Seine-Saint-Denis : six policiers en garde à vue après une interpellation violente en août

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Les six policiers de Seine-Saint-Denis placés en garde à vue ce mardi dans les locaux de l'IGPN sont accusés d'être impliqués dans l'interpellation violente d'un jeune homme début août à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), indique le parquet de Bobigny.

Sur des images, captées par la vidéosurveillance et une vidéo amateur, largement relayées sur les réseaux sociaux, on apercevait un policier de la compagnie de sécurisation et d'intervention de Seine-Saint-Denis (CSI), en civil, asséner plusieurs coups au visage d'un jeune homme. Ce dernier, âgé de 20 ans, s'était vu prescrire trois jours d'ITT (incapacité totale de travail) et avait déposé plainte.

  • Saint-Ouen : l’homme violemment interpellé par la police dépose plainte pour actes de torture et de barbarie
    <img class="img-responsive" src="https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/sites/regions_france3/files/styles/block_medium/public/assets/images/2019/08/14/maxstockworld292786-4380392.jpg?itok=8VDqCxXQ" alt="Saint-Ouen : l’homme violemment interpellé par la police dépose plainte pour actes de torture et de barbarie" />
    Saint-Ouen : l’homme violemment interpellé par la police dépose plainte pour actes de torture et de barbarie

Le parquet de Bobigny avait saisi l'IGPN, l'Inspection générale de la police nationale, d'une enquête pour violences par personne dépositaire de l'autorité publique. Les fonctionnaires sont également soupçonnés de "faux en écriture publique" et vol, a précisé cette même source.
Deuxième enquête
Certains des policiers soupçonnés dans cette affaire sont par ailleurs visés par une deuxième enquête, pour des faits qui se seraient déroulés le même jour, également à Saint-Ouen. Dans cette affaire, "deux témoins indiquent que des policiers de la Compagnie de sécurisation et d'intervention (CSI) 93 ont amené deux jeunes dans un hall pour les frapper", avait confié à l'AFP une source proche de l'enquête.
 
Les six policiers de Seine-Saint-Denis placés en garde à vue ce mardi dans les locaux de l'IGPN sont accusés d'être impliqués dans l'interpellation violente d'un jeune homme début août à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), indique le parquet de Bobigny.

Sur des images, captées par la vidéosurveillance et une vidéo amateur, largement relayées sur les réseaux sociaux, on apercevait un policier de la compagnie de sécurisation et d'intervention de Seine-Saint-Denis (CSI), en civil, asséner plusieurs coups au visage d'un jeune homme. Ce dernier, âgé de 20 ans, s'était vu prescrire trois jours d'ITT (incapacité totale de travail) et avait déposé plainte.

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    <img class="img-responsive" src="https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/sites/regions_france3/files/styles/block_medium/public/assets/images/2019/08/14/maxstockworld292786-4380392.jpg?itok=8VDqCxXQ" alt="Saint-Ouen : l’homme violemment interpellé par la police dépose plainte pour actes de torture et de barbarie" />
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Le parquet de Bobigny avait saisi l'IGPN, l'Inspection générale de la police nationale, d'une enquête pour violences par personne dépositaire de l'autorité publique. Les fonctionnaires sont également soupçonnés de "faux en écriture publique" et vol, a précisé cette même source.
Deuxième enquête
Certains des policiers soupçonnés dans cette affaire sont par ailleurs visés par une deuxième enquête, pour des faits qui se seraient déroulés le même jour, également à Saint-Ouen. Dans cette affaire, "deux témoins indiquent que des policiers de la Compagnie de sécurisation et d'intervention (CSI) 93 ont amené deux jeunes dans un hall pour les frapper", avait confié à l'AFP une source proche de l'enquête.
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