Invité par Nicole Ferroni sur France 2, Philippe Ouaki Di Giorno explique son procédé de fertilisant rétenteur d'eau qui peut, selon lui, révolutionner le monde de l'agriculture et nourrir l'humanité de demain.
Si le procédé existe depuis 20 ans, l'homme refuse de vendre le concept aux grands groupes industriels et continue de le produire de manière tout à fait artisanale, à petite échelle, dans son entreprise du sud de la France.
Son Polyter, issu de la chimie organique (synthétique), est totalement biodégradable, sans effet sur l'environnement et permet de "solidifier l'eau" pour la maintenir aux racines des plantes tout en la nourrissant. Il serait ainsi possible d'augmenter les rendements de manière significative en diminuant l’arrosage de 50%. De quoi, selon lui, révolutionner l'agriculture sur tous les terrains jusque dans les déserts.
Si on omet cette bévue concernant le moteur à eau (généralement confondu avec le moteur à hydrogène), son intervention mérite d'être entendue et décortiquée.
Pourquoi le procédé peine-t-il à trouver ses adeptes ? Est-ce un simple coup de communication ? Si la survie de l'humanité en dépend, pourquoi ne pas rendre libre le procédé (déjà connu par ailleurs) ? Quelles sont les limites ? Beaucoup de questions sans réponse à ce jour.
Toujours est-il que Philippe Ouaki Di Giorno réclame des personnes motivées pour répandre son produit dans le monde entier. Peut-être que la plus simple des solutions serait de libérer la recette (open-source), mais l'homme étant dans une démarche d'entreprise, comment lui assurer un juste retour sur ses 20 ans de travail ?
Paradoxe.
Reportage ARTE complet sur l'invention :
Vidéo :
Infos & Débats | Mr Mondialisation
mam
Si le procédé existe depuis 20 ans, l'homme refuse de vendre le concept aux grands groupes industriels et continue de le produire de manière tout à fait artisanale, à petite échelle, dans son entreprise du sud de la France.
Son Polyter, issu de la chimie organique (synthétique), est totalement biodégradable, sans effet sur l'environnement et permet de "solidifier l'eau" pour la maintenir aux racines des plantes tout en la nourrissant. Il serait ainsi possible d'augmenter les rendements de manière significative en diminuant l’arrosage de 50%. De quoi, selon lui, révolutionner l'agriculture sur tous les terrains jusque dans les déserts.
Si on omet cette bévue concernant le moteur à eau (généralement confondu avec le moteur à hydrogène), son intervention mérite d'être entendue et décortiquée.
Pourquoi le procédé peine-t-il à trouver ses adeptes ? Est-ce un simple coup de communication ? Si la survie de l'humanité en dépend, pourquoi ne pas rendre libre le procédé (déjà connu par ailleurs) ? Quelles sont les limites ? Beaucoup de questions sans réponse à ce jour.
Toujours est-il que Philippe Ouaki Di Giorno réclame des personnes motivées pour répandre son produit dans le monde entier. Peut-être que la plus simple des solutions serait de libérer la recette (open-source), mais l'homme étant dans une démarche d'entreprise, comment lui assurer un juste retour sur ses 20 ans de travail ?
Paradoxe.
Reportage ARTE complet sur l'invention :
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