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Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux...puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls, puisqu'ils sont si nombreux... Même la morale parle pour eux, j'aimerais quand même te dire, tout ce que j'ai pu écrire, je l'ai puisé à l'encre de tes yeux...
Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes, à trop vouloir te regarder, j'en oubliais les miennes...
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves, tu viendras toujours du côté où le soleil se lève... Et si malgré ça j'arrive à t'oublier, j'aimerais quand même te dire, tout ce que j'ai pu écrire aura longtemps le parfum des regrets...
Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux, puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls, puisqu'ils sont si nombreux... Même la morale parle pour eux...
Nos souvenirs explosent ma tête...
Notre avenir est un vieux gadget...
Une aventure que tu as oubliée...
Et mes violons de mélancolie me font un long solo de folie...
Tu es partout sur mon calendrier et j'ai le blues de toi...de tes silences tendres et de ta voix...
Oui j'ai le blues de toi...
Sans qui j'ai tant de mal à être moi...
J'avais envie de faire mon ciel dans ton enfer...
Ça me rend fou je crois..le blues de toi...
Et quand nos regrets viendront danser autour de nous, nous rendre fous, seras-tu là?
Pour nos souvenirs et nos amours inoubliables, inconsolables, seras-tu là? Pourras-tu suivre là où je vais? sauras-tu vivre le plus mauvais, la solitude, le temps qui passe et l'habitude?
Regardez les...nos ennemis...Dis moi que oui...Dis moi que oui...
Pourquoi les gens qui s'aiment sont ils toujours un peu les mêmes? Ils ont quand ils s'en viennent, le même regard d'un seul désir pour deux... Ce sont des gens heureux...
Pourquoi les gens qui s'aiment sont-ils toujours un peu cruels?
Quand ils vous parlent d'eux, y a quelque chose qui vous éloigne un peu...Ce sont des choses humaines...
Et moi j'te connais à peine mais ce serait une veine qu'on s'en aille un peu comme eux...
On pourrait se faire sans qu'ça gêne de la place pour deux...
Mais si ça n'vaut pas la peine que j'y revienne, il faut me le dire au fond des yeux...
Quel que soit le temps que ça prenne, quel que soit l'enjeu, je veux être un homme heureux...
Demandez moi de combattre le diable, d'aller défier les dragons du néant, de vous construire des tours, des cathédrales sur des sables mouvants... Demandez moi de briser des montages, d'aller plonger dans la gueule des volcans...
Tout me paraît réalisable et pourtant quand je la regarde, moi l'homme loup au cœur d'acier devant son corps de femme, je suis un géant de papier...
Demandez moi de réduire en poussière cette planète où un dieu se perdrait, elle est pour moi comme une fourmilière qu'on écrase du pied... Demandez moi de tuer la lumière et d'arrêter ce soir le cours du temps...Tout me paraît réalisable et pourtant... Quand je la regarde moi l'homme loup au cœur d'acier devant son corps de femme, je suis un géant de papier...
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller, de toute ma tendresse, je suis un géant de papier...