LUMT, qui fait cavalier seul, appelle de nouveau à la grève dans le secteur de la Santé. La centrale syndicale mobilise ses troupes dans les différentes villes pour une participation massive les 7 et 8 décembre. Lappel sera-t-il suivi ?
Un nouveau mouvement de grève est annoncé dans la Santé. Lappel a été lancé par la Fédération nationale de la santé affiliée à lUMT (Union marocaine du travail), qui décrète les 7 et 8 décembre prochain, deux jours de débrayage dans tous les établissements sanitaires publics, CHU et centres de santé dans les différentes régions du pays. La centrale syndicale mobilise ses troupes dans les différentes régions du pays pour une participation massive. La centrale de Miloudi Moukharik fait cavalier seul. Aucune autre centrale syndicale ne participe à ce mouvement de protestation.
Dans un communiqué, lUMT déplore la situation sociale, financière et professionnelle du personnel de la Santé. Elle dénonce également les conditions de travail des fonctionnaires, jugées « inacceptables », et critique la « mauvaise » gestion du secteur. La centrale syndicale de Moukharik, qui revendique entre autres « lamélioration de la situation du personnel » et « le respect de la liberté syndicale », pointe du doigt laccord conclu entre les autres centrales syndicales et le gouvernement, qui, selon elle, est « une pure mascarade ».
http://www.lesoir-echos.com/sante-un-nouvel-appel-a-la-greve/societe/35697/
Un nouveau mouvement de grève est annoncé dans la Santé. Lappel a été lancé par la Fédération nationale de la santé affiliée à lUMT (Union marocaine du travail), qui décrète les 7 et 8 décembre prochain, deux jours de débrayage dans tous les établissements sanitaires publics, CHU et centres de santé dans les différentes régions du pays. La centrale syndicale mobilise ses troupes dans les différentes régions du pays pour une participation massive. La centrale de Miloudi Moukharik fait cavalier seul. Aucune autre centrale syndicale ne participe à ce mouvement de protestation.
Dans un communiqué, lUMT déplore la situation sociale, financière et professionnelle du personnel de la Santé. Elle dénonce également les conditions de travail des fonctionnaires, jugées « inacceptables », et critique la « mauvaise » gestion du secteur. La centrale syndicale de Moukharik, qui revendique entre autres « lamélioration de la situation du personnel » et « le respect de la liberté syndicale », pointe du doigt laccord conclu entre les autres centrales syndicales et le gouvernement, qui, selon elle, est « une pure mascarade ».
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