Follow along with the video below to see how to install our site as a web app on your home screen.
Note: This feature may not be available in some browsers.
Salam;
Beaucoup de Marocains immigrent au Canada quelque soit leurs situations social, je veux
savoir ce que cherchent ces gens si c'est l'argent, alors ces immigrants croient que le bon-
heur est dans l'argent.
Alors c'est quoi ce bonheur Canadien?
Merci.
Salam;
Beaucoup de Marocains immigrent au Canada quelque soit leurs situations social, je veux
savoir ce que cherchent ces gens si c'est l'argent, alors ces immigrants croient que le bon-
heur est dans l'argent.
Alors c'est quoi ce bonheur Canadien?
Merci.
Le rêve canadien ....pour moi c les grands espaces verts-bleus tellement c 'est vert , les montagnes-forets fabuleuses, les chalets en bois au bord des lacs, les BBQ ...
L 'espace a profusion ....les lacs .... la nature même si elle est dure et glaciale , elle est plus accueillante que la population qui y vit. Les grandes voitures nord américaines avec vitesse automatique, l 'essence pas cher , et le style de vie simple ( jeans + fastfood hamburgers frite coca glacée JE répète bien GLACÉE) , le matériel ( construction ) a gogo et toutes sortes de machineries et d 'électroménagers . L 'argent non je ne pense pas , on ne devient pas riche en Amérique du Nord, la vie est trop chère. Mais c 'est le prix a payer pour vivre en liberté.
Le bonheur dans l'immigration , c'est de ne pas se retrouver a dormir sous un pont alors qu'on a un diplome marocain non reconnu par les autorites quebecoises ainsi que d'etre obligee de se rendre a la soupe populaire pour trouver un repas chaud !!!
tu n'as pas aimé la soupe?
ma bghatch tssrat lek, kano dayrin fiha des lardons?![]()
Perso la question du bonheur, je me la réserve pour plus tard, mais je me dis que ça doit pas être mal, quand on arrive à la fin de la vie, de pouvoir regarder en arrière, et se dire : c'était bien.
Le bonheur est d'avoir une terre bien cultivée, une maison bien édifiée et une femme bien disposée![]()
citation de Bernard shaw.