Robert ménard obsédé par les enfants musulmans

Cest qui le "vous" ?

Nous les zarabes, ouais on pensent tous pareil nous les zarabes, on vote tous pareil nous les zarabes, on mange tous la même chose, on fait même kaka en même temps…

Le monde n'est pas ou blanc ou noir
Je vois que t étais pas au courant…
Non, c'est un vous qui englobe de nombreux bladinautes que j'ai pu lire. Je me suis pas amusé a détailler ceux qui vantent les mérites du communautarisme anglo-saxon et affirment que la France est un pays de fascistes laïcards. Ils se reconnaitront !
 
Exactement.

Si un enfant a des difficultés d'apprentissage il faut l'aider point.

Et le raccourci: enfant "musulman" = parents ne parlant pas le francais est stupide purée !

Tout aussi stupide que le fait de les pister va permettre de les aider. Un parent ne parlant pas français peut être une cause de difficulté d'apprentissage, comme un parent "parlant" le français mais qui est incapable de suivre son enfant, comme l'hyperactivité d'un enfant, les difficultés de language, etc etc etc
On fait quoi ? On piste tout le monde ? L'école se met à se dédouaner de son rôle ?

Stupide, stupide, stupide
C surtt malsain et vexatoire
 
Non mais c'est du grand n'importe quoi ça !

Punaise le nombre de fds que j'ai plié à l'orthographe avec une mère analphabète s'ils savaient.

Sans compter qu'en cours de langues (anglais, espagnol...) ya pas photo les français d'origine maghrébine étaient meilleurs. Les autres avaient un accent coupé au couteau :D

Et bien sûr ils ne parlent pas de toutes les études scientifiques faites sur les enfants de parents étrangers qui sont globalement meilleurs pour apprendre une langue car depuis petit ils doivent jongler entre 2 langues et de ce fait sont plus "souples" avec tout ces mécanismes créés ???

Les ficher pourquoi faire ??
Venant d'un maire FN oui c'est sûrement une bonne idée :rolleyes:
 
A propos de "l'affaire Ménard", on attend demain avec impatience les articles de presse nous donnant la liste des enfants de ministres et autres politiques et journalistes qui fréquentent les écoles publiques, ainsi que le nom et l 'adresse de ces écoles, ainsi que la liste de ceux qui ont mis leurs enfants bien à l'abri dans des écoles privées , en particulier l 'école alsacienne à Paris.
 
Je m'appelle Nadia et je ne suis pas musulmane

La récente sortie de Robert Ménard sur les enfants de Béziers oblige à rappeler qu'assimiler un prénom à une religion n'a aucun sens. Que l'idée même de «religion supposée» est une aberration. Et qu'il faut arrêter de dénier à une personne née dans une culture le droit d'être autre chose.

Sur le plateau de Mots croisés, le maire de Béziers, Robert Ménard, a affirmé, lundi 4 mai, avoir recensé 64,6% d'enfants de confession musulmane dans les écoles de sa ville:

«Ces chiffres, c'est ceux de ma mairie. Le maire a, classe par classe, le nom des enfants. Pardon de vous dire que les prénoms disent les confessions. On ne va pas nier l'évidence. Si vous vous appelez Mohammed, c'est que vous êtes...»

Tout dans ces phrases est insupportable. TOUT. C'est même à pleurer de rage.

Le fichage potentiel bien sûr –que la mairie de Béziers dément aujourd'hui face à l'enquête préliminaire ouverte par le parquet, mais dans le plus grand flou. Illégal (le traitement de données «relatives aux origines des personnes» est interdit par la loi informatique et libertés de 1978), anti-républicain, odieux. Formalisé ou non, ce décompte vise, qui plus est, des enfants. Honteux, dégueulasse, abject. Sans compter qu'on ne sait pas ce que l'édile comptait faire de ces «statistiques» à long terme.

Mais ce qui stupéfait, c'est aussi qu'on apprenne cette affaire du propre aveu de celui qui s'en rend coupable. Comme s'il considérait à ce moment-là, sur ce plateau télé, qu'il ne risquait pas grand-chose à révéler ses pratiques («Je sais que je n'ai pas le droit de le faire»), comme si ça allait passer, comme tant d'autres propos délirants finissent toujours par passer et qu'on s'y arrête à peine, inondés que nous sommes de sorties haineuses...


Oui, la classe politique, dans sa grande majorité, a condamné l'illégalité de cette possible pratique, et aussi ce qu'elle symbolisait et augurait. Mais mettre, formellement ou non, des enfants dans les cases en fonction de leur nom, et ranger les «Mohammed» dans la colonne «musulmans», ça n'est pas qu'illégal et infâme. C'est aussi complètement ***. *** et malveillant.

Je m'appelle Nadia. Je suis athée. Je ne suis pas musulmane. Je ne l'ai même jamais été. Y compris à l'école, à l'âge auquel j'aurais pu être fichée en tant que musulmane. Ma mère, Khadija, est musulmane pratiquante. Mon père, Mustapha, non. J'ai des amis dont les noms de famille sont Cohen, Abecassis, Essayag, certains sont juifs, d'autres non. J'ai un ami dont les parents sont juifs, qui a, un temps, été musulman et qui n'est aujourd'hui toujours pas juif. J'ai une amie Marie qui n'est pas catholique. Le deuxième prénom de ma fille est Salomé, elle n'est pas juive non plus (elle croit à la mythologie grecque et aurait voulu s'appeler Athena).

«Musulmans d'apparence»

On en est donc au stade où il faut rappeler que ça n'a aucun sens d'assimiler un prénom à une religion. Que des Fatima sont portugaises et catholiques. Ou pas. Que les juifs et les musulmans ont des prénoms communs. Que des parents athées donnent un nom biblique, juif, musulman à leur enfant parce qu'ils trouvent ça joli.

Mais surtout, SURTOUT, il faut désormais marteler qu'il est impensable de connecter les prénoms, les noms de famille et/ou les origines à une religion. Que l'idée même de «religion supposée» est une aberration.

Mais il convient aussi de rappeler que l'assimiliation ethnie/religion n'est en rien l'apanage de l'extrême droite.

On se souvient évidemment de l'expression «musulman d'apparence» employée par Nicolas Sarkozy en 2012 alors même qu'il tentait de répliquer à un amalgame effectué par Marine Le Pen pendant l'affaire Merah:

«Je rappelle que deux de nos soldats étaient –comment dire?– musulmans, en tout cas d’apparence, puisque l’un était catholique. D’apparence... Comme on dit: de la diversité visible.»

Que dire de ce tweet imbécile du président de la jeune Droite populaire qui ironisait sur les prénoms des enfants de Vincent Peillon: Salomé, Maya, Elie et Izaak?

Que dire aussi de l'expression «d'origine musulmane», utilisée à tort et à travers?

Essentialisation des immigrés

Tout cela rélève évidemment de l'essentialisation des immigrés, de la constitution d'un islam imaginaire qui serait incarné par des musulmans supposés, sinon suspectés. Un raisonnement qui pose les bases du grand délire du grand remplacement. Un raisonnement, aussi, qui est tellement répandu qu'il conduit les Français à estimer qu'il y a aujourd'hui 23% de musulmans en France (alors qu'ils ne sont que 8%).

Un raisonnement, du moins pour la logique «enfant d'immigrés originaires du Maghreb = musulman», qui peut aussi être adopté par la gauche.

Dire que tous les immigrés marocains, algériens, tunisiens, maliens... leurs enfants, petits-enfants sont musulmans, c'est ni plus ni moins ce qu'affirme Emmanuel Todd quand il dit que les musulmans ont été absents des manifestation du 11 janvier et qu'il s'agissait là d'une manifestation aux relents islamophobes. (A ce sujet, écoutez la brillante chronique de Sophia Aram sur France Inter).

J'ai personnellement vécu, dans mon quotidien, cette assimilation Nadia = arabe = musulman = fondamentalisme. Pas plus tard qu'il y a quelques jours. Je suis journaliste pour une émission de télé diffusée sur Arte. Nous avons enregistré une émission à l'occasion du débat sur «la jupe longue pas laïque» de Charleville-Mézières. Après l'émission (au cours de laquelle, faut-il le préciser, j'ai simplement fait mon travail de journaliste: poser des questions à nos invités ...), un téléspectateur a tweeté ça:


L'an dernier, à l'occasion d'un autre débat sur l'islam, Elisabeth Chemla, journaliste invitée sur le plateau, m'avait «trouvée bien passionnée sur le sujet».

La musulmanie n'existe pas
Alors, oui, il faut s'insurger contre les pratiques de Robert Ménard, contre les cinglés adeptes de la théorie du grand remplacement, contre ceux qui voient en l'islam une menace, contre ceux qui sont persuadés que les musulmans, et par extension les enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants de musulmans, ont un plan secret qui consiste à coloniser la France à grand renfort de viande hallal, contre ceux qui assimilent l'islam au terrorisme.

Mais il faut aussi lutter contre cette tendance insupportable qui consiste à dénier aux personnes de culture musulmane le droit d'être plus que des personnes de culture musulmane, d'être autre chose, d'être même profondément athée.

D'après les chiffres d'Emmanuel Todd, je suis musulmane, d'après Nicolas Sarkozy, je suis musulmane, d'après le FN, je suis musulmane. D'après mon voisin, je suis peut-être musulmane, rapport au nom sur ma boîte aux lettres. D'après les collègues que j'ai eus dans ma vie professionnelle et qui m'ont demandé si «ça va, c'est pas trop dur le ramadan», je suis musulmane.

Une bonne fois pour toutes, tous les immigrés ou les enfants d'immigrés issus de pays à majorité musulmane ne sont pas nécessairement musulmans. La musulmanie n'existe pas. L'islam n'est pas contagieux. Il n'y a pas de gène de l'islam. Tous les Cohen ne sont pas juifs. Toutes les Marie ne vont pas à la messe.

Je suis Nadia, je suis athée. Et tant que j'y suis, je n'ai pas non plus de recette de couscous ni de bon plan pour un tapis pas cher.

Nadia Daam


Je m'appelle Nadia et je ne suis pas musulmane | Slate.fr
 
Quoi qu'on en dise les difficultés avec le langage et en particulier avec le passage au second degré (secondarisation) sont favorables à l'échec scolaire.
Ceux qui s'en sortent sont soit particulièrement doués ou ont bénéficié de pratiques compensatoires que ce soit dans ou à l’extérieur de l'institution scolaire.
 
Ce qui est affolant c'est que personne ne réagit (je parle des politiques, de ceux qui font les lois)
On laisse faire...on laisse dire...
on nous parle d'intégration mais c'est chaque jour le même refrain de haine de l'autre... les amalgames, les pointages du doigts, l'islamophobie est plus que jamais à la mode avec ces fachos
shyzophrénie.com
ce matraquage me monte à la tête
La stratégie est classique. Laisser les élus du FN faire de la M. ... 0our tout ressortir èn bloc aux élections présidentielles
 
Je suis Nadia, je suis athée. Et tant que j'y suis, je n'ai pas non plus de recette de couscous ni de bon plan pour un tapis pas cher.

Nadia Daam
:D
Cette phrase m'a bien fait rire.
Un peu hors sujet ( mais pas tant que ça...) le prénom de Nadia, à moi, m'évoque immédiatement des origines...slaves, et pas du tout, mais alors pas du tout, musulmanes ou maghrébines.
"Nadia" est très courant chez les russes, c'est en fait un diminutif, celui de Nadejda, Надежда en cyrillique, joli prénom qui signifie "espoir".
 

oue7dania

~¡~.......•|•......^^
VIB
donner des cours de soutient aux enfant, trouver un moyen pour que les profs puissent communiquer avec eux. Voire leur faire à quérir des notions de base de français.
faudrait déja veiller a ce que les cours normaux soient maintenus correctement..
quand je vois le taux d'abscenteisme des profs durant l'année scolaire ......
et pour ce que tu dis ça existe déja...
 
Je m'appelle Nadia et je ne suis pas musulmane

La récente sortie de Robert Ménard sur les enfants de Béziers oblige à rappeler qu'assimiler un prénom à une religion n'a aucun sens. Que l'idée même de «religion supposée» est une aberration. Et qu'il faut arrêter de dénier à une personne née dans une culture le droit d'être autre chose.

Sur le plateau de Mots croisés, le maire de Béziers, Robert Ménard, a affirmé, lundi 4 mai, avoir recensé 64,6% d'enfants de confession musulmane dans les écoles de sa ville:

«Ces chiffres, c'est ceux de ma mairie. Le maire a, classe par classe, le nom des enfants. Pardon de vous dire que les prénoms disent les confessions. On ne va pas nier l'évidence. Si vous vous appelez Mohammed, c'est que vous êtes...»

Tout dans ces phrases est insupportable. TOUT. C'est même à pleurer de rage.

Le fichage potentiel bien sûr –que la mairie de Béziers dément aujourd'hui face à l'enquête préliminaire ouverte par le parquet, mais dans le plus grand flou. Illégal (le traitement de données «relatives aux origines des personnes» est interdit par la loi informatique et libertés de 1978), anti-républicain, odieux. Formalisé ou non, ce décompte vise, qui plus est, des enfants. Honteux, dégueulasse, abject. Sans compter qu'on ne sait pas ce que l'édile comptait faire de ces «statistiques» à long terme.

Mais ce qui stupéfait, c'est aussi qu'on apprenne cette affaire du propre aveu de celui qui s'en rend coupable. Comme s'il considérait à ce moment-là, sur ce plateau télé, qu'il ne risquait pas grand-chose à révéler ses pratiques («Je sais que je n'ai pas le droit de le faire»), comme si ça allait passer, comme tant d'autres propos délirants finissent toujours par passer et qu'on s'y arrête à peine, inondés que nous sommes de sorties haineuses...


Oui, la classe politique, dans sa grande majorité, a condamné l'illégalité de cette possible pratique, et aussi ce qu'elle symbolisait et augurait. Mais mettre, formellement ou non, des enfants dans les cases en fonction de leur nom, et ranger les «Mohammed» dans la colonne «musulmans», ça n'est pas qu'illégal et infâme. C'est aussi complètement ***. *** et malveillant.

Je m'appelle Nadia. Je suis athée. Je ne suis pas musulmane. Je ne l'ai même jamais été. Y compris à l'école, à l'âge auquel j'aurais pu être fichée en tant que musulmane. Ma mère, Khadija, est musulmane pratiquante. Mon père, Mustapha, non. J'ai des amis dont les noms de famille sont Cohen, Abecassis, Essayag, certains sont juifs, d'autres non. J'ai un ami dont les parents sont juifs, qui a, un temps, été musulman et qui n'est aujourd'hui toujours pas juif. J'ai une amie Marie qui n'est pas catholique. Le deuxième prénom de ma fille est Salomé, elle n'est pas juive non plus (elle croit à la mythologie grecque et aurait voulu s'appeler Athena).

«Musulmans d'apparence»

On en est donc au stade où il faut rappeler que ça n'a aucun sens d'assimiler un prénom à une religion. Que des Fatima sont portugaises et catholiques. Ou pas. Que les juifs et les musulmans ont des prénoms communs. Que des parents athées donnent un nom biblique, juif, musulman à leur enfant parce qu'ils trouvent ça joli.

Mais surtout, SURTOUT, il faut désormais marteler qu'il est impensable de connecter les prénoms, les noms de famille et/ou les origines à une religion. Que l'idée même de «religion supposée» est une aberration.

Mais il convient aussi de rappeler que l'assimiliation ethnie/religion n'est en rien l'apanage de l'extrême droite.

On se souvient évidemment de l'expression «musulman d'apparence» employée par Nicolas Sarkozy en 2012 alors même qu'il tentait de répliquer à un amalgame effectué par Marine Le Pen pendant l'affaire Merah:

«Je rappelle que deux de nos soldats étaient –comment dire?– musulmans, en tout cas d’apparence, puisque l’un était catholique. D’apparence... Comme on dit: de la diversité visible.»

Que dire de ce tweet imbécile du président de la jeune Droite populaire qui ironisait sur les prénoms des enfants de Vincent Peillon: Salomé, Maya, Elie et Izaak?

Que dire aussi de l'expression «d'origine musulmane», utilisée à tort et à travers?

Essentialisation des immigrés

Tout cela rélève évidemment de l'essentialisation des immigrés, de la constitution d'un islam imaginaire qui serait incarné par des musulmans supposés, sinon suspectés. Un raisonnement qui pose les bases du grand délire du grand remplacement. Un raisonnement, aussi, qui est tellement répandu qu'il conduit les Français à estimer qu'il y a aujourd'hui 23% de musulmans en France (alors qu'ils ne sont que 8%).

Un raisonnement, du moins pour la logique «enfant d'immigrés originaires du Maghreb = musulman», qui peut aussi être adopté par la gauche.

Dire que tous les immigrés marocains, algériens, tunisiens, maliens... leurs enfants, petits-enfants sont musulmans, c'est ni plus ni moins ce qu'affirme Emmanuel Todd quand il dit que les musulmans ont été absents des manifestation du 11 janvier et qu'il s'agissait là d'une manifestation aux relents islamophobes. (A ce sujet, écoutez la brillante chronique de Sophia Aram sur France Inter).

J'ai personnellement vécu, dans mon quotidien, cette assimilation Nadia = arabe = musulman = fondamentalisme. Pas plus tard qu'il y a quelques jours. Je suis journaliste pour une émission de télé diffusée sur Arte. Nous avons enregistré une émission à l'occasion du débat sur «la jupe longue pas laïque» de Charleville-Mézières. Après l'émission (au cours de laquelle, faut-il le préciser, j'ai simplement fait mon travail de journaliste: poser des questions à nos invités ...), un téléspectateur a tweeté ça:


L'an dernier, à l'occasion d'un autre débat sur l'islam, Elisabeth Chemla, journaliste invitée sur le plateau, m'avait «trouvée bien passionnée sur le sujet».

La musulmanie n'existe pas
Alors, oui, il faut s'insurger contre les pratiques de Robert Ménard, contre les cinglés adeptes de la théorie du grand remplacement, contre ceux qui voient en l'islam une menace, contre ceux qui sont persuadés que les musulmans, et par extension les enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants de musulmans, ont un plan secret qui consiste à coloniser la France à grand renfort de viande hallal, contre ceux qui assimilent l'islam au terrorisme.

Mais il faut aussi lutter contre cette tendance insupportable qui consiste à dénier aux personnes de culture musulmane le droit d'être plus que des personnes de culture musulmane, d'être autre chose, d'être même profondément athée.

D'après les chiffres d'Emmanuel Todd, je suis musulmane, d'après Nicolas Sarkozy, je suis musulmane, d'après le FN, je suis musulmane. D'après mon voisin, je suis peut-être musulmane, rapport au nom sur ma boîte aux lettres. D'après les collègues que j'ai eus dans ma vie professionnelle et qui m'ont demandé si «ça va, c'est pas trop dur le ramadan», je suis musulmane.

Une bonne fois pour toutes, tous les immigrés ou les enfants d'immigrés issus de pays à majorité musulmane ne sont pas nécessairement musulmans. La musulmanie n'existe pas. L'islam n'est pas contagieux. Il n'y a pas de gène de l'islam. Tous les Cohen ne sont pas juifs. Toutes les Marie ne vont pas à la messe.

Je suis Nadia, je suis athée. Et tant que j'y suis, je n'ai pas non plus de recette de couscous ni de bon plan pour un tapis pas cher.

Nadia Daam


Je m'appelle Nadia et je ne suis pas musulmane | Slate.fr

Purée elle a une vrai tête de crouille :D
 
Ce qui est affolant c'est que personne ne réagit (je parle des politiques, de ceux qui font les lois)
On laisse faire...on laisse dire...
on nous parle d'intégration mais c'est chaque jour le même refrain de haine de l'autre... les amalgames, les pointages du doigts, l'islamophobie est plus que jamais à la mode avec ces fachos
shyzophrénie.com
ce matraquage me monte à la tête

Je trouve cela cool :p
 
donner des cours de soutient aux enfant, trouver un moyen pour que les profs puissent communiquer avec eux. Voire leur faire à quérir des notions de base de français.
Mais bien s^^ur comme si donner des cours de français aux parents ds le but de pouvoir communiquer avec les prof était la priorité du maire. C'était bien cela son intention. C trop mimi

Le parent qi se tracasse de l'apprentissage de son enfant trouvera une solution lui m^^eme pour se faire comprendre et faire passer un message au prof ou aller à la rencontre de celui-ci. Pour les autres français ou non tu peux pas les y obliger. A
 

oue7dania

~¡~.......•|•......^^
VIB

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
et si vous cessiez vos HS avec l’alphabétisation et les mères parlant mal le français
uniquement chez les immigrés
ça me met dans une colère noire
sortez de votre bulle
je viens d'une famille dont la maman a commencé à travailler à 7 ans et le père à 11 ans
ils ont tout fait pour me pousser vers les études supérieures
cependant on est tous "français de souche"

mam
 
on
Quoi qu'on en dise les difficultés avec le langage et en particulier avec le passage au second degré (secondarisation) sont favorables à l'échec scolaire.
Ceux qui s'en sortent sont soit particulièrement doués ou ont bénéficié de pratiques compensatoires que ce soit dans ou à l’extérieur de l'institution scolaire.
On peut réussir en secondaire tt en étant moyen ( avec parents ne lisant pas le français)
Faut pas spécialement ^^etre doués. Comme si les autres élèves étaient systématiquement aidés par leurs parents.
Ils n'entendent pas forcément un "bon" français à la maison, il n'y pas forcément une bibliothèque à la maison et leurs parents ne sont pas forcément instruits ni ne sont des lumières.
 
et si vous cessiez vos HS avec l’alphabétisation et les mères parlant mal le français
uniquement chez les immigrés
ça me met dans une colère noire
sortez de votre bulle
je viens d'une famille dont la maman a commencé à travailler à 7 ans et le père à 11 ans
ils ont tout fait pour me pousser vers les études supérieures
cependant on est tous "français de souche"

mam
Dis le à Ménard
 
donner des cours de soutient aux enfant, trouver un moyen pour que les profs puissent communiquer avec eux. Voire leur faire à quérir des notions de base de français.

Dans ce cas la on devrait faire un projet de loi permettant de comptabiliser les musulmans apparement c'est pour les aidés

Etant musulmans d'origine algérienne , a la différence de certains ici , vue le nombre d'années de colonisation de la France en Algerie , la plus pars des anciens Algérien parle le français correctement , d'ailleurs mon pére est " un beur " de la première génération

donc naturellement je parle correctement français lorsque j'en ai envie;)

pas besoin de comptabiliser ou autres , simplement donner du boulot et un toit , le reste en s'en occupe
 
B

belgika

Non connecté
Je ne pense pas que les bladinautes soient hs ils réagissent aux propos vomis par robert menard visant explicitement les enfants d'immigrés musulmans et pas les enfants de FDS o_O




et si vous cessiez vos HS avec l’alphabétisation et les mères parlant mal le français
uniquement chez les immigrés
ça me met dans une colère noire
sortez de votre bulle
je viens d'une famille dont la maman a commencé à travailler à 7 ans et le père à 11 ans
ils ont tout fait pour me pousser vers les études supérieures
cependant on est tous "français de souche"

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Je ne pense pas que les bladinautes soient hs ils réagissent aux propos vomis par robert menard visant explicitement les enfants d'immigrés musulmans et pas les enfants de FDS o_O

avec l’alphabétisation et les mères parlant mal le français
si !!!

mam
 
Je ne pense pas que les bladinautes soient hs ils réagissent aux propos vomis par robert menard visant explicitement les enfants d'immigrés musulmans et pas les enfants de FDS o_O

le sujet n'est pas les méres qui parlent mal le français , d'ailleurs la plus part parlent correctement le français , mais les enfants musulmans comptabilisé;)
donc elle a raison en quelque sorte
 

Iman07

VIB
donner des cours de soutient aux enfant, trouver un moyen pour que les profs puissent communiquer avec eux. Voire leur faire à quérir des notions de base de français.

Ben c'est déjà le travail des profs à la base, en observant et en travaillant avec l'enfant. Les mettre dans une catégorie spécifique ne va rien changer puisque ces difficultés sont détectables très jeune donc mettre en place des solutions pour aider, oui, mais pas les ficher comme ça. Et tous les enfants dont les parents ne parlent pas français ne galèrent pas à l'école, donc on ne peut pas simplement se baser sur ce critère pour créer des groupes de soutien notamment.
Les enfants qui ne parlent pas français à la maternelle l'apprennent, ceux qui arrivent plus tard vont dans des classes d'adaptation. Tout ça est déjà en place. Je ne vois donc vraiment pas l'intérêt de dénombrer ces enfants, on risque juste de tomber dans l'excès. La ligne est fine.
 
Dernière édition:
le sujet n'est pas les méres qui parlent mal le français , d'ailleurs la plus part parlent correctement le français , mais les enfants musulmans comptabilisé;)
donc elle a raison en quelque sorte
On a bifurqué sur ce sujet car une bladinette a suggéré de nous ficher pour permettre à l'éducation nationale ne nous aider en amont
 
B

belgika

Non connecté
J'ai lu les propos de menard concernant les parents des enfants musulmans parlant mal ou pas du tout le francais
Il s'attaque aux enfants musulmans et aussi leurs parents

pourquoi ne parle t il pas alors des enfants et parents FDS qui ont des problèmes d'apprentissage


Qu'il propose des solutions au lieu de jeter un pavé dans la mare





le sujet n'est pas les méres qui parlent mal le français , d'ailleurs la plus part parlent correctement le français , mais les enfants musulmans comptabilisé;)
donc elle a raison en quelque sorte
 
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