Sans sanctions contre Israël, le ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas démissionne

Sans sanctions contre Israël, le ministre des Affaires étrangères des Pays-Bas démissionne

Le ministre néerlandais des Affaires étrangères (NSC) a annoncé vendredi démissionner à la suite d'un conseil des ministres.

M. Veldkamp a expliqué quitter le gouvernement, après le refus de certains membres de prendre de nouvelles mesures pour sanctionner Israël.

Le chef de la diplomatie a exposé avoir senti au sein du gouvernement "une résistance" à la prise de sanctions à l'encontre d'Israël. "Je constate que je ne peux pas prendre de mesures supplémentaires suffisamment significatives" pour accentuer la pression sur l'État hébreu, a-t-il expliqué.

Il a confié se sentir limité dans sa capacité "à mener sa politique et à tracer la voie que je juge nécessaire". "Je rentre chez moi et je vais écrire ma lettre de démission", a-t-il déclaré à la sortie du conseil des ministres, selon des propos rapportés par le média officiel NOS.

Caspar Veldkamp avait plaidé jeudi au parlement pour la prise de nouvelles mesures contre Israël, en réponse à la violence déployée à Gaza et à la crise humanitaire qui y sévit, ainsi qu'à la politique de colonisation de la Cisjordanie.

Il a notamment proposé un boycott des produits fabriqués dans les colonies illégales. Cependant, au cours du débat, il est devenu clair que d'autres partis de la majorité - le VVD et la BBB - ne partageaient pas son point de vue.

La Chambre des représentants néerlandaise devait se réunir à nouveau vendredi après-midi après le conseil des ministres, pour un débat sur Gaza. Celui-ci n'avait néanmoins pas encore commencé à 20h00 vendredi soir, le conseil des ministres ayant joué les prolongations.

De nouvelles élections sont prévues le 29 octobre

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Le parti de centre-droite du Nouveau contrat social (NSC) auquel appartient M. Veldkamp s'est retiré de la coalition après la démission du ministre, ajoutant au tumulte politique que traverse les Pays-Bas.

Le 3 juin, le dirigeant d'extrême droite Geert Wilders, a en effet provoqué la chute du gouvernement, en retirant son parti d'extrême droite de la fragile coalition sur fond de désaccord sur l'immigration. Des élections auront lieu le 29 octobre.

Le Premier ministre, Dick Schoof, a déclaré vendredi soir devant le Parlement respecter, mais regretter les démissions de M. Veldkamp et du NSC, « surtout au vu de la responsabilité qui incombe au gouvernement dans cette phase de démission ».

« Je tiens à souligner que la situation qui ne cesse de se détériorer à Gaza est dramatique, tout le monde en est conscient », a ajouté M. Schoof.

Le gouvernement néerlandais est depuis des mois sous la pression d'une vague de protestations contre la campagne militaire d'Israël à Gaza et ce que les manifestants qualifient d'inaction des Pays-Bas.

Deux manifestations ont notamment rassemblé cet été de 100.000 à 150.000 personnes à La Haye, soit les plus importantes aux Pays-Bas depuis deux décennies.

Les manifestants exigeaient entre autres des sanctions contre Israël et l'accès humanitaire pour les civils à Gaza.

« Nous voyons tous l'énorme souffrance et souhaitons tous que la situation s'améliore, hier plutôt qu'aujourd'hui », a conclu le premier ministre.
 
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Pendant que les gouvernements libéraux français, allemand, britannique, etc., épargnaient M. Benyamin Netanyahou, lui courtisait l’extrême droite européenne et confortait le caractère ethnonational de son État. Mais chacun ou presque regardait ailleurs.

La plupart des démocraties libérales, leur presse et leurs intellectuels de service « oubliaient » d’inclure le chef du Likoud dans l’« internationale réactionnaire » qu’ils prétendaient combattre.


Une petite décennie plus tard, nul ne peut plus plaider la négligence : la politique israélienne tient lieu d’éléphant dans le couloir des normes internationales.

M. Netanyahou, qui gouverne en coalition avec des suprémacistes n’ayant rien à envier au Ku Klux Klan américain d’antan, a envahi le Liban et la Syrie, bombardé l’Iran et le Yémen, rasé Gaza – exterminant une partie de sa population et affamant l’autre –, relancé la colonisation en Cisjordanie, affermi un régime d’apartheid en Israël.

Depuis novembre dernier, il fait également l’objet d’un mandat d’arrêt international pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.


Imaginons la réaction des puissances occidentales si le territoire israélien avait été envahi depuis près de deux ans et que, chaque jour, plusieurs dizaines de civils de ce pays étaient assassinés par une armée d’occupation arabe.

MONDE DIPLO


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Cet État ne peut plus continuer à vivre au dessus du droit international.

Il faut bien sûr reconnaître la Palestine, mais également sanctionner et boycotter Israël.

Le "droit à se défendre", revendiqué haut et fort après le 7/10/2023, ce n'est pas un blanc-seing destiné à commettre un génocide...
 
Cet État ne peut plus continuer à vivre au dessus du droit international.

Il faut bien sûr reconnaître la Palestine, mais également sanctionner et boycotter Israël.

Le "droit à se défendre", revendiqué haut et fort après le 7/10/2023, ce n'est pas un blanc-seing destiné à commettre un génocide...
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La perfide Albion britannique est responsable à 100% de ce drame d'un siècle.

L'antisémite Balfour avait décrété sa loi anti immigration et à préféré aiguiller les juifs qui fuyaient les pogroms russes vers la terre

des indigènes en Palestine qui étaient déjà sous le joug britannique.

La G.B n'a pas fait cela pour les juifs en eux-mêmes...les arrières pensées stratégiques étaient la première des motivations pour protéger la route des Indes et le M.O. gorgé de pétrole pour lequel ils ont gazé les arabes et les kurdes quand Churchill était ministre des colonies.

Quant aux bolchéviques ils ont armé les sionistes pour em.merder les britanniques afin qu'ils partent et laissent la voie libre.

Et tout ce mic mac donne le drame colonial d'aujourd'hui.

Si les sionistes n'étaient venus avec l'idée de remplacer les indigènes...la région aurait été un lieu de symbiose.

Evidemment les juifs autochtones de 1880 sont chez eux...cela va de soi. Et les palestiniens sont les descendants d'Hébreux convertis

soit au christianisme soit à l'islam. Donc les suprémacistes tuent en quelque sorte les descendants des vrais Hébreux.

C'est l'impérialisme britannique et les manigances de Staline...le génocidaire professionnel...qui ont crée ce drame.


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L’ancien chef des services de renseignement israéliens qualifie de “nécessaire” le meurtre de 50.000 Palestiniens, “y compris les enfants”​

Aharon Haliva, ancien chef des renseignements militaires israéliens, a déclaré dans un enregistrement audio ayant fuité que pour chaque victime du 7 octobre 2023, cinquante Palestiniens devaient mourir, “même s’il s’agissait d’enfants”.

Il a qualifié le bilan des morts à Gaza, qui, selon lui, dépassait les 50 000, de “nécessaire” pour transmettre un message aux générations futures.

Selon un sondage de mai de l’université américaine Penn State, 82 % des juifs israéliens soutiendraient l’expulsion des Palestiniens de Gaza.​


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La perfide Albion britannique est responsable à 100% de ce drame d'un siècle.

L'antisémite Balfour avait décrété sa loi anti immigration et à préféré aiguiller les juifs qui fuyaient les pogroms russes vers la terre

des indigènes en Palestine qui étaient déjà sous le joug britannique.

La G.B n'a pas fait cela pour les juifs en eux-mêmes...les arrières pensées stratégiques étaient la première des motivations pour protéger la route des Indes et le M.O. gorgé de pétrole pour lequel ils ont gazé les arabes et les kurdes quand Churchill était ministre des colonies.

Ce n'est pas si simple : le mouvement sioniste était déjà largement en marche du temps de l'Empire Ottoman.
 
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L’ancien chef des services de renseignement israéliens qualifie de “nécessaire” le meurtre de 50.000 Palestiniens, “y compris les enfants”​

Aharon Haliva, ancien chef des renseignements militaires israéliens, a déclaré dans un enregistrement audio ayant fuité que pour chaque victime du 7 octobre 2023, cinquante Palestiniens devaient mourir, “même s’il s’agissait d’enfants”.

Il a qualifié le bilan des morts à Gaza, qui, selon lui, dépassait les 50 000, de “nécessaire” pour transmettre un message aux générations futures.

Selon un sondage de mai de l’université américaine Penn State, 82 % des juifs israéliens soutiendraient l’expulsion des Palestiniens de Gaza.​


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Le fils spirituel de madeleine albright quant à sa citation sur le demi-millions d'enfants irakiens morts
 
Le fils spirituel de madeleine albright quant à sa citation sur le demi-millions d'enfants irakiens morts
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Aux derniers chiffres ce sont 700.000 enfants de moins de 5 ans morts des suites des sanctions US ( vu que ce sont les USA qui imposent quelles résolutions doivent être appliquées pour leur impérialisme et quelles résolutions ne doivent pas être appliquées depuis 1949 pour réintégrer un peuple occupé dans ses droits et qui ont conduit au génocide actuel).


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Le Grand Chirac ( RIP ) n’a jamais parlé en défaveur du Maroc , De villeppin si … L’argent du Qatar peut-être 🇶🇦 🇶🇦

Natif de la capitale du Royaume, le très récent fondateur du mouvement « La France Humaniste » a gardé du Maroc une empreinte sensible, une géographie intérieure. Il n’en a jamais fait étalage en public, car il est justement un homme public au service de la France.

Une position qui impose la plus grande des retenues. Et pourtant, chaque fois qu’il évoque le Royaume, ses mots sonnent comme un hommage plus empreint de pudeur que de prudence.

Le 25 septembre 2005, à Fès, alors qu’il était Premier ministre, il lançait, presque comme une évidence : « La France est l’avocat le plus ardent du Maroc au sein de l’Union européenne. »

Deux jours plus tard, à Oujda : « La relation avec le Maroc est d’exception… nous voulons aller plus loin. » Quelques semaines plus tard, à Rabat, lors du 50ᵉ anniversaire de l’indépendance, il précisait : « Nous avons avec le Maroc un partenariat exemplaire… fruit d’une longue histoire… sans aucune amertume. »

C’est dans ce lexique-là que Villepin parle du Maroc. Un discours décent sans grandiloquence ni flagornerie. Il incarne cette école gaullienne – qu’on peut rebaptiser chiraquienne- qui regarde les pays amis non comme des prolongements de puissance, mais comme des alliés souverains.

En septembre 2023, invité sur France 2 après le séisme d’Al Haouz, Villepin ne cache pas son émotion : « C’est un pays exceptionnel, un pays béni… personne ne sort indemne de l’expérience marocaine. »

On pourrait croire à un élan passager. Mais chez lui, la constance est une éthique de vie. Villepin n’est pas homme de revirements.

Il pense dans le temps long. Il consigne, il se souvient.
Si, par quelque sursaut de l’Histoire, Dominique de Villepin redevenait un acteur central de la politique française — voire président —, le Maroc n’aurait pas à s’en inquiéter. Il y gagnerait, au contraire, un interlocuteur rare : cultivé, respectueux, profondément gaullien dans son approche de la souveraineté.

Villepin n’est pas de ceux qui distribuent les leçons. Il préfère les dialogues d’égal à égal, les partenariats exigeants, les silences habités de sens.
Sur le dossier du Sahara, il n’a jamais fait de bruit. Il ne s’est jamais exprimé de manière flamboyante. Mais il a compris, depuis longtemps, que la stabilité régionale passe par des solutions réalistes, et non par des utopies figées.

Ceux qui l’ont lu, entendu, approché, savent où penche sa raison. Il sait que, lorsqu’il est question de souveraineté, les causes justes s’imposent non par l’éclat de leur défense, mais par la logique de l’Histoire. Et l’Histoire, dans cette affaire, parle marocain.

Villepin regarde le Maroc avec les yeux d’un homme de lettres autant que d’un stratège. Il y voit une exception : un pays qui n’a jamais cessé d’être lui-même, tout en épousant les métamorphoses du monde. Un royaume enraciné, et pourtant en mouvement. Et cela, pour un homme qui n’a jamais cru aux modèles imposés mais aux équilibres pensés, vaut promesse de respect. De ce respect qui ne s’achète pas, qui ne s’ordonne pas, qui se devine dans les non-dits d’un diplomate devenu poète.

Digne héritier de Lamartine et de Chateaubriand, l’homme qui incarne une forme d’éthique politique que l’on croyait définitivement ensevelie sous les décombres d’une Histoire implacable envers les justes, n’a pas besoin de gestes ostentatoires pour témoigner son respect.

Il continue d’incarner une certaine idée de la France, celle qui regarde le Maroc non comme une ancienne colonie, ni même comme un simple partenaire commercial, mais comme un pays frère, capable de parler le même langage sans renoncer à sa singularité.

Il y a, dans sa posture, quelque chose de rare : une élégance d’antan dans un monde pressé, une fidélité discrète dans une époque bruyante. Le Maroc, s’il devait choisir ses alliés dans la France de demain, pourrait sans doute compter sur Villepin. Pas pour les effets d’annonce. Mais pour ce qu’il est : un homme de parole.

MAROC HEBDO

 
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Aux derniers chiffres ce sont 700.000 enfants de moins de 5 ans morts des suites des sanctions US ( vu que ce sont les USA qui imposent quelles résolutions doivent être appliquées pour leur impérialisme et quelles résolutions ne doivent pas être appliquées depuis 1949 pour réintégrer un peuple occupé dans ses droits et qui ont conduit au génocide actuel).


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Le colonialisme américain à provoqué la mort de plus de 700000 enfants irakiens (selon tes sources). Quelqu'un a-t-il été puni ou sanctionné? Hormis le peuple irakien
 
Le colonialisme américain à provoqué la mort de plus de 700000 enfants irakiens (selon tes sources). Quelqu'un a-t-il été puni ou sanctionné? Hormis le peuple irakien

C pour cela que je parle de la loi de la jungle.

Le plus fort impose ses lois.

Au moins l'homme de la prehistoire qui venait

t'assommer pour te prendre ton morceau de

mammouth ne donnait pas de leçons sur

les droits humains sélectivement.

Il assumait qu'il était l'aggresseur et ne se

cachait derrière son doigt avec de faux motifs.

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« Nous avons entendu dire qu’un demi-million d’enfants [irakiens] sont morts. Je veux dire, c’est plus d’enfants que de morts à Hiroshima », a dit Stahl, « Et, vous savez, est-ce que le prix en vaut la peine ?
“Je pense que c’est un choix très difficile”, a répondu Albright, “mais le prix, nous pensons, le prix en vaut la peine.”

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Natif de la capitale du Royaume, le très récent fondateur du mouvement « La France Humaniste » a gardé du Maroc une empreinte sensible, une géographie intérieure. Il n’en a jamais fait étalage en public, car il est justement un homme public au service de la France.

Une position qui impose la plus grande des retenues. Et pourtant, chaque fois qu’il évoque le Royaume, ses mots sonnent comme un hommage plus empreint de pudeur que de prudence.

Le 25 septembre 2005, à Fès, alors qu’il était Premier ministre, il lançait, presque comme une évidence : « La France est l’avocat le plus ardent du Maroc au sein de l’Union européenne. »

Deux jours plus tard, à Oujda : « La relation avec le Maroc est d’exception… nous voulons aller plus loin. » Quelques semaines plus tard, à Rabat, lors du 50ᵉ anniversaire de l’indépendance, il précisait : « Nous avons avec le Maroc un partenariat exemplaire… fruit d’une longue histoire… sans aucune amertume. »

C’est dans ce lexique-là que Villepin parle du Maroc. Un discours décent sans grandiloquence ni flagornerie. Il incarne cette école gaullienne – qu’on peut rebaptiser chiraquienne- qui regarde les pays amis non comme des prolongements de puissance, mais comme des alliés souverains.

En septembre 2023, invité sur France 2 après le séisme d’Al Haouz, Villepin ne cache pas son émotion : « C’est un pays exceptionnel, un pays béni… personne ne sort indemne de l’expérience marocaine. »

On pourrait croire à un élan passager. Mais chez lui, la constance est une éthique de vie. Villepin n’est pas homme de revirements.

Il pense dans le temps long. Il consigne, il se souvient.
Si, par quelque sursaut de l’Histoire, Dominique de Villepin redevenait un acteur central de la politique française — voire président —, le Maroc n’aurait pas à s’en inquiéter. Il y gagnerait, au contraire, un interlocuteur rare : cultivé, respectueux, profondément gaullien dans son approche de la souveraineté.

Villepin n’est pas de ceux qui distribuent les leçons. Il préfère les dialogues d’égal à égal, les partenariats exigeants, les silences habités de sens.
Sur le dossier du Sahara, il n’a jamais fait de bruit. Il ne s’est jamais exprimé de manière flamboyante. Mais il a compris, depuis longtemps, que la stabilité régionale passe par des solutions réalistes, et non par des utopies figées.

Ceux qui l’ont lu, entendu, approché, savent où penche sa raison. Il sait que, lorsqu’il est question de souveraineté, les causes justes s’imposent non par l’éclat de leur défense, mais par la logique de l’Histoire. Et l’Histoire, dans cette affaire, parle marocain.

Villepin regarde le Maroc avec les yeux d’un homme de lettres autant que d’un stratège. Il y voit une exception : un pays qui n’a jamais cessé d’être lui-même, tout en épousant les métamorphoses du monde. Un royaume enraciné, et pourtant en mouvement. Et cela, pour un homme qui n’a jamais cru aux modèles imposés mais aux équilibres pensés, vaut promesse de respect. De ce respect qui ne s’achète pas, qui ne s’ordonne pas, qui se devine dans les non-dits d’un diplomate devenu poète.

Digne héritier de Lamartine et de Chateaubriand, l’homme qui incarne une forme d’éthique politique que l’on croyait définitivement ensevelie sous les décombres d’une Histoire implacable envers les justes, n’a pas besoin de gestes ostentatoires pour témoigner son respect.

Il continue d’incarner une certaine idée de la France, celle qui regarde le Maroc non comme une ancienne colonie, ni même comme un simple partenaire commercial, mais comme un pays frère, capable de parler le même langage sans renoncer à sa singularité.

Il y a, dans sa posture, quelque chose de rare : une élégance d’antan dans un monde pressé, une fidélité discrète dans une époque bruyante. Le Maroc, s’il devait choisir ses alliés dans la France de demain, pourrait sans doute compter sur Villepin. Pas pour les effets d’annonce. Mais pour ce qu’il est : un homme de parole.

MAROC HEBDO

Que c’est beau, en substance… mais toi qu’en dis tu
 
Que c’est beau, en substance… mais toi qu’en dis tu

Je n'en dis rien vu que jusqu'à présent perso je ne l'ai pas entendu dire qlq chose hostile contre le Maroc.

Maroc Hebdo n'a pas l'air de traiter De Villepin comme hostile au Maroc non plus.

Tu sembles être d'un autre avis.

Tu as des infos qui te donnent cette impression ?

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Je n'en dis rien vu que jusqu'à présent perso je ne l'ai pas entendu dire qlq chose hostile contre le Maroc.

Maroc Hebdo n'a pas l'air de traiter De Villepin comme hostile au Maroc non plus.

Tu sembles être d'un autre avis.

Tu as des infos qui te donnent cette impression ?
En même temps, connais tu des politiques hostiles au maroc?
 
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