Rabbah : Du Jamais vu

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Rabbah, vedette malgré lui, est devenu la superstar du gouvernement par un simple clic. Eh oui, ce que trois ou quatre ministres de l’Équipement et du transport, depuis au moins une quinzaine d’années, croyaient être tabou, est aujourd’hui banalisé par le fait d’une volonté politique affichée. Le second dossier, sur lequel le même Rebbah créerait du buzz, n’est autre que la fameuse liste des bénéficiaires de licences d’exploitation de carrières de sable. Là, par contre, le show n’est pas garanti ! En effet, lesdites listes comportent beaucoup plus de noms de sociétés que d’individus. En effet, lesdites sociétés ne peuvent être identifiables qu’après un travail d’investigation auprès des services de registre de commerce, à moins que Rabbah ne veuille aller jusqu'au bout de la transparence, en publiant le nom des propriétaires desdites sociétés, souvent des sociétés écran ou de paille. D’ores et déjà, toutefois, certains partis jaloux commencent à accuser le PJD de populisme et d’exploitation médiatique pour des raisons électorales. C’est pourquoi il faudra faire preuve de solidarité gouvernementale, car il ne s’agit pas de l’initiative d’un parti, mais d’une action commune. En effet, la communication sur ce plan gagnerait à être mieux habillée. Cette action devrait également être complétée par une publication des licences de taxis, distribuées par le ministère de l’Intérieur. Il ne faudrait pas omettre non plus, bien sûr, les listes des bénéficiaires des licences de pêche hauturière et la fameuse liste des bénéficiaires des fermes Sodea et Sogeta, dont l’attribution est tout, sauf transparente. À partir de là, on pourra créditer le gouvernement Benkirane d’une stratégie cohérente et sans aucune visée partisane. Vu la solidarité gouvernementale et les pouvoirs conférés par la nouvelle Constitution au chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane ne pourra, en aucun cas, trouver un quelconque prétexte à la non publication des listes restantes. Il a l’appui de l’opinion publique, le relais de la presse nationale et le soutien d’une grande frange politique, y compris celle de certains partis politiques. Du jamais vu !

Les Echos
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
j'ai bien sa réponse à l'un de journalistes qui lui disait que c'est du pur populisme toutes ces actions des ministres du PJD, il a répondu avec beaucoup d'aisance et assurance : ceci n'est que la suite logique de la constitution votée, et qui réclame de chacun de nous de la transparence, il ne s'agit ni de populisme ni d'être populaire

je me demande à l'instant que vont nous pondre les journalistes après leur geste, concernant la 'monaie' rendu à l'Etat concernant la subvention à laquelle ils avaient droit pour les élections, soit 20M de dhs rendus avec les dépenses détaillées, de quoi mettre en mauvaise posture les autres partis :D
 
Quand les boites de pandores seront ouvertes... il y aura des larmes.... surtout du coté du PJD. Il y a des secteurs qu'il faut nettoyer sans bruit ni publicité. c'est bon pour personne.
 

Sanzo

VIB
Quand les boites de pandores seront ouvertes... il y aura des larmes.... surtout du coté du PJD. Il y a des secteurs qu'il faut nettoyer sans bruit ni publicité. c'est bon pour personne.

Et il y a des secteurs que tu ne peux nettoyer sans mettre un bon coup de pied dans la fourmilière. La question des agréments en fait partie
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
ZERO, j'ai toujours refuser soit pêche, sois sable, sois gravette, soit aye chi parce que je savais qu'un jour ça tournerais au vinaigre..... (n i moi ni aucun membre de ma famille)

Les décisions que tu prend aujourd'hui peuvent se retourner contre toi dans 30 ans!!!

pour être cru... gualess 3ala dasse


kane a3lik techri8..khelaw8a li8oud men fa3yel8oum li tlef yechri lerd :D
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
myet bak ?

Lakbir Benmokhtar.



Smyet mok?

Tamou Bent Abdelkader.



Nimirou d’la carte?

A 330693.



Alors comme ça vous avez une grima...

N’exagérons rien, ce n’est pas le scoop du siècle.



Expliquez-nous pourquoi les sportifs sont les plus grands bénéficiaires de ce systéme ?

Parce que leur carrière ne dure que quelques années. Le jour où il y aura une caisse ou un fonds qui garantisse une vie décente à un sportif après la fin de sa carrière, surtout s’il n’a pas été professionnel à l’étranger, le recours aux grimate sera obsolète. Pour l’heure, plusieurs sportifs et artistes ont le sentiment qu’ils n’ont pas été honorés par rapport aux services rendus à la nation.



En parlant d’injustices, vous étiez à Taza il y a quelques semaines. Avez-vous assisté aux violences du 1er février ?

Oui, malheureusement. J’ai été très choqué. J’ai grandi dans cette ville où les gens sont pacifiques et respectueux. Je ne cautionne pas les violences mais je comprends la détresse des gens à cause du chômage, de la cherté de la vie et du manque de perspectives d’avenir pour les jeunes. Les élus locaux qui se sont succédé sont responsables de cet état de fait. Il va falloir enquêter sur les raisons du malaise des Tazaouis.



Que voulez-vous dire ?

Pour ne parler que de sport, la ville a connu une forte régression pour les jeunes. L’AST, le club local de football d’où je suis issu avec Mustapha El Byaz, végète en troisième division pour des raisons que personne ne connaît. Le manque des infrastructures sportives fait que les jeunes n’ont plus où se dépenser. Il fut un temps où la ville disposait d’une grande piscine municipale avec une équipe de waterpolo et des espaces verts pour se promener. Actuellement, c’est la course au béton.

http://www.telquel-online.com/content/“merci-hassan-ii…”
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Alors que le chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane, considère que « ce n’est pas honteux qu’un pauvre, un artiste ou un sportif bénéficie d’un tel agrément mais il faut que les citoyens connaissent les noms des personnes bénéficiaires », il n’en reste pas moins qu’aujourd’hui des acteurs politiques et des opérateurs économiques s’interrogent sur les « bienfaits » de cette démarche et surtout sur le devenir du secteur des transports, un secteur particulièrement désorganisé. « Je crois que le vrai débat doit se situer sur l’avenir du secteur, sa modernisation et sa capacité à offrir un service de qualité. Il est stérile, selon moi, de politiser les débats, car cela ne fait pas avancer les choses. Maintenant que la liste des bénéficiaires d’agréments soit connue, qu’est-ce que le ministère public et les acteurs du privé sont en capacité de faire ensemble? Nous devons nécessairement créer les conditions favorables à un vrai partenariat public-privé, faute de quoi, on va tourner en rond et le secteur des transports continuera à être ce qu’il est, un secteur dépourvu d’organisation et sans stratégie », indique Hamid Zhar, responsable pôle voyageur à la Fédération des transports de la CGEM (Confédération générale des entreprises du Maroc). Pour Mohamed Meghaoui, directeur des Transports routiers et de la sécurité routière au ministère de l’Équipement et du transport, « il faut effectivement se tourner vers l’avenir mais tout en ayant à l’esprit un certaine nombre de choses. Tout d’abord, il faut savoir que la liste d’agréments de transports publics inter-urbains était prête depuis plus d’un an, et ce à le demande de Karim Ghellab, alors ministre de tutelle. Cette liste avait été préparée suite aux nombreuses questions posées par les parlementaires lors des séances des questions orales au Parlement. Je peux même ajouter que le Secrétariat général du gouvernement avait été saisi pour prendre le relais sur ce dossier. Tout cela pour dire que la liste des détenteurs d’agréments de transports n’est pas tombée du ciel du jour au lendemain », précise Mohamed Meghaoui. Reste la méthode employée, avec l’envoi de la liste des « agrémentés » à la presse sans passer par le conseil de gouvernement, le Parlement via la commission parlementaire dédiée aux Transports.

http://www.lesoir-echos.com/democratie-ou-populisme/presse-maroc/47778/
 
Bon là, on a des chances de suivre la trajectoire de l'AKP Turque, faudra cependant faire d'avantage et mettre les marocains au travail. En tout cas j'apprecie ces gars là, qui nous changent d'hommes politique fades.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Bon là, on a des chances de suivre la trajectoire de l'AKP Turque, faudra cependant faire d'avantage et mettre les marocains au travail. En tout cas j'apprecie ces gars là, qui nous changent d'hommes politique fades.
personnellement me tarde d'avoir la liste des associations qui bénéficient d'aide de l'Etat :prudent:
 

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
Rabbah, vedette malgré lui, est devenu la superstar du gouvernement par un simple clic. Eh oui, ce que trois ou quatre ministres de l’Équipement et du transport, depuis au moins une quinzaine d’années, croyaient être tabou, est aujourd’hui banalisé par le fait d’une volonté politique affichée. Le second dossier, sur lequel le même Rebbah créerait du buzz, n’est autre que la fameuse liste des bénéficiaires de licences d’exploitation de carrières de sable. Là, par contre, le show n’est pas garanti ! En effet, lesdites listes comportent beaucoup plus de noms de sociétés que d’individus. En effet, lesdites sociétés ne peuvent être identifiables qu’après un travail d’investigation auprès des services de registre de commerce, à moins que Rabbah ne veuille aller jusqu'au bout de la transparence, en publiant le nom des propriétaires desdites sociétés, souvent des sociétés écran ou de paille. D’ores et déjà, toutefois, certains partis jaloux commencent à accuser le PJD de populisme et d’exploitation médiatique pour des raisons électorales. C’est pourquoi il faudra faire preuve de solidarité gouvernementale, car il ne s’agit pas de l’initiative d’un parti, mais d’une action commune. En effet, la communication sur ce plan gagnerait à être mieux habillée. Cette action devrait également être complétée par une publication des licences de taxis, distribuées par le ministère de l’Intérieur. Il ne faudrait pas omettre non plus, bien sûr, les listes des bénéficiaires des licences de pêche hauturière et la fameuse liste des bénéficiaires des fermes Sodea et Sogeta, dont l’attribution est tout, sauf transparente. À partir de là, on pourra créditer le gouvernement Benkirane d’une stratégie cohérente et sans aucune visée partisane. Vu la solidarité gouvernementale et les pouvoirs conférés par la nouvelle Constitution au chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane ne pourra, en aucun cas, trouver un quelconque prétexte à la non publication des listes restantes. Il a l’appui de l’opinion publique, le relais de la presse nationale et le soutien d’une grande frange politique, y compris celle de certains partis politiques. Du jamais vu !

Les Echos


je vois déjà ces têtus aveuglés par leur mépris inexpliqué se tirer les cheveux ...merci mon petit bijou:love:
 
Rabbah, vedette malgré lui, est devenu la superstar du gouvernement par un simple clic. Eh oui, ce que trois ou quatre ministres de l’Équipement et du transport, depuis au moins une quinzaine d’années, croyaient être tabou, est aujourd’hui banalisé par le fait d’une volonté politique affichée. Le second dossier, sur lequel le même Rebbah créerait du buzz, n’est autre que la fameuse liste des bénéficiaires de licences d’exploitation de carrières de sable. Là, par contre, le show n’est pas garanti ! En effet, lesdites listes comportent beaucoup plus de noms de sociétés que d’individus. En effet, lesdites sociétés ne peuvent être identifiables qu’après un travail d’investigation auprès des services de registre de commerce, à moins que Rabbah ne veuille aller jusqu'au bout de la transparence, en publiant le nom des propriétaires desdites sociétés, souvent des sociétés écran ou de paille. D’ores et déjà, toutefois, certains partis jaloux commencent à accuser le PJD de populisme et d’exploitation médiatique pour des raisons électorales. C’est pourquoi il faudra faire preuve de solidarité gouvernementale, car il ne s’agit pas de l’initiative d’un parti, mais d’une action commune. En effet, la communication sur ce plan gagnerait à être mieux habillée. Cette action devrait également être complétée par une publication des licences de taxis, distribuées par le ministère de l’Intérieur. Il ne faudrait pas omettre non plus, bien sûr, les listes des bénéficiaires des licences de pêche hauturière et la fameuse liste des bénéficiaires des fermes Sodea et Sogeta, dont l’attribution est tout, sauf transparente. À partir de là, on pourra créditer le gouvernement Benkirane d’une stratégie cohérente et sans aucune visée partisane. Vu la solidarité gouvernementale et les pouvoirs conférés par la nouvelle Constitution au chef de gouvernement, Abdelilah Benkirane ne pourra, en aucun cas, trouver un quelconque prétexte à la non publication des listes restantes. Il a l’appui de l’opinion publique, le relais de la presse nationale et le soutien d’une grande frange politique, y compris celle de certains partis politiques. Du jamais vu !

Les Echos
rabbah rah rabah ou rabbah
 
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