amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Aujourd'hui, le secret est partiellement levé. La presse indépendante arabe vient de publier une liste des principaux donateurs privés des entités terroristes en Syrie et en Irak. Elle proviendrait d'un document interne du département d'État chargé des Affaires étrangères.
Jusqu'à présent, rien ne présage une implication financière directe de quelconque État ou agence gouvernementale. Par ailleurs, les personnes pointées relèvent l'ampleur de ce financement engrainé dans les rouages de la société. Si une minorité d'observateurs a subi un malaise vagal en découvrant l'implication de certaines personnalités, le choc était moindre parmi le commun des politicologues. Cette liste pointe des diplomates, des professeurs universitaires, des hommes d'affaires, etc.
Même si les politicologues / observateurs imputent l'effervescence des groupes jihadistes à l'Arabie-Saoudite et au Qatar, les gouvernements nient toute implication. Il s'agirait donc d'un soutien indirect, militaire et financier, via des personnalités et organisations privées. Il est évident que les idéologies rendent aveugles.
Si les Saoudiens déclarent combattre le financement du terrorisme, plusieurs prédicateurs islamistes et activistes du jihad récoltent, sur leur sol, des fonds pour soutenir les leurs en Syrie et en Irak, et ce, publiquement. Des montants faramineux affluent vers le riche émirat du Koweït, désormais célèbre pour son rôle de facilitateur financier, pour ensuite être dispersés vers des cellules ou organisations rebelles... Un peu comme le rôle de la Turquie, connue pour être une zone de transit. Des milliers de combattants confisquent les frontières Syro-Turques pour rejoindre les lieux de combats.
La suite : http://quebec.huffingtonpost.ca/wal...9953.html?utm_hp_ref=fb&src=sp&comm_ref=false
Jusqu'à présent, rien ne présage une implication financière directe de quelconque État ou agence gouvernementale. Par ailleurs, les personnes pointées relèvent l'ampleur de ce financement engrainé dans les rouages de la société. Si une minorité d'observateurs a subi un malaise vagal en découvrant l'implication de certaines personnalités, le choc était moindre parmi le commun des politicologues. Cette liste pointe des diplomates, des professeurs universitaires, des hommes d'affaires, etc.
Même si les politicologues / observateurs imputent l'effervescence des groupes jihadistes à l'Arabie-Saoudite et au Qatar, les gouvernements nient toute implication. Il s'agirait donc d'un soutien indirect, militaire et financier, via des personnalités et organisations privées. Il est évident que les idéologies rendent aveugles.
Si les Saoudiens déclarent combattre le financement du terrorisme, plusieurs prédicateurs islamistes et activistes du jihad récoltent, sur leur sol, des fonds pour soutenir les leurs en Syrie et en Irak, et ce, publiquement. Des montants faramineux affluent vers le riche émirat du Koweït, désormais célèbre pour son rôle de facilitateur financier, pour ensuite être dispersés vers des cellules ou organisations rebelles... Un peu comme le rôle de la Turquie, connue pour être une zone de transit. Des milliers de combattants confisquent les frontières Syro-Turques pour rejoindre les lieux de combats.
La suite : http://quebec.huffingtonpost.ca/wal...9953.html?utm_hp_ref=fb&src=sp&comm_ref=false