Said naciri traite loubna abidar (de "much loved") de femme de petite vertu !

Tout a fait d accord avec toi.
I'll doit etre banni comme bill Cosby l acteur Americain qui a drogue des femmes avant les molester.
Suite
Encore une fois, l’humoriste et piètre réalisateur Said Naciri n’est
pas allé de main morte pour régler des comptes personnels sur scène,
dans un langage vulgaire et ordurier, lui qui se permet ce qu’il
reproche à autrui en public.
Ce public de la ville d’Agadir qui, croyant aller passer de bons
moments en allant voir le spectacle de Naciri au festival du rire, en
s’en sorti révoltés par les propos qu’ils ont entendu de la part d’un
artiste qui ne s’embarrasse guère de politesse.
 
Pauvre Maroc .. C'est l'ère de la médiocrité et de la bassesse
Sinon c'est grâce à un public totalement mkallakh et abruti (une minorité heureusement), qui rit à l7mouda ou l'bsala comme un imbécile heureux, que des petits parvenus sans talent ni savoir-vivre, accèdent à la "célébrité"

Ce nullard de naciri n'est pas le seul dans ce cas.....malheureusement
 
Pauvre Maroc .. C'est l'ère de la médiocrité et de la bassesse

......................................Le temps de la médiocrité


Bienvenue au pays où des aveugles composent des couleurs pour les voyants
:

Il y a des valeurs, bonnes ou mauvaises, qui marquent leur temps, donnent à leur époque des lettres de noblesse ou les frappent du sceau de l’infamie et du déshonneur. Certaines périodes célèbrent l’héroïsme, la beauté ou l’intelligence, d’autres annoncent la lâcheté, la laideur et la bêtise. C’est pour cela que l’on qualifie certains temps par les qualités premières qui les marquent (décadence, renaissance, résistance, Nahda…). Au Maroc, la valeur majeure qui caractérise notre temps est la médiocrité. Notre époque baigne, transpire, dégage et produit la médiocrité. Si notre pays doit sombrer un jour ou s’effondrer, ce ne sera ni à cause de l’absence de démocratie, ni de la pauvreté, ni de l’insécurité, mais tout simplement à cause de la médiocrité. Elle est là, présente et dominante. Nous la croisons constamment : dans notre vie quotidienne, au bureau, dans nos échanges les plus banals, à la télé, au parlement, dans les livres. P-A-R-T-O-U-T. Elle nous assiège et plane au-dessus de nos têtes. Elle est le spectre qui hante notre existence dans ce pays. Elle nous pousse vers le bas, encore et encore.

Être médiocre, c’est accepter et se résigner à être moyen, un peu mieux que mauvais, en se situant dans une zone de confort, vivant à se complaire et satisfaits d’échapper au sort des plus mauvais. La médiocrité est cette renonciation à la lutte, à l’effort et au combat pour devenir meilleur. D’où notre joie et bonheur à célébrer les classements où on n’est ni parmi les cancres ni parmi les bons élèves. On place le juste milieu sur un piédestal, l’élevant au rang de principe sacré. Borgnes au pays des aveugles, ainsi souhaitons-nous vivre.

La médiocrité de notre époque est visible à tous les niveaux.
Elle est politique, avec une classe de dirigeants invertébrés et soumis, sans idées ni valeurs, dont la seule ligne de conduite est le populisme, préférant caresser les bas instincts des gens, au lieu de les hisser à d’autres niveaux. Elle est économique, culte de la rente et des prébendes, de l’argent facile issu de la spéculation et des connivences entre cercles de pouvoir, négation de l’effort, du risque et de l’intelligence créatrice qui sont à la base du capitalisme. Elle est culturelle et intellectuelle, dans un pays où des aveugles composent des couleurs pour des non-voyants, où des égos surdimensionnés ne produisent que laideur et bêtise. La médiocrité est sociale, règne du paraître et de l’insignifiance, où les individus oscillent dans leurs échanges entre le vide et le creux, et où la seule raison d’être et de vivre est de payer ses crédits d’appartement, de voiture et de vacances. La médiocrité au Maroc est contagieuse et virale. Elle se coopte et se reproduit à l’infini. Elle se complaît, se satisfait d’elle-même et s’autocongratule. La médiocrité est cet abîme qui nous absorbe tous, sans résistance ni espoir.

Extrait d'un éditorial de Abdellah Tourabi, directeur de la publication de TelQuel un homme extrêmement intelligent.
source
 
Pauvre Maroc .. C'est l'ère de la médiocrité et de la bassesse
Sinon c'est grâce à un public totalement mkallakh et abruti (une minorité heureusement), qui rit à l7mouda ou l'bsala comme un imbécile heureux, que des petits parvenus sans talent ni savoir-vivre, accèdent à la "célébrité"

Ce nullard de naciri n'est pas le seul dans ce cas.....malheureusement
T en fais pas Mon Frere LA culture marocaine b7al kenz khassek t9aleb 3lih comme ont fait les artistes marocains bel9ass et son theatre nass elghiwan Jill jilala lemshaheb arbi batma ahidouss rouisha najat atabou...et LA liste est longue.
CE naciri ma artiste ma walo dakhel jebha bdik lkemara dialo.
3andna saad lemjarred ou tandwiw 3la had l9ard.
 
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