Tout Algérien visitant Paris est ébloui par la tour Eiffel, majestueuse et imposante du haut de ses 312 mètres.
Un symbole de l’identité française et une attraction touristique mondiale
Pour l’histoire, cette magnifique structure en fer a été dessinée par Maurice Kœchlin et construite par Gustave Eiffel, ingénieur de son état et célèbre entrepreneur qui a conçu ce monumentt à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris qui s’est tenue en 1889. La France allait montrer au monde, avec fierté, que le génie de la liberté avait accouché du génie de l’industrie.
Construite en deux ans, deux mois et cinq jours, de 1887 à 1889, par 250 ouvriers, elle est inaugurée, à l’occasion d’une fête de fin de chantier organisée par Gustave Eiffel, le 31 mars 1889. Les Algériens visitant ce monument, ne se doutent certainement pas que cette «dame de fer» symbole et fierté des Français, est en fait du minerai extrait de la terre algérienne. Et pour cause, tout le fer utilisé pour sa construction, 8000 tonnes pour la charpente métallique, a été extrait des mines algériennes, de Rouina (Aïn Defla) et de Zaccar (Miliana).
D’ailleurs, en guise de reconnaissance, Gustave Eiffel avait remercié les mineurs de Rouina, en offrant une horloge (montée sur une tour métallique) à l’école du village de Carnot (l’actuel El Abadia, wilaya de Aïn Defla). Il faut souligner que Rouina était l’une des premières mines exploitées en Algérie par les Français.
Gustave Eiffel fût ébloui par la pureté de son fer qui est un minerai à haute valeur ajoutée, ayant des propriétés mécaniques idéales et convenables à ses projets, titrant une teneur moyenne de 56-60%, ce qui permettait l’obtention de fer «puddlé» (brassé), très indiqué pour ce genre de structure, contrairement au minerai de fer extrait des «minettes de Lorraine» et autres mines européennes, pauvre et inadapté aux structures nécessitant une résistance et une flexibilité mécanique aux aléas naturels. le journal français l’Echo des mines avait rapporté déjà en 1896 que «le fer qui a servi à la construction de la tour n’est pas n’importe lequel. Il a fait l’objet d’un choix minutieux. Il vient de mines algériennes et a été fabriqué dans les forges et usines de Pompey ‘Fould-Dupont’ en Lorraine, Gustave Eiffel l’a choisi notamment en raison de ses propriétés mécaniques».
Un symbole de l’identité française et une attraction touristique mondiale
Pour l’histoire, cette magnifique structure en fer a été dessinée par Maurice Kœchlin et construite par Gustave Eiffel, ingénieur de son état et célèbre entrepreneur qui a conçu ce monumentt à l’occasion de l’Exposition universelle de Paris qui s’est tenue en 1889. La France allait montrer au monde, avec fierté, que le génie de la liberté avait accouché du génie de l’industrie.
Construite en deux ans, deux mois et cinq jours, de 1887 à 1889, par 250 ouvriers, elle est inaugurée, à l’occasion d’une fête de fin de chantier organisée par Gustave Eiffel, le 31 mars 1889. Les Algériens visitant ce monument, ne se doutent certainement pas que cette «dame de fer» symbole et fierté des Français, est en fait du minerai extrait de la terre algérienne. Et pour cause, tout le fer utilisé pour sa construction, 8000 tonnes pour la charpente métallique, a été extrait des mines algériennes, de Rouina (Aïn Defla) et de Zaccar (Miliana).
D’ailleurs, en guise de reconnaissance, Gustave Eiffel avait remercié les mineurs de Rouina, en offrant une horloge (montée sur une tour métallique) à l’école du village de Carnot (l’actuel El Abadia, wilaya de Aïn Defla). Il faut souligner que Rouina était l’une des premières mines exploitées en Algérie par les Français.
Gustave Eiffel fût ébloui par la pureté de son fer qui est un minerai à haute valeur ajoutée, ayant des propriétés mécaniques idéales et convenables à ses projets, titrant une teneur moyenne de 56-60%, ce qui permettait l’obtention de fer «puddlé» (brassé), très indiqué pour ce genre de structure, contrairement au minerai de fer extrait des «minettes de Lorraine» et autres mines européennes, pauvre et inadapté aux structures nécessitant une résistance et une flexibilité mécanique aux aléas naturels. le journal français l’Echo des mines avait rapporté déjà en 1896 que «le fer qui a servi à la construction de la tour n’est pas n’importe lequel. Il a fait l’objet d’un choix minutieux. Il vient de mines algériennes et a été fabriqué dans les forges et usines de Pompey ‘Fould-Dupont’ en Lorraine, Gustave Eiffel l’a choisi notamment en raison de ses propriétés mécaniques».