UN VOLEUR VULGAIRE, ET SANGUINAIRE

Il s’appelle « Netanyahou » mais c’est simplement un nom volé, un « masque hébreu » collé sur le visage d’un exilé européen, son vrai nom est Mileikosky, né de la lignée ashkénaze de Pologne.
« Benjamin Netanyahu », il n’a ni le sang, ni la terre, ni la langue de ceux qu’il prétend représenter, son judaïsme n’est pas celui des bergers d’Hébron, ni des poètes de Jaffa, c’est le judaïsme d’un colonisateur étranger qui a mis la robe des prophètes pour cacher l’odeur des cendres.
Pour ce qu’il représente aujourd’hui, ce n’est pas un peuple, c’est une machine, une machine politique, militaire, idéologique, une machine d’acier et de mépris.
Netanyahu n’a pas grandi sur les rives du Jourdain, il a grandi dans les salons de l’élite conservatrice de New York et dans les sermons ultra nationalistes de son père, Benzion, l’historien sioniste à la ligne dure. Il n’a jamais parlé arabe, n’a jamais partagé de pain avec un Palestinien, n’a jamais eu à chercher le son de la respiration d’un enfant sous les décombres d’une frappe aérienne israélienne.
Il n’est pas de cette terre. Il l’a volé.
Et pourtant, il décide, il détruit, il signe les ordres. Aujourd’hui, sous sa règle, Gaza est un cimetière d’enfants. Rafah, un camp de ruines. Jenin, une ville fantôme.

Il s’appelle « Netanyahou » mais c’est simplement un nom volé, un « masque hébreu » collé sur le visage d’un exilé européen, son vrai nom est Mileikosky, né de la lignée ashkénaze de Pologne.
« Benjamin Netanyahu », il n’a ni le sang, ni la terre, ni la langue de ceux qu’il prétend représenter, son judaïsme n’est pas celui des bergers d’Hébron, ni des poètes de Jaffa, c’est le judaïsme d’un colonisateur étranger qui a mis la robe des prophètes pour cacher l’odeur des cendres.
Pour ce qu’il représente aujourd’hui, ce n’est pas un peuple, c’est une machine, une machine politique, militaire, idéologique, une machine d’acier et de mépris.
Netanyahu n’a pas grandi sur les rives du Jourdain, il a grandi dans les salons de l’élite conservatrice de New York et dans les sermons ultra nationalistes de son père, Benzion, l’historien sioniste à la ligne dure. Il n’a jamais parlé arabe, n’a jamais partagé de pain avec un Palestinien, n’a jamais eu à chercher le son de la respiration d’un enfant sous les décombres d’une frappe aérienne israélienne.
Il n’est pas de cette terre. Il l’a volé.
Et pourtant, il décide, il détruit, il signe les ordres. Aujourd’hui, sous sa règle, Gaza est un cimetière d’enfants. Rafah, un camp de ruines. Jenin, une ville fantôme.