Quand une marque de serviettes hygiéniques rompt avec 20 ans de mensonges publicitaires, le résultat est détonant.
En Anglais, Nana, la marque de serviettes hygiéniques, s'appelle Bodyform. Et partout dans le monde, elle cherche à séduire les consommatrices en leur vendant du rêve. Grâce à Nana, les femmes sont libres pendant leurs règles et s'adonnent à toutes sortes d'activités.
D'où le message en forme de reproche de Richard Neill sur la page Facebook de Bodyform : "En tant qu'homme, je dois vous demander pourquoi vous nous avez menti pendant tant d'années", accuse Richard avant de s'expliquer. Tout petit, Richard regardait les pubs et se disait que les femmes avaient bien de la chance de connaître une fois par mois un moment aussi intense. "Je me sentais un peu jaloux. Faire du vélo, du roller, danser, sauter en parachute. Maudit pénis !" Puis Richard a eu une copine et ses yeux se sont ouverts. Chaque mois, le malheureux voit en effet sa douce et tendre devenir la gamine de L'exorciste, pleine de venin et la tête en vrille à 360 °.
La complainte de Richard a son petit effet sur le réseau social : 87 000 "likes". C'est sans doute pour cela que Bodyform s'est décidé à cracher le morceau. Damned ! Ce n'était donc que du vent.
En Anglais, Nana, la marque de serviettes hygiéniques, s'appelle Bodyform. Et partout dans le monde, elle cherche à séduire les consommatrices en leur vendant du rêve. Grâce à Nana, les femmes sont libres pendant leurs règles et s'adonnent à toutes sortes d'activités.
D'où le message en forme de reproche de Richard Neill sur la page Facebook de Bodyform : "En tant qu'homme, je dois vous demander pourquoi vous nous avez menti pendant tant d'années", accuse Richard avant de s'expliquer. Tout petit, Richard regardait les pubs et se disait que les femmes avaient bien de la chance de connaître une fois par mois un moment aussi intense. "Je me sentais un peu jaloux. Faire du vélo, du roller, danser, sauter en parachute. Maudit pénis !" Puis Richard a eu une copine et ses yeux se sont ouverts. Chaque mois, le malheureux voit en effet sa douce et tendre devenir la gamine de L'exorciste, pleine de venin et la tête en vrille à 360 °.
La complainte de Richard a son petit effet sur le réseau social : 87 000 "likes". C'est sans doute pour cela que Bodyform s'est décidé à cracher le morceau. Damned ! Ce n'était donc que du vent.