Dans le cadre de sa restructuration qui verra plus de 1.500 employés prendre une retraite anticipée et qui a débuté par un bras de fer entre la compagnie et les différents syndicats, la Royal Air Maroc (RAM) a réussi le pari des négociations. Les pilotes de ligne restent les seuls absents à la table des négociations.
Depuis déjà trois mois, lannonce dune réduction des effectifs de la RAM était sur les différentes colonnes de la presse marocaine. Mais plus que le fait de proposer à 1.560 employés denvisager une retraite anticipée, cest la procédure qui a été suivie par le management et les syndicats de la compagnie, qui retient le plus l'attention.
Le contexte politique, économique et social donne à cette démarche une résonance particulière, qui rappelle les dernières déclarations du ministre des Finances affirmant que le pays devait sengager dans des mesures daustérité.
Alors que la RAM avait connu un bras de fer interminable avec le syndicat des pilotes, la direction de la compagnie a pu mener cette fois une négociation sereine avec les syndicats UMT et CDT qui, selon Driss Benhima, étaient particulièrement attentifs à lavenir de la RAM et à la nécessité de lui donner la capacité de retrouver léquilibre de ses comptes.
http://www.aufaitmaroc.com/maroc/societe/2011/9/5/dialogue-social-reussi
Depuis déjà trois mois, lannonce dune réduction des effectifs de la RAM était sur les différentes colonnes de la presse marocaine. Mais plus que le fait de proposer à 1.560 employés denvisager une retraite anticipée, cest la procédure qui a été suivie par le management et les syndicats de la compagnie, qui retient le plus l'attention.
Le contexte politique, économique et social donne à cette démarche une résonance particulière, qui rappelle les dernières déclarations du ministre des Finances affirmant que le pays devait sengager dans des mesures daustérité.
Alors que la RAM avait connu un bras de fer interminable avec le syndicat des pilotes, la direction de la compagnie a pu mener cette fois une négociation sereine avec les syndicats UMT et CDT qui, selon Driss Benhima, étaient particulièrement attentifs à lavenir de la RAM et à la nécessité de lui donner la capacité de retrouver léquilibre de ses comptes.
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