.
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Pour un vieux beauf triple vacciné! ton endoctrinement aux médias dominés par les likoudnik est la seule raison qui t'amène à produire une opinion absurde et contredite par l'ONU et les institutions internationales et les observateurs sur place.
Contrairement à l'histoire de la seconde guerre mondiale totalement écrite par les vainqueurs, le génocide en Palestine est observé en direct.

Le paradoxe de Xaviahu , c'est qu'il ne croit ni à la Bible,ni au Coran pourtant des révélations divines, parce qu'elles étaient rapportées par les compagnons des messagers de Dieu mais il croit dur comme terre à tout ce que racontaient les sionistes.
La différence ce que dans les camps de concentration on donnait de l'eau aux détenus mais à Gaza Pas d'eau,pas de nourriture, pas de médicaments avec bonus le F16 et le F35.!
Qui dit mieux ?
 
Le paradoxe de Xaviahu , c'est qu'il ne croit ni à la Bible,ni au Coran pourtant des révélations divines, parce qu'elles étaient rapportées par les compagnons des messagers de Dieu mais il croit dur comme terre à tout ce que racontaient les sionistes.
La différence ce que dans les camps de concentration on donnait de l'eau aux détenus mais à Gaza Pas d'eau,pas de nourriture, pas de médicaments avec bonus le F16 et le F35.!
Qui dit mieux ?
Très bonne analogie!
La croyance en l'existence de chambres à gaz ayant assassinées 6 millions de personnes est obligatoire en RF et plein d'autres pays ou tu es censés croire en tout ce que tu veux. Si ne crois pas à cette version de l'histoire écrite par les vainqueurs tu vas en prison et tu payes un amende très lourde.

Or c'est exactement ce que faisait l'Eglise catholique, si tu ne crois pas au St Esprit et à la version de l'histoire imposé par les curés, c'était le buché!

Pas besoin de preuves concrètes , juste des témoins, des écrits et toutes sortes de documents et de personne qui racontent des trucs.
 
selon toi des palestiniens ont été déportés à Gaza ?
Ils ont été viré de leurs pays, de leurs terres et déportés la ou le voulait l'armée de l'occupant.
Ton opinion sur le sujet est celle de tout beauf, car comme tout beauf tu n'as été exposé depuis tout petit qu'à des films sur la schoah, des centaines de documentaires, de séries... mais jamais de film sur le nettoyage ethnique des palestiniens par les iSSraéliens.
 
Ils ont été viré de leurs pays, de leurs terres et déportés la ou le voulait l'armée de l'occupant.
Ton opinion sur le sujet est celle de tout beauf, car comme tout beauf tu n'as été exposé depuis tout petit qu'à des films sur la schoah, des centaines de documentaires, de séries... mais jamais de film sur le nettoyage ethnique des palestiniens par les iSSraéliens.
mon opinion se base sur les faits.
y a t il eu en Palestine quelque chose de comparable à la rafle du Veld'hiv et aux convois vers les camps d'extermination ?
 
Tu répète malheureusement betement la propagande diffusé par le gouvernement RF et d'autres faiseurs d'opinions comme les médias RF.
La Turquie n'est pas responsable du massacre d'arméniens qui a évidement réellement eu lieu comme le furent d'autres massacres contre d'autres peuples perpétrés par le mouvement jeune turc, mouvement FM révolutionnaire nationalistes et laycard, fondé par Carasso qui a massacré des centaines de milliers de gens considérés non turc.

En outre, depuis 1909 la dawla 3othmania n'existe plus.


Jeune turc qui étaient majoritairement des donmeh :

Les Dönme (prononcé [dœnmɛ]) ou sabbatéens sont des Juifs devenus musulmans au XVIIe siècle à la suite de la conversion en 1666 du kabbaliste Sabbataï Tsevi qu'ils considéraient comme le Messie. Ce groupe, bien que pratiquant extérieurement l'islam, a conservé des coutumes juives (crypto-judaïsme).

Ils étaient tous faussement convertis.

Le but des Jeunes Turcs était clairement l’abolition du Califat, ce qui permettrait à la « libération » des terres saintes de la Mecque et surtout d’ouvrir la voie à l’établissement d’un Etat israélien dans la Palestine alors ottomane.

Cette thèse repose sur le livre de D. Mustafa Turan lui même Dönmeh.

Turan ecrit que le grand père de Wahhab, Tjen Sulayman, était en réalité Tjen Shulman, un juif de Basra en Iraq.

Dans un livre ecrit par Rifat Salim Kabar on peut lire que Shulman s’est installé dans la région de Hejaz, dans le village de al-Ayniyah situé de nos jours en Arabie Saoudite, et que son petit fils a fondé le Wahhabisme.
 
Jeune turc qui étaient majoritairement des donmeh :

Les Dönme (prononcé [dœnmɛ]) ou sabbatéens sont des Juifs devenus musulmans au XVIIe siècle à la suite de la conversion en 1666 du kabbaliste Sabbataï Tsevi qu'ils considéraient comme le Messie. Ce groupe, bien que pratiquant extérieurement l'islam, a conservé des coutumes juives (crypto-judaïsme).

Ils étaient tous faussement convertis.

Le but des Jeunes Turcs était clairement l’abolition du Califat, ce qui permettrait à la « libération » des terres saintes de la Mecque et surtout d’ouvrir la voie à l’établissement d’un Etat israélien dans la Palestine alors ottomane.

Cette thèse repose sur le livre de D. Mustafa Turan lui même Dönmeh.

Turan ecrit que le grand père de Wahhab, Tjen Sulayman, était en réalité Tjen Shulman, un juif de Basra en Iraq.

Dans un livre ecrit par Rifat Salim Kabar on peut lire que Shulman s’est installé dans la région de Hejaz, dans le village de al-Ayniyah situé de nos jours en Arabie Saoudite, et que son petit fils a fondé le Wahhabisme.

Eh bien...j'avais un truc approchant cette histoire dans un de mes livres des nouveaux historiens israeliens dont j'ai une dizaine en plus d'auteurs juifs français...mais lequel...je ne sais plus...je croule sur les livres et je squatte toutes les armoires au grand dam de mon épouse...qui me dit que je fais comme les colons sionistes..MDR

Ça disait que dans les années 30 un des plus haut dignitaires des Ibn Saoud qui traitait avec les britanniques avait le père ou la mère qui etait d'origine juive.

Si on remonte l'histoire on voit que les Qoreich ont persecuté notre prophéte SAWS...

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Il n'y a rien de commun entre l'holocauste et le génocide. (si tant est que l'on puisse parler de génocide)
où sont les camps, où sont les fours crématoires, où sont les rafles de palestiniens ?
LES juifs étaient tués parce qu'ils étaient juifs, DES palestiniens sont tués parce qu'il y a un conflit sur l'occupation de la terre.
Prenons par exemple le ghetto de Varsovie, les kapos juifs auraient adoré la transformation de Gaza en parking et la déportation des survivants. Les autres survivants étaient des juifs du quotidien qui aujourd’hui pourraient être victimes de la propagande de Netanyahou et de son gouvernement avec le soutien du peuple israélien et de sa diaspora.
 
Il n'y a rien de commun entre l'holocauste et le génocide. (si tant est que l'on puisse parler de génocide)
où sont les camps, où sont les fours crématoires, où sont les rafles de palestiniens ?
LES juifs étaient tués parce qu'ils étaient juifs, DES palestiniens sont tués parce qu'il y a un conflit sur l'occupation de la terre.
t as pas vu les camp de concentration a Nazareth et Haifa ? anser les a vu de ses propres yeux
 
L'une des différences entre les deux, c'est que le second est largement documenté et de manière objective, l'histoire n'est pas écrite par les vainqueurs comme dans le premier.
C’est ce que Vincent Reynouard ne cesse de dire depuis pas mal d’années déjà…

Ajoutons aussi Dieudonné dans ses sketchs, c’est pourquoi il est tant persécuté.
Le championnat du monde de la victimisation, sketch il y a déjà 10 ans :


 
C en live à Gaza...


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A Gaza de déroule un génocide systématique personne n’en doute, on le voit en 4k tous les jours sur nos médias , par contre pour ce qui est de la fameuse « Shoa » , très peu ou pas du tout de preuve du supposés plan d’extermination des juifs par les nazis ne furent réellement présentés, et je ne parle pas du chiffre de six millions de juifs , fondé sur des suppositions et de grosses approximations et non de preuves réels comme des registres, actes ou états civils, l’exploitation faite par ce mensonge éhonté est la preuve irréfutable que la shoah ne fût qu’une création pour engranger des bénéfices futures basés sur la culpabilisation des européens et la capacité de la pleurnicherie des escrocs qui l’ont mis en place , les Russes ont donné environs 27 millions de morts, entre les militaires et les civils durant la deuxième guerre mondiale pour libérer l’Europe du joug des nazis Allemands ( tu sais que les sionistes furent de très bon copains des nazis ? ), tu les vois chialer eux ? Non? si il y avait un peuple a qui on doit du respect et de la reconnaissance surtout quand on est européens c’est bien le peuple russe , mais c’est complètement le contraire qui se passe malheureusement.
 
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