On les croyait « frères » musulmans, pourtant les relations entre les ministres Lahbib Choubani et El Mostafa Ramid, qui sont pourtant membres du même parti, le PJD, ne seraient pas au beau fixe.
Depuis que la liaison extra-matrimoniale entre le bel Choubani et sa collègue et dulcinée Soumia Benkhaldoun fait partie du domaine public, le ministre chargé des Relations avec le parlement et la société civile accuse le ministre de la justice et des prétendues libertés d’avoir fait monter la sauce dans la presse amie pour le nuire.
Choubani s’en prend de manière véhémente depuis plusieurs jours au quotidien Akhbar Al Yaoum, dont le directeur Taoufik Bouachrine est un proche de Ramid. « Bouachrine n’aurait jamais osé publié une affaire de cette nature sans en avoir référé auparavant à Ramid », explique Choubani à ses amis.
Choubani justifie ces critiques par le fait qu’il n’y a pas eu « un seul » article publié par Akhbar Al Yaoum, mais « plusieurs », tous à charge contre l’intéressé.
L’étalon islamiste, à qui Benkirane a interdit de trop s’approcher de Benkhaldoun dans les édifices des administrations publiques, taxe le journal de Bouachrine de « manque de déontologie » sur sa page Facebook.
Il aurait dû y penser avant de commencer à flirter avec sa collègue. Surtout lui, qui a expulsé l’année dernière du parlement la journaliste Khadija Rahhali pour sa tenue vestimentaire jugée « inappropriée pour l’institution ».
Mais il est vrai que Ramid n’est pas non plus un parangon de vertu. La presse internationale rappelle qu’il est également bigame dans un pays où « seulement 0,26% des mariages sont à caractère polygame ».
Et cette presse internationale, sûrement par pudeur, une vertu pourtant arocaine, ne dit pas tout.
Sexe au gouvernement islamo-chérifien : Choubani accuse Ramid | Demain
Depuis que la liaison extra-matrimoniale entre le bel Choubani et sa collègue et dulcinée Soumia Benkhaldoun fait partie du domaine public, le ministre chargé des Relations avec le parlement et la société civile accuse le ministre de la justice et des prétendues libertés d’avoir fait monter la sauce dans la presse amie pour le nuire.
Choubani s’en prend de manière véhémente depuis plusieurs jours au quotidien Akhbar Al Yaoum, dont le directeur Taoufik Bouachrine est un proche de Ramid. « Bouachrine n’aurait jamais osé publié une affaire de cette nature sans en avoir référé auparavant à Ramid », explique Choubani à ses amis.
Choubani justifie ces critiques par le fait qu’il n’y a pas eu « un seul » article publié par Akhbar Al Yaoum, mais « plusieurs », tous à charge contre l’intéressé.
L’étalon islamiste, à qui Benkirane a interdit de trop s’approcher de Benkhaldoun dans les édifices des administrations publiques, taxe le journal de Bouachrine de « manque de déontologie » sur sa page Facebook.
Il aurait dû y penser avant de commencer à flirter avec sa collègue. Surtout lui, qui a expulsé l’année dernière du parlement la journaliste Khadija Rahhali pour sa tenue vestimentaire jugée « inappropriée pour l’institution ».
Mais il est vrai que Ramid n’est pas non plus un parangon de vertu. La presse internationale rappelle qu’il est également bigame dans un pays où « seulement 0,26% des mariages sont à caractère polygame ».
Et cette presse internationale, sûrement par pudeur, une vertu pourtant arocaine, ne dit pas tout.
Sexe au gouvernement islamo-chérifien : Choubani accuse Ramid | Demain