Sahih Boukhary, l'exemple de corruption

voila les 5 critere dun hadith sahih


1. Qu’il possède une châine de transmission liée :

Ceci signifie que chacun des rapporteurs composant la chaîne qui conduit au matn (texte du hadith) ait pris le hadith de son shaykh.

le dernier de la chaine na pas vue le premier pour pouvoir dire si la chaine existe une personne peut dire que ca vient dun tel mais comme se un tel est mort on ne peut pas verifier

2. Que ses rapporteurs soient droits :

Al Hâkim a dit dans l’introduction de son Sahîh: "que la plupart des situations de la personne soit dans l’obéissance à Allah", malgré quelques péchés pouvant survenir (car tout le monde fait des péchés et seuls les prophètes sont infaillibles).

Al Hâfiz Ibn Hajar a dit dans Nukhbatu l Fikar: "ce qui est voulu par "droiture": qu’il possède ce qui le pousse à s’attacher à la piété (taqwah) et à l’honneur. Et la piété c’est s’écarter des actes mauvais, comme association, perversité et innovation."

As San’ânî ajouta: « Ach Châfi’î a également dit une parole sur la droiture, que bon nombre de gens intelligents après lui approuvèrent: "si l’homme droit était celui qui n’a pas de péché, nous ne trouverions pas de droit. Et si tous les péchés n’empêchaient pas la droiture, nous ne trouverions personne de critiqué. Mais le droit est celui qui délaisse les grands péchés et dont les bonnes actions sont plus nombreuses que les mauvaises." »

Shaykh ’Alî Ar Râzihî (de Dammâj) a dit: "la définition d’Ibn Hajar est une erreur."

Et il a donné comme définition: "Celui dont les obéissances l’emportent sur les désobéissances et que le coeur se tranquilise a accepter son information."

seul dieu peut juger les coeur et un menteur peut se faire passez pour une personne droite pour passe son hadith
3. Que ses rapporteurs aient une excellente mémoire :

C’est à dire que chacun rapporte le hadîth comme il l’a entendu de son shaykh, soit de sa mémoire, soit de son livre, et que la majorité de ses transmissions soient authentiques, droites, ne contredisant pas d’autres, et que ses erreurs soient des plus minimes (car tout le monde fait des erreurs).

une personne qui a une exelente memoir nest pas infaillible
la memoire et tres complexe et on a tendance de juger selon nos propre perception et souvent on est influencer par nous meme dans le fait de relater un fait
4. Qu’il ne soit pas châdh :

C’est lorsque celui dont le hadith est accepté contredit celui qui est plus sûr que lui ou plus nombreux.

si un hadith est selectionner par rapport aux autre hadith sans tenir compte des autres critere c que les autres critere ne sont pas solider

en plus il se peut que la majoriter des hadith soit faux et que peut le petit hadith et dans le vraie donc le nombre ne determine pas la veriter
5. Qu’il ne contienne pas de défaut :

C’est à dire de défaut caché qui affaiblit le hadith. Car certains défauts dans les transmissions ne sont pas importants.

chose arbitral quest se qui est un defauts ????
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Parlons des Hadith puisque tu le souhaites.

L'ensemble que je poste n'est qu'une introduction.

Définitions des termes utilisés dans la science du hadîth
Le hadîth
a) Au sens propre : synonyme de « jadîd » au sens de nouveau. Son pluriel est « ahâdîth », contrairement à la construction régulière.
b) Au sens terminologique : ce qui est rapporté du Prophète -salla Allahou ‘alayhi wa salam comme paroles, actions, acquiescements ou caractéristiques.

La sounna
a) Sens linguistique: La voie, qu'elle soit bonne ou mauvaise.
b) Sens chez les savants du [ousoûl]: Toute parole, acte, ou consentement rapportés de manière sûre du Prophète -salla Allahou ‘alayhi wa salam- pouvant être une preuve dans la législation.
c) Sens chez les savants de la jurisprudence [fiqh]: Tout ce qui est rapporté de manière
sûre du Prophète -salla Allahou ‘alayhi wa salam- sans que ce soit une obligation.
d) Sens chez les savants du hadîth: Tout ce qui est rapporté du Prophète -salla Allahou
‘alayhi wa salam- comme parole, acte, consentement, ou description physique et morale;
et cela avant ou après le début de la révélation.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Leur classification.

I. Selon la référence de son autorité particulière
a) Qoudsi - Divin
« Al-mabna » (la construction) est bien celle du prophète -salla Allahou ‘alayhi wa salam-. Mais « el ma’na » (le sens) vient de Dieu. A la différence que dans un hadith qoudsi le prophète dit : "Allâh a dit" alors que dans un hadith tout court le prophète parle directement sans faire référence à Dieu.
b) Marfou' - élevé
Un récit du Prophète, commençant par exemple par : "J'ai entendu le Prophète dire...".
c) Mawqoûf - arrêté
Il s'agit de la « Tradition fixée », dont la chaîne de transmission s'arrête à un
compagnon -qu’Allah les agrée-. Ce genre de tradition relate ainsi les propos, les gestes ou les approbations des « Sahâbas ».
Certaines formes de « Hadith Mawqoûf » ont valeur de « Hadith Marfou » : C'est le cas par exemple quand un Compagnon -qu’Allah les agrée- dit : "Il nous a été ordonné de faire ceci", ou quand il évoque des choses qui ne relèvent pas de son interprétation personnelle, comme les prédictions portant sur les faits à venir (à condition qu'il ne les tienne pas des "Gens du Livre").
d) Maqtou' - divisé
Il s'agit de la « Tradition interrompue », qui relate les propos, gestes ou approbations
d'un Tâbi'i ou Tabi' Tâbi'i.
De nombreux savants utilisent le terme « Athar » pour se référer au [Mawqoûf] et au [Maqtou'], et réservent donc l'emploi du mot "Hadith" uniquement pour les propos, gestes et approbations du Prophète -salla Allahou ‘alayhi wa salam-.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
II. Selon la chaîne de transmission [Isnad]

a) Mousnad - supporté
Un Hadîth qui a été rapporté par un traditionaliste, basé sur ce qu'il a appris de son
professeur à une époque appropriée à l'étude ; de même pour chaque professeur jusqu'à ce que la chaîne atteigne un compagnon bien connu, qui de son côté, rapporte des propos du Prophète.

b) Moutassil - continu
Un Hadîth avec une chaîne ininterrompue qui va jusqu'à un compagnon ou un de ses successeurs.
c) Moursal - altéré

Il y a déjà quelques divergences dans la définition du « moursal ». Les 2 définitions que l'on trouve majoritairement sont :
1. Il manque le compagnon dans l'isnad
Il est dit dans la Bayqouniya : [wa mursal minhu al-sahabi saqata].
2. L'isnad s'arrête au niveau d'un suivant
Les terminologistes préfèrent cette définition. On utilise alors le terme [mursal ulsahabi]
pour faire référence à la situation 1. Si l'isnad s'arrête sur un suivant, on ne sait pas s'il rapporte d'un compagnon ou d'un suivant qui pourrait être non fiable... La majorité des spécialistes du hadith pense qu'on ne peut pas se prononcer (à moins évidemment qu'une autre chaîne vienne renforcer le hadith). De nombreux juristes pensent qu'on peut l'utiliser sous certaines conditions. Par exemple, l'imam Ach-Châfi'i admettait les « marasil » de Sa'id b. al-musayyab.
D'après l'Imâm Abou Hanifa, Mâlik et Ahmad Ibn Hambal (selon l'avis qui a été le plus retenu de lui), le « Hadith Moursal » est acceptable (sous deux conditions : le « Tâbi'i » est sûr, et il a l'habitude, lorsqu'il cite un « Hadith Moursal », de le tenir d'une personne sûre et fiable). L'un des ouvrages les plus connus recensant des Traditions de ce genre est le « Marâsîl Abou Dâoûd ».
3. Mounqati' - cassé
Ce dit d'un Hadîth dont le lien à n'importe quel endroit de la chaîne avant le successeur
est manquant. Ibn Hajar -qu’Allah lui fasse Miséricorde- a dit : « Malik et Al-Boukhari ont une différente compréhension de la validité des hadiths. Malik ne considère pas l'interruption dans la chaîne comme une défaillance dans le hadith. Pour cette raison, il cite des hadiths avec des chaînes interrompues du type moursal et mounqati', et des communications sans chaînes [balaghat]
comme une partie de l'objet principal de son livre [al-Mouwatta]1, alors que Al-Boukhari, considère l'interruption comme une défaillance dans la chaîne de transmission. Ainsi, il ne cite pas ces hadiths sauf comme quelque chose en dehors de l'objet principal de son livre [aljami' al-sahih], par exemple les commentaires [ta'liq] et les titres de chapitres ». (Hadi alsari
p.21)
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
4. Mou'adal - perplexe
Ce dit d'un Hadîth dont le rapporteur omet deux (ou plus) rapporteurs de la
chaîne, les uns à la suite des autres. Ce genre de Hadith est unanimement considéré
comme étant « Dha'îf ».
5. Mou'allaq - arrêté, suspendu
Ce dit d'un Hadîth dont un ou plusieurs narrateurs qui se suivent ont été retirés
au début de la chaîne de transmission. Ce genre de « Hadith » est considéré comme étant
irrecevable dans l'argumentation, sauf s'il est mentionné dans un ouvrage sûr et fiable
("Sahîh Boukhâri" par exemple), auquel cas, son statut est différent

III. Selon le nombre de rapporteurs impliqués dans chaque étape de la chaîne detransmission

a) Moutawâtir - Consécutif (ou notoire)
Ce dit d'un Hadîth qui est rapporté par un si grand nombre de personnes qu'il est impossible qu'ils se soient concertés pour convenir d'un mensonge.
Il n'existe aucun doute sur la validité, la véracité et l'authenticité d'un tel Hadith. Pour ce
genre de tradition, il n'y a aucun besoin de faire des recherches sur l'état des transmetteurs et des narrateurs [Râwi]. Des ouvrages spécifiques ont été rédigés par les savants afin de compiler ce genre de Hadiths. On pourrait citer à titre d'exemple le « Qatf oul Azhâr » de
l'Imâm As-Souyoûti et le [Nazm oul Moutanâthir min al Hadithil Moutawâtir] de
Mouhammad Al Kattâni.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
b) Ahad - isolé
Ce dit d'un Hadîth qui est relaté par un nombre important de personnes mais dont le nombre n'atteint pas celui du moutawatir. Il est encore divisé en :

1. Mach'Hour - célèbre (ou réputé)
Le Hadîth a été rapporté à chaque niveau de transmission par au moins trois
rapporteurs. Certains savants utilisent l'appellation de [Hadith Moustafîdh] pour se
référer à ce genre de Tradition.
2. Aziz - rare, fort
A n'importe quelle étape de la chaîne, deux rapporteurs au moins relatent le Hadîth.
3. Gharib - étrange
A un certain moment de la chaîne, seulement un rapporteur relate le Hadîth.

IV. Selon la nature du texte et de la chaîne

a) Mounkar - dénoncé
Ce dit d'un Hadîth qui est rapporté par un narrateur faillible, et dont le récit va à l'encontre d'un Hadîth authentique.
b) Moudraj - interpolé
Un ajout au texte du Hadîth par un rapporteur.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
V. Selon le sérieux et la mémoire des rapporteurs

a) Sahih - Sûr, solide, authentique
Ach-chafi'i -qu’Allah lui fasse Miséricorde- indique les obligations pour un tel Hadîth, qui
n'est pas moutawatir, afin qu'il soit acceptable : « Chaque rapporteur doit être digne de
confiance dans sa religion; il devra être connu pour être véridique dans son récit, de
comprendre ce qu'il rapporte, savoir comment une expression différente peut modifier la
signification du Hadîth, et de rapporter les mots du Hadîth mot pour mot, et pas seulement au
niveau de sa signification ».

Il est à noter que l'on distingue deux types de « Hadith Sahîh » : Le « Hadith Sahîh li
dhâtihi » (Hadith valide en lui-même), qui correspond à la définition donnée ci-dessus, et le
« Hadith Sahîh li Ghayrihi » (Hadith valide par autre que lui), qui désigne la Tradition
dont l'une des personnes présentes dans la chaîne de transmission présente une défaillance
minime sur un point précis, mais le Hadith en question est rapporté par d'autres voies,
avec d'autres chaînes de transmission de force égale ou supérieure.
Le hadith sahih est le plus haut degré dans l'authenticité. Il doit réunir cinq conditions qu'ont
définies les savants :
- Qu'il possède une chaine de transmission liée
- Que ses rapporteurs soient justes ('udûl, pluriel de 'adl)
- Que ses rapporteurs aient une excellente mémoire
- Qu'il ne soit pas « châdh » (singulier)
- Qu'il ne contienne pas de défaut [mu'allal]

1. Qu'il possède une chaine de transmission liée
Ceci signifie que chacun des rapporteurs composant la chaîne qui conduit au
[matn] (texte du hadith) ait pris le hadith de son shaykh.

2. Que ses rapporteurs soient justes
Ceci signifie pour chacun: que la plupart de ses situations soit dans l'obéissance à
Allah, malgré quelques péchés pouvant survenir (car tout le monde fait des péchés et seuls
les prophètes sont infaillibles).

3. Que ses rapporteurs aient une excellente mémoire
C'est à dire que chacun rapporte le hadith comme il l'a entendu de son shaykh, soit de
sa mémoire, soit de son livre, et que la majorité de ses transmissions soient
authentiques, droites, ne contredisant pas d'autres, et que ses erreurs soient des plus
minimes (car tout le monde fait des erreurs).

4. Qu'il ne soit pas châdh
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
C'est lorsque le [thiqah] (de confiance) contredit celui qui est plus [thiqah] que lui ou
plus nombreux.

5. Qu'il ne contienne pas de défaut
C'est à dire de défaut caché qui affaiblit le hadith. Car certains défauts dans les
transmissions ne sont pas importants.

6. Exemple :
Voici un hadith pris de Sahih Al Bukhârî et qui est également rapporté par Muslim dans son Sahih

Al Bukhârî -qu’Allah lui fasse Miséricorde- dit donc :
Al Humaïdî 'Abd Allah Ibn Az Zubaïr nous a rapporté :
il a dit: Sufyân nous a rapporté :
il a dit: Yahyâ Ibn Sa'îd Al Ansârî nous a rapporté :
il a dit: Muhammad Ibn Ibrâhîm At Taïmî m'a rapporté qu'il a entendu 'Alqamah Ibn
Waqqâs Al Laïthî dire: j'ai entendu 'Umar Ibn Al Khattâb -qu'Allah l’agrée- dire sur le minbar:
j'ai entendu le messager d'Allah -salla Allahou ‘alayhi wa salam- dire:
« Les actes ne sont qu'avec les intentions, et chacun n'a que ce qu'il a eu l'intention.
Celui dont l'émigration est vers quelque chose de la dunyâ ou vers une femme à
épouser, son émigration sera vers ce vers quoi il a émigré. »

Est-ce que la chaîne est liée ?
'Umar Ibn Al Khattâb, Abû Hafs, le deuxième calife, grand compagnon du prophète -salla
Allahou ‘alayhi wa salam- a entendu le hadith de lui. En plus il le précise clairement ici (j'ai
entendu).
'Alqamah Ibn Waqqâs Al Laïthî, fait parti des élèves de 'Umar, comme l'a affirmé Al
Hâfiz Al Mizzî dans Tahdhîb Al Kamâl, en plus de la clarification de l'entente ici (j'ai
entendu).
Muhammad Ibn Ibrâhîm At Taïmî, fait parti des élèves de 'Alqamah, comme affirmé ici
(qu'il a entendu).
Yahyâ Ibn Sa'îd Al Ansârî, fait parti des élèves de Muhammad Ibn Ibrâhîm, et l'entente du
hadith est affirmé ici (m'a rapporté).
Sufyân, qui est Ibn 'Uyaïnah, Abû Muhammad Al Makkî. Il a clairemet pris le hadith de
Yahyâ (nous a rapporté).
Al Humaïdî a pris de Sufyân comme affirmé ici (nous a rapporté).
Enfin, Al Bukhârî a clairement pris le hadith de son shaykh Al Humaïdî en disant (nous a rapporté).
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Conclusion: la chaîne est liée et la première condition est remplie.

Ses rapporteurs sont-ils [‘udûl] et ont-ils une excellente mémoire ?
'Umar Ibn Al Khattâb : La règle est que tous les compagnons sont ['udûl], donc lorsqu'il
est établi que la personne est un compagnon, pas besoin de rechercher les paroles des gens à
son sujet ou contre lui, et rien de tout ça dans les livres de [jarh wa ta'dîl] de ce fait.
Les rapporteurs sont tous [thiqât] (pluriel de thiqah) qu'on peut traduire par « sûr » ou "de
confiance" et qui indique que la personne fait partie des rapporteurs du hadith sahih, c'est à
dire que son équité et sa très bonne mémoire sont affirmées. Certains d'entre eux sont même
des références dans le hadith comme Sufyân Ibn 'Uyaïnah pour qui Ibn Hajar -qu’Allah lui
fasse Miséricorde- a affirmé, dans Taqrîb At Tahdhîb: « Thiqah, hâfiz, faqîh, imâm, hujjah
(argument) sauf que sa mémoire a changé à la fin de sa vie, et il faisait parfois du tadlîs, mais
d'après des thiqât, et il était le plus ferme des gens en ce qui concerne 'Amr Ibn Dînâr ».

Qu'il ne soit pas châdh
Ce hadith ne contredit pas un autre plus fort ou rapporté par plus de voies que lui. Il est
même appuyé par le Coran, lorsqu'Allah dit:
{Et ne repousse pas ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir en désirant Son
visage}
Sourate 6 : Verset 52
Qu'il ne contienne pas de défaut
Il ne contient pas de défaut, dans sa chaîne ou son texte. Quant à ce que les innovateurs ont
prétendu, comme le fait que le hadith sahih a comme condition d'être [mutawâtir], c'est à
dire rapporté par de très nombreuses voies, qui rendent impossible le fait qu'ils se soient
assemblés sur un mensonge ou une erreur, et bien c'est une condition rejetée. Et ce hadith est
rapporté seulement par la voie de 'Umar, puis seulement par la voie de 'Alqamah, puis
seulement par la voie de Muhammad Ibn Ibrâhîm At Taïmî, puis seulement par la voie de
Yahyâ Ibn Sa'îd.
Le premier ayant rassemblé le sahih est Al Bukhârî, puis Muslim, qui sont les deux livres les
plus authentiques après le Livre d'Allah.
Les plus hauts degrés du sahih sont:
Ce qu'ils ont tous deux rapporté (et dont on dit muttafaqun 'alayh)
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Ce qu'a rapporté Al Bukhârî seul
Ce qu'a rapporté Muslim seul
Ce qui est sahih d'après leurs conditions mais qu'ils n'ont pas rapporté
Ce qui est sahih d'après les conditions d'Al Bukhârî seul
Ce qui est sahih d'après les conditions de Muslim seul
Ce qui est sahih d'après les conditions d'autre qu'eux

Quelle est la différence entre les conditions d'Al Bukhârî et celles de Muslim dans
leurs Sahihs respectifs?

- Al Bukhârî a conditionné le fait que le rapporteur soit contemporain de son shaykh et que le
fait qu'il l'ait entendu ait clairement été affirmé.
- Quant à Muslim, il a seulement conditionné le fait qu'il soit contemporain.
Le fait qu'il soit contemporain est clair, c'est à dire qu'ils ont vécu à la même époque. S'il est
né après la mort de son prétendu shaykh par exemple, il est impossible qu'il ait pris le hadith
de lui.
Quant au fait que l'entente entre les deux soit établie, c'est par exemple par le fait de trouver
un hadith ou l'élève prend le hadith de son shaykh en disant "il m'a rapporté" ou "il nous a
rapporté" ou "je l'ai entendu dire", etc... de ce qui montre clairement qu'il fait parti de ses
shuyukh.

Important: Ceci est ce qu'Al Bukhârî a conditionné pour son Sahih, mais il voyait que le
hadith pouvait être authentique sans la deuxième condition, au contraire de 'Alî Ibn Al
Madînî, son shaykh, qui voyait que le hadith n'était pas authentique tant qu'il ne répondait
pas à ses deux conditions.
Il faut savoir également que le fait que Muslim se suffise de la contemporanéité ne signifie
pas qu'il accepte la transmission du [mudallis] qui n'affiche pas clairement son entente du
hadith de son shaykh.
Est-ce que ce Sahih Al Bukhârî contient tout ce qu'Al Bukhârî voyait comme
authentique ?
Non.
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
1. Hasan-Sahih

Pour information, il dit que les savants ont divergé sur l'explication de cette
terminologie bien spécifique à At-Tirmidhi, et que le plus juste est que « hassan
sahih » signifie que pour un hadith donné, le rapporteur pouvait être considéré comme
transmetteur du sahih chez certains muhaddithin alors qu'ils n'était considéré que
transmetteur du hassan chez certains autres, d'où l'adoption par l'imam Tirmidhi d'une
classification intermédiaire des hadith rapportés par de telles personnes en « hassan
sahih ».
b) Hasan - bon
C'est celui qui ne présente pas de marginalité ou de défaut et qui a été rapporté par une
chaîne de transmetteurs continue dont l'un des membres présente une défaillance minime par
rapport aux conditions nécessaires pour le « Sahîh », et ce manque n'est pas compensé non
plus par une autre chaîne de transmission.
Il est évident que ce genre de Hadith a une fiabilité et une force probante moindre par
rapport au « Sahîh ». Il n'en reste pas moins cependant qu'il est considéré comme source
d'argumentation valide.

c) Da'if - faible
Ce dit d'un Hadîth qui n'atteint pas le statut de hasan. Habituellement, la faiblesse est:

1. Une discontinuité dans la chaîne, dans ce cas le Hadîth pourrait être - selon
la nature de la discontinuité - mounqati' [cassé], mou'allaq [arrêter], mou'dal [perplexe], ou moursal [altéré],
2. Un des rapporteurs ayant un caractère suspect, par exemple en raison de ses mensonges, erreurs excessives, opposition au récit des sources plus fiables, participation dans l'innovation, ou ambiguïté entourant sa personne.

Cependant, quand un [Hadith Dhâ'if] est rapporté par différentes voies, et que sa
faiblesse n'est pas dû à la perversité et au mensonge d'un de ses transmetteurs, dans
ce cas, il acquiert une certaine fiabilité et devient valide dans l'argumentation. On
l'appelle alors Hadith bon par autre que lui [Hasan li ghayrihi].

d) Mawdou' - fabriqué ou forgé
Ce dit d'un Hadîth dont le texte va à l'encontre des normes établies pour les paroles du
Prophète, ou la chaîne comprend un menteur. Un Hadîth fabriqué peut également être
identifié par une anomalie présente à une époque particulière (rébellion...)
 

Milamber

Soyez bon envers chacun ~
VIB
Nom et nombre de ahadith rapporté par les Sahaba

Abou Hourayra -qu’Allah l’agrée- 5374
Abdoullâh Ibn 'Omar -qu’Allah l’agrée-2630
Anas Ibn Mâlik -qu’Allah l’agrée-2286
'Aïcha -qu’Allah l’agrée-2210
Jâbir -qu’Allah l’agrée-1540
Abou Sa'îd Al-Khoudri -qu’Allah l’agrée-1170
'Abdoullâh Ibn 'Abbas -qu’Allah l’agrée-1160
Oum Salama -qu’Allah l’agrée-378
Abou Moûsa -qu’Allah l’agrée-360
Souhayb Ar-Roûmi -qu’Allah l’agrée-307
Al-Barâ Ibn 'Azab -qu’Allah l’agrée-305
Abou Dharr -qu’Allah l’agrée-281
Sa'd Ibn Abi Waqqâs -qu’Allah l’agrée-270
'Imrân Ibn Housayn -qu’Allah l’agrée-180
Oubay Ibn Ka'b -qu’Allah l’agrée-164
Mou'âdh -qu’Allah l’agrée-157
Abou Ayyoûb -qu’Allah l’agrée-155
'Othmân -qu’Allah l’agrée-146
Abou Bakr -qu’Allah l’agrée-142
Al-Moughîra Ibn Chou'ba -qu’Allah l’agrée-136
Mou'âwiya -qu’Allah l’agrée-130
Ousâma Ibn Zayd -qu’Allah l’agrée-128
An-Nou'mân Ibn Bachîr -qu’Allah l’agrée-114
Samoura Ibn Joundoub -qu’Allah l’agrée- 100
 

LeMagnifique

Soliman
VIB
voila les 5 critere dun hadith sahih

le dernier de la chaine na pas vue le premier pour pouvoir dire si la chaine existe une personne peut dire que ca vient dun tel mais comme se un tel est mort on ne peut pas verifier
seul dieu peut juger les coeur et un menteur peut se faire passez pour une personne droite pour passe son hadith


une personne qui a une exelente memoir nest pas infaillible
la memoire et tres complexe et on a tendance de juger selon nos propre perception et souvent on est influencer par nous meme dans le fait de relater un fait


si un hadith est selectionner par rapport aux autre hadith sans tenir compte des autres critere c que les autres critere ne sont pas solider

en plus il se peut que la majoriter des hadith soit faux et que peut le petit hadith et dans le vraie donc le nombre ne determine pas la veriter


chose arbitral quest se qui est un defauts ????

Je ne vais meme pas refute vos betises sur cette science qui vous depasse.Sinon tu penses quoi de l'histoire des autres civilisations vu que c'est eux qui l'ont ecrite aussi?
Vous n'etes pas sans savoir que la véritable histoire est née chez les musulmans. Ce sont eux qui ont inventé l'histoire au sens moderne du terme. Mais votre ignorance de la culture islamique n'est, au final, due qu'à votre éducation sur la question.Vous ne savez même pas que ce sont eux qui ont été les précurseurs de cette méthode de critique de l'Histoire.

Les specialistes Bibliques regrettent tous de ne pas avoir la science precieuse des hadiths dont nous somme les seules a nous prevaloir.Je cite leur conclusion ci-dessous:

Ce sont des ajouts ultérieurs au texte biblique reconnus par les spécialistes de la Bible. Donc, même au sein de ce corpus de paroles dispersées qui serait l'évangile original dont il est question, nous nous frottons à un problème ardu. En effet, le Christianisme ne dispose pas de la science du Hadith comme en Islam, cette science qui permet d'identifier les sources fiables des non fiables ou mêmes des inventées. Les passages cités ci-dessus par exemple étant des ajouts, seraient considérés comme des paroles inventées (ahadith mawdou'a). C'est tout le texte biblique qui souffre de ce problème qui, si cette science précieuse aurait existé dans le Judaïsme et le Christianisme,cela aurait permit de ne pas s'égarer en mêlant l'ivraie aux champs de blé.

La critique des chaines de transmission, contrairement à ce que beaucoup penses, est une science de l'Histoire et non une science purement religieuse. Les musulmans ont développé cet outil pour critiquer leurs textes (on peut pas en dire autant des chrétiens et des israélites).
Des affirmations fondées sur le vent, des hypothèses et de la pure conjecture ne sont vouées qu'à l'échec le plus lamentable qui soit.Encore une fois on ne force personne a croire,mais que l'on vienne pas nous donner des lecons,sans preuves DONC sans hadiths.
 
Je ne vais meme pas refute vos betises sur cette science qui vous depasse.Sinon tu penses quoi de l'histoire des autres civilisations vu que c'est eux qui l'ont ecrite aussi?
Vous n'etes pas sans savoir que la véritable histoire est née chez les musulmans. Ce sont eux qui ont inventé l'histoire au sens moderne du terme. Mais votre ignorance de la culture islamique n'est, au final, due qu'à votre éducation sur la question.Vous ne savez même pas que ce sont eux qui ont été les précurseurs de cette méthode de critique de l'Histoire.

Les specialistes Bibliques regrettent tous de ne pas avoir la science precieuse des hadiths dont nous somme les seules a nous prevaloir.Je cite leur conclusion ci-dessous:

Ce sont des ajouts ultérieurs au texte biblique reconnus par les spécialistes de la Bible. Donc, même au sein de ce corpus de paroles dispersées qui serait l'évangile original dont il est question, nous nous frottons à un problème ardu. En effet, le Christianisme ne dispose pas de la science du Hadith comme en Islam, cette science qui permet d'identifier les sources fiables des non fiables ou mêmes des inventées. Les passages cités ci-dessus par exemple étant des ajouts, seraient considérés comme des paroles inventées (ahadith mawdou'a). C'est tout le texte biblique qui souffre de ce problème qui, si cette science précieuse aurait existé dans le Judaïsme et le Christianisme,cela aurait permit de ne pas s'égarer en mêlant l'ivraie aux champs de blé.

La critique des chaines de transmission, contrairement à ce que beaucoup penses, est une science de l'Histoire et non une science purement religieuse. Les musulmans ont développé cet outil pour critiquer leurs textes (on peut pas en dire autant des chrétiens et des israélites).
Des affirmations fondées sur le vent, des hypothèses et de la pure conjecture ne sont vouées qu'à l'échec le plus lamentable qui soit.Encore une fois on ne force personne a croire,mais que l'on vienne pas nous donner des lecons,sans preuves DONC sans hadiths.

la sciences des ont dit minteresse pas
ont peut rien verifier un tela dit qun tel a dit manger de la main droite et une religion et couper le pantalon au dessus des cheville pour pas allez en enfer

je te laisse avec cela
 

molimo666

Bladinaute averti
la sciences des ont dit minteresse pas
ont peut rien verifier un tela dit qun tel a dit manger de la main droite et une religion et couper le pantalon au dessus des cheville pour pas allez en enfer

je te laisse avec cela


il y a surtout un point qui me taraude dans cette pseudo science

c'est la contextualisation du hadith
 
oui c'est cela , drole de science n'empeche

à mon avis si ces hadiths n'etaient pas aussi choquant , nos amis les sunnites n'auraient pas sorti autant d'excuses , mais al hamdoulilah la solution est venu d'une video de daylimotion ....


cest claire je me rapplle de savant sunnite tres connu qui disait que il nyavait pas dage a se marriez mais pour la consomation fallait attendre les regle comme mentionnez dans les hadith
 
---> 3 sunnites qui ont lu le meme texte (hadith sahih) , mais apparement c'est une bendiction la divergence lol

tu veu parler des divergence des munkir e hadeeth, il n'y a que sa
un meme verset et autan de version differente que de personne presente, et en plus fier de leur divergence

donc si vous etes fier d'avoir des divergence , alors en faire une attaque au autre???

d'autre part , mr molimo qui ne connai rien de chez rien, le hadeeth sur l'age de aicha razi Allah anho, NEST PA UN HADEETH DU PROPHETE SALLALAHU ALAI HI WASALAM
 
tu veu parler des divergence des munkir e hadeeth, il n'y a que sa
un meme verset et autan de version differente que de personne presente, et en plus fier de leur divergence

donc si vous etes fier d'avoir des divergence , alors en faire une attaque au autre???

d'autre part , mr molimo qui ne connai rien de chez rien, le hadeeth sur l'age de aicha razi Allah anho, NEST PA UN HADEETH DU PROPHETE SALLALAHU ALAI HI WASALAM

aicha avait quelles age quand elle c mariez et apres quand elle a consmoer son mariage ???
 

molimo666

Bladinaute averti
tu veu parler des divergence des munkir e hadeeth, il n'y a que sa
un meme verset et autan de version differente que de personne presente, et en plus fier de leur divergence

donc si vous etes fier d'avoir des divergence , alors en faire une attaque au autre???

d'autre part , mr molimo qui ne connai rien de chez rien, le hadeeth sur l'age de aicha razi Allah anho, NEST PA UN HADEETH DU PROPHETE SALLALAHU ALAI HI WASALAM


j'ai jamais entendu un munkir e hadeeth dire qu'on pouvait marié un bébé de 1 ans ou plus


regardes bien de ton coté sa grouille de ce type de raisonnement lol
 
Haut