Séquestrée, brûlée, violée pour une rivalité amoureuse

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nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Une femme de 35 ans issue d'un milieu défavorisé a subi début août un véritable calvaire dans un pavillon près de Bourges : séquestrée par sept amis voire parents, dont trois adolescents de 14 et 16 ans, elle a été frappée, brûlée à la cigarette et violée pour une banale rivalité amoureuse. Retenue dans une pièce d'un pavillon modeste de Saint-Doulchard, une bourgade plutôt huppée de la banlieue de Bourges, entre fin juillet et le 11 août, cette Berruyère présentée comme limitée intellectuellement, a enduré diverses violences de la part de ses tortionnaires présumés, a précisé hier le procureur de Bourges Vincent Bonnefoy. Sur son corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de brûlures de cigarettes et plusieurs tatouages « insultants » - comme un sexe d'homme - tracés avec une simple aiguille et de l'encre. Ligotée à plusieurs reprises, elle a été frappée et violée par deux hommes, selon les premiers éléments de l'enquête.

À l'origine de ce calvaire, peut-être une simple histoire de vengeance amoureuse : une amie de la victime lui aurait reproché une liaison supposée avec son petit ami. Elle l'aurait emmenée, sans doute de force, dans ce pavillon.
Samedi, les sept hommes et femmes âgés de 14 à 33 ans ont été mis en examen : certains pour violences volontaires aggravées, d'autres pour séquestration avec actes de tortures et barbarie, et deux hommes pour viol, selon le procureur. Cinq d'entre eux ont été placés en détention provisoire et deux mineurs en centre éducatif fermé. Ils reconnaissent une partie des faits mais nient la séquestration


La depêche
 
Une femme de 35 ans issue d'un milieu défavorisé a subi début août un véritable calvaire dans un pavillon près de Bourges : séquestrée par sept amis voire parents, dont trois adolescents de 14 et 16 ans, elle a été frappée, brûlée à la cigarette et violée pour une banale rivalité amoureuse. Retenue dans une pièce d'un pavillon modeste de Saint-Doulchard, une bourgade plutôt huppée de la banlieue de Bourges, entre fin juillet et le 11 août, cette Berruyère présentée comme limitée intellectuellement, a enduré diverses violences de la part de ses tortionnaires présumés, a précisé hier le procureur de Bourges Vincent Bonnefoy. Sur son corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de brûlures de cigarettes et plusieurs tatouages « insultants » - comme un sexe d'homme - tracés avec une simple aiguille et de l'encre. Ligotée à plusieurs reprises, elle a été frappée et violée par deux hommes, selon les premiers éléments de l'enquête.

À l'origine de ce calvaire, peut-être une simple histoire de vengeance amoureuse : une amie de la victime lui aurait reproché une liaison supposée avec son petit ami. Elle l'aurait emmenée, sans doute de force, dans ce pavillon.
Samedi, les sept hommes et femmes âgés de 14 à 33 ans ont été mis en examen : certains pour violences volontaires aggravées, d'autres pour séquestration avec actes de tortures et barbarie, et deux hommes pour viol, selon le procureur. Cinq d'entre eux ont été placés en détention provisoire et deux mineurs en centre éducatif fermé. Ils reconnaissent une partie des faits mais nient la séquestration


La depêche

Pitoyable... Les nouvelles du matin sont à vomir...
 
Une femme de 35 ans issue d'un milieu défavorisé a subi début août un véritable calvaire dans un pavillon près de Bourges : séquestrée par sept amis voire parents, dont trois adolescents de 14 et 16 ans, elle a été frappée, brûlée à la cigarette et violée pour une banale rivalité amoureuse. Retenue dans une pièce d'un pavillon modeste de Saint-Doulchard, une bourgade plutôt huppée de la banlieue de Bourges, entre fin juillet et le 11 août, cette Berruyère présentée comme limitée intellectuellement, a enduré diverses violences de la part de ses tortionnaires présumés, a précisé hier le procureur de Bourges Vincent Bonnefoy. Sur son corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de brûlures de cigarettes et plusieurs tatouages « insultants » - comme un sexe d'homme - tracés avec une simple aiguille et de l'encre. Ligotée à plusieurs reprises, elle a été frappée et violée par deux hommes, selon les premiers éléments de l'enquête.

À l'origine de ce calvaire, peut-être une simple histoire de vengeance amoureuse : une amie de la victime lui aurait reproché une liaison supposée avec son petit ami. Elle l'aurait emmenée, sans doute de force, dans ce pavillon.
Samedi, les sept hommes et femmes âgés de 14 à 33 ans ont été mis en examen : certains pour violences volontaires aggravées, d'autres pour séquestration avec actes de tortures et barbarie, et deux hommes pour viol, selon le procureur. Cinq d'entre eux ont été placés en détention provisoire et deux mineurs en centre éducatif fermé. Ils reconnaissent une partie des faits mais nient la séquestration


La depêche
Un des agresseurs avait 14 ans ! :eek:
 
14 ans...
c'est vraiment halucinant!

pas un jour où on ouvre le journal, ou on regarde les infos à la TV sans une découverte macabre, des viols à tout va, des disparitions et meurtres !

Allah i ster
 

Diamonta

Etre une nouvelle fois maman quelle joie !!!
Une femme de 35 ans issue d'un milieu défavorisé a subi début août un véritable calvaire dans un pavillon près de Bourges : séquestrée par sept amis voire parents, dont trois adolescents de 14 et 16 ans, elle a été frappée, brûlée à la cigarette et violée pour une banale rivalité amoureuse. Retenue dans une pièce d'un pavillon modeste de Saint-Doulchard, une bourgade plutôt huppée de la banlieue de Bourges, entre fin juillet et le 11 août, cette Berruyère présentée comme limitée intellectuellement, a enduré diverses violences de la part de ses tortionnaires présumés, a précisé hier le procureur de Bourges Vincent Bonnefoy. Sur son corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de brûlures de cigarettes et plusieurs tatouages « insultants » - comme un sexe d'homme - tracés avec une simple aiguille et de l'encre. Ligotée à plusieurs reprises, elle a été frappée et violée par deux hommes, selon les premiers éléments de l'enquête.

À l'origine de ce calvaire, peut-être une simple histoire de vengeance amoureuse : une amie de la victime lui aurait reproché une liaison supposée avec son petit ami. Elle l'aurait emmenée, sans doute de force, dans ce pavillon.
Samedi, les sept hommes et femmes âgés de 14 à 33 ans ont été mis en examen : certains pour violences volontaires aggravées, d'autres pour séquestration avec actes de tortures et barbarie, et deux hommes pour viol, selon le procureur. Cinq d'entre eux ont été placés en détention provisoire et deux mineurs en centre éducatif fermé. Ils reconnaissent une partie des faits mais nient la séquestration


La depêche

C'est vraiment horrible !!!
Ses "supplices" me rappelle une histoire que j'ai vu y a environ 10 jours sur une chaîne où les enquéteurs retracés plusieurs histoires de femmes et famille très violente (mais je ne sais plus quelle était l'émission)... les supplices d'une des affaires étaient exactement les mêmes que cette affaire que tu cites !!!
Ce genre d'affaires en inspirent d'autres... malheureusement :(
 
Une femme de 35 ans a subi début août un véritable calvaire dans un pavillon près de Bourges : séquestrée par sept amis voire parents, dont trois adolescents de 14 et 16 ans, elle a été frappée, brûlée à la cigarette et violée pour une banale rivalité amoureuse. Retenue dans une pièce d'un pavillon de Saint-Doulchard, une bourgade de la banlieue de Bourges, entre fin juillet et le 11 août, cette Berruyère a enduré diverses violences de la part de ses tortionnaires présumés, a précisé hier le procureur de Bourges Vincent Bonnefoy. Sur son corps, les enquêteurs ont retrouvé des traces de brûlures de cigarettes et plusieurs tatouages « insultants » - comme un sexe d'homme - tracés avec une simple aiguille et de l'encre. Ligotée à plusieurs reprises, elle a été frappée et violée par deux hommes, selon les premiers éléments de l'enquête.

À l'origine de ce calvaire, peut-être une simple histoire de vengeance amoureuse : une amie de la victime lui aurait reproché une liaison supposée avec son petit ami. Elle l'aurait emmenée, sans doute de force, dans ce pavillon.
Samedi, les sept hommes et femmes âgés de 14 à 33 ans ont été mis en examen : certains pour violences volontaires aggravées, d'autres pour séquestration avec actes de tortures et barbarie, et deux hommes pour viol, selon le procureur. Cinq d'entre eux ont été placés en détention provisoire et deux mineurs en centre éducatif fermé. Ils reconnaissent une partie des faits mais nient la séquestration
La depêche


"mais nient la séquestration" Elle est restée 15 jours ds le pavillons de son plein gré ?
 
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