GPA2SOU
Personne n'a le droit de mourir le ventre vide
La reconnaissance faciale va "peut être" s’implanter dans les écoles du monde entier.
En Chine, aux États-Unis et bientôt en France, le dispositif est présent pour protéger les élèves mais aussi pour surveiller leur assiduité d’après les pouvoirs publics.
Les nouvelles technologies ont commencé à se faire une place dans les écoles avec les tablettes numériques ou les tableaux interactifs.
Des outils supposés aider les écoliers à mieux travailler.
Mais d’autres technologies sont maintenant utilisées, cette fois pour observer les écoliers.
Grâce à la reconnaissance faciale, en France, en Chine ou aux États-Unis, des établissements peuvent désormais tout savoir sur leurs étudiants : l’heure à laquelle ils arrivent, quand est-ce qu’ils repartent, comment ils agissent en cours, tout est observé.
En France, le dispositif doit avant tout être utilisé pour sécuriser les établissements et permettre plus de fluidité à l’entrée des écoles.
C’est à Marseille et à Nice que la reconnaissance faciale va être expérimentée.
Les écoles vont être dotées de caméras de surveillance à l’entrée des lycées Eucalyptus à Nice et Ampère à Marseille.
Une fois l’accord de la Commission nationale informatique et libertés obtenu (CNIL), les élèves volontaires se présenteront devant un portique avec caméra.
Si l’étudiant correspond au profil enregistré par l’école, il pourra entrer.
Par contre s’il n’est pas reconnu, le portique ne s’ouvrira pas et une alerte sera alors envoyée aux surveillants.
C’est aussi pour surveiller l’assiduité des enfants et informer les parents que la reconnaissance faciale est utilisée en Chine.
Lorsqu’un élève arrive et repart de l’école, ses parents sont immédiatement informés de ses faits et gestes sur leur téléphone portable.
La loi sur la reconnaissance faciale reste floue en France et une fois notre accord donné, notre visage est répertorié ce qui fait qu’on pourrait être « reconnu et surveillé constamment dans l’espace public, sans pouvoir [s’y] opposer, contrairement au principe du libre consentement du Règlement général sur la protection des données (RGPD) » explique Martin Drago, avocat spécialisé dans le droit des données personnelles .
Il est donc urgent de légiférer avant de procéder au déploiement de ces technologies sur la France entière.
En Chine, aux États-Unis et bientôt en France, le dispositif est présent pour protéger les élèves mais aussi pour surveiller leur assiduité d’après les pouvoirs publics.
Les nouvelles technologies ont commencé à se faire une place dans les écoles avec les tablettes numériques ou les tableaux interactifs.
Des outils supposés aider les écoliers à mieux travailler.
Mais d’autres technologies sont maintenant utilisées, cette fois pour observer les écoliers.
Grâce à la reconnaissance faciale, en France, en Chine ou aux États-Unis, des établissements peuvent désormais tout savoir sur leurs étudiants : l’heure à laquelle ils arrivent, quand est-ce qu’ils repartent, comment ils agissent en cours, tout est observé.
En France, le dispositif doit avant tout être utilisé pour sécuriser les établissements et permettre plus de fluidité à l’entrée des écoles.
C’est à Marseille et à Nice que la reconnaissance faciale va être expérimentée.
Les écoles vont être dotées de caméras de surveillance à l’entrée des lycées Eucalyptus à Nice et Ampère à Marseille.
Une fois l’accord de la Commission nationale informatique et libertés obtenu (CNIL), les élèves volontaires se présenteront devant un portique avec caméra.
Si l’étudiant correspond au profil enregistré par l’école, il pourra entrer.
Par contre s’il n’est pas reconnu, le portique ne s’ouvrira pas et une alerte sera alors envoyée aux surveillants.
C’est aussi pour surveiller l’assiduité des enfants et informer les parents que la reconnaissance faciale est utilisée en Chine.
Lorsqu’un élève arrive et repart de l’école, ses parents sont immédiatement informés de ses faits et gestes sur leur téléphone portable.
La loi sur la reconnaissance faciale reste floue en France et une fois notre accord donné, notre visage est répertorié ce qui fait qu’on pourrait être « reconnu et surveillé constamment dans l’espace public, sans pouvoir [s’y] opposer, contrairement au principe du libre consentement du Règlement général sur la protection des données (RGPD) » explique Martin Drago, avocat spécialisé dans le droit des données personnelles .
Il est donc urgent de légiférer avant de procéder au déploiement de ces technologies sur la France entière.
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