Sommes nous réellement en crise ?

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Non, Locke, on ne peut s'approprier que les terres que l'on travaille.

Rajoutons : il est impossible d'établir un contrat concernant les biens ou les actions à venir.

On arrive à l'abolition du salaria, en toute liberté. De rien.


"Rajoutons : il est impossible d'établir un contrat concernant les biens ou les actions à venir."

pourtant tu glorigies la finance moderne qui ne fait quasiment que permettre la vente , achat et speculation sur des contrats a termes donc des livraisons de matieres a venir

tu nages dans ta propre contradiction
 
"Rajoutons : il est impossible d'établir un contrat concernant les biens ou les actions à venir."

pourtant tu glorigies la finance moderne qui ne fait quasiment que permettre la vente , achat et speculation sur des contrats a termes donc des livraisons de matieres a venir

tu nages dans ta propre contradiction
Je ne l'ai jamais glorifiée. Je suis contre la finance à deux titres, et en tant que libéral :

-L'impossibilité d'émettre un contrat sur une production future
-L'impossibilité de la propriété multiple. La propriété en libéralie doit être clairement définie, et elle ne peut être qu'individuelle.

Mon propos est de dire que la finance n'est qu'un rouage du système, au pire un catalyseur, mais certainement pas la cause première.

Dette/Inflation.
 
Non, Locke, on ne peut s'approprier que les terres que l'on travaille.

Rajoutons : il est impossible d'établir un contrat concernant les biens ou les actions à venir.

On arrive à l'abolition du salaria, en toute liberté. De rien.
Je ne l'ai jamais glorifiée. Je suis contre la finance à deux titres, et en tant que libéral :

-L'impossibilité d'émettre un contrat sur une production future
-L'impossibilité de la propriété multiple. La propriété en libéralie doit être clairement définie, et elle ne peut être qu'individuelle.

Mon propos est de dire que la finance n'est qu'un rouage du système, au pire un catalyseur, mais certainement pas la cause première.

Dette/Inflation.

que penses tu de la notion de personne morale pour le coup?

il y a des choses avec lesuqelles je suis d'accord avec toi : notamment je suis contre le métier de politicien

mais tu es trop radical quand tu prends Dieu en otage en disant "Dieu n'a jamais dit cela ou ceci"

le silence de la lois c'est la liberté des citoyens encore du Hobbes ;)
 
que penses tu de la notion de personne morale pour le coup?

il y a des choses avec lesuqelles je suis d'accord avec toi : notamment je suis contre le métier de politicien

mais tu es trop radical quand tu prends Dieu en otage en disant "Dieu n'a jamais dit cela ou ceci"

le silence de la lois c'est la liberté des citoyens encore du Hobbes ;)
Personnes morales : pas d'existence réelle, donc normalement pas d'existence juridique.

Si Dieu interdit le vol et l'agression, sauf dans les cas précis qu'il énonce (pillage de guerre pour le vol, légitime défense pour l'agression) j'en déduis que vol et agression sont interdite.

Donc, les impôts. Aucune personne n'a plus de légitimité qu'une autre. Seule sont légitime les actions justes.

Si je te prend une certaine somme de force, même si je te donne quelque chose en échange, ou que je donne cette somme à un autre, ça reste du vol, car je n'ai tout simplement pas ton consentement.


EDIT : Et le but de Hobbes est d'assurer la sécurité, sans considérations morales. Non seulement l'état n'est tout simplement pas capable d'avoir le monopole de la violence, ni d'empêcher la dite violence. Mais en plus, un état non-encré sur des principes de liberté laisse la porte ouverte au totalitarisme.

Hobbes, il s'en fout. C'est un positiviste. Voire pièce jointe.
 

Pièces jointes

  • Droit-positif-et-naturel.png
    Droit-positif-et-naturel.png
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Les délocalisation sont causée par des recherches de profits.
Tout possesseur de capital cherche le profit, qu'il soit trader ou pas.

Donc oui, c'est aussi simple que ça. Le payement de la dette et les plans sociaux forcent à augmenter les impôts, et augmenter les impôts poussent les possesseurs d'entreprises à délocaliser là ou il y a moins d'impôts.

je vais essayer inchallah de te donner une autre vision de la situation
regarde ce qu a recu arcelor comme avantage et surtout le manque a gagner

l etat pousse a l investissement et se fait bien entuber en fin de compte

explication

Cadeaux fiscaux :: ArcelorMittal a reçu 1,043 milliard d’euros en 2009 et 2010
Les filiales du groupe ArcelorMittal en Belgique sont plutôt bien gâtées par l’État. Jusqu’à maintenant, elles ne sont pas obligées de payer l’impôt des sociétés légal de 33,99 %. Pour l’année 2009 et 2010, le montant du cadeau fiscal se monte à 1,043 milliard. Sans compter qu’elles reçoivent, en plus des réductions de cotisations sociales, du soutien à la formation et des droits d’émission.

la source

http://www.ptb.be/nieuws/artikel/ca...ecu-1043-milliard-deuros-en-2009-et-2010.html

dans le dossier qui nous interesse tout n est pas aussi statique ou figue
beaucoup d element rentre en ligne de compte
aussi bien le prix du metal en bourse que le prix du pêtrole
les taxes a l inport comme a l export
etc.
 
Ouep. Et le possesseur initial du coton, qui l'a forcé à mettre une partie de son capital en bourse ?

Oui, dans la vie les gens peuvent faire des choix risqués, c'est leur droits. T'as pas à t'en mêler.

Si tu pense que les gens sont trop **** pour être libre, je ne sais même pas comment tu te revendique de la démocratie.
est ce que tu crois qu on a demande a l humanite si il voulait qu on mette en bourse les produits alimentaires de base
il n y a eu aucun referendum ni votes
quedalle
alors si je devais me choisir un ennemi mon ami ce serra bien la bourse
sous toute ses formes
bav
 
J'ai bien l’impression que nous ne somme pas en crise, nous avons de l'argent et les moyens d'amélioré les conditions de notre pays, je ne sais pas comment, mais les politicards et les médias on réussie à convaincre les gens que nous somme en pleine crise...


De l'argent et des richesses il y en a en effet.
Les deux questions centrales qui produisent les crises en économie sont celle de la valeur (la monnaie) et de la répartition (l'accumulation) de ceux-ci.
De ce point de vue la financiarisation et la polarisation extrême du capital ont fait imploser par bulles successives un système qui comprenait en réalité en son sein ses principes de désagrégation: un fonctionnement (initiative privée, investissement, concurrence, prise de risque, plus-value) qui détruit la masse totale des richesses crées en les excluant du circuit économique au bénéfice de groupes minoritaires.

C'est bel et bien la phase que nous traversons depuis plusieurs décennies et qui s'est précipitée durant l'été 2007 avec l'insolvabilité générale des foyers américains (alors constatée, en réalité prévisible et prévue) lors du krach des prêts immobiliers que tout le monde sait et qui a entraîné la faillite de plusieurs établissements bancaires, des plus négligeables aux plus importants, parfois même historiques.

Historiques, parce que symboliques, dans le sens où ils sont (étaient devrait-on dire) le corollaire (ici pour ne pas dire plus) de l'édification du capitalisme en Angleterre et aux Etats-Unis. Les artefacts modernes d'une puissance supposée comme l'étaient jadis les temples, les palais, les pyramides...aujourd'hui des ruines. Si l'on avait demandé à un quidam sous l'Empire romain ou un maya de Tikal vers 300 av JC s'il pensait possible que sa civilisation disparaisse il n'aurait probablement pas compris le sens de la question. C'est dire que des signes de cette érosion du système il y a en a pléthore mais pour en observer les conséquences en chaîne il faut avoir une approche globale de la situation mais surtout pluridisciplinaire.

Cette conscience inaccessible hier est aujourd'hui rendue vitale autant par la mise en réseau du monde que son interdépendance. C'est bien plutôt cet acharnement des classes dirigeantes (économiques et politiques) à avoir nié l'évidence pendant de longs semestres sur le bon diagnostique à poser, en injectant par exemple des masses folles de liquidité dans un système bancaire bourré d'actifs toxiques, qui a aggravé une crise déjà systémique au milieu des années 2000.

Si l'on ajoute à cette impasse structurelle la raréfaction des ressources et la destruction de l'environnement qui sont l'empreinte même de ce système sur nos vies, je vois mal comment décrire la situation en ce début de décennie autrement que par le mot crise, qu'on entende par là les manifestations graves ou néfastes des problèmes décrits plus haut c'est-à-dire ses conséquences sociales et politiques non gérées ou simplement une période de troubles. Le sens figuré du terme véhicule une charge historique plus adaptée au contexte à mon avis: la séquence que nous vivons a tout d'un moment périlleux et décisif en plus d'être extrêmement dense en bouleversements donc difficile à contrôler. A cet égard, l'été prochain sera intéressant à observer du point de vue de nos élites, notamment européennes, de la coordination des politiques décidées dépendra nos prises de décisions et nos perspectives...
 
Il faut se faire à l'idée que chacun d'entre nous et nos enfants évolueront dans ce monde incertain (le fatalisme cardinal des musulmans a une longueur d'avance sur l'époque -joke-) et utiliser sa matière grise pour faire les meilleurs choix possibles aux meilleurs moments et surtout essayer de rester solidaire dans nos sphères sociales respectives (familles, quartiers, villages, entreprises...) voir les élargir.

Faire en sorte d'être administrés par des gens compétents et aptes à appréhender la profondeur des changements en cours est déjà une chose à notre portée, à l'échelle locale, nationale et bientôt européenne. Si cela tarde à venir nul doute que la rue sera le prochain théâtre d'expression politique...
 
Il faut se faire à l'idée que chacun d'entre nous et nos enfants évolueront dans ce monde incertain (le fatalisme cardinal des musulmans a une longueur d'avance sur l'époque -joke-) et utiliser sa matière grise pour faire les meilleurs choix possibles aux meilleurs moments et surtout essayer de rester solidaire dans nos sphères sociales respectives (familles, quartiers, villages, entreprises...) voir les élargir.

Faire en sorte d'être administrés par des gens compétents et aptes à appréhender la profondeur des changements en cours est déjà une chose à notre portée, à l'échelle locale, nationale et bientôt européenne. Si cela tarde à venir nul doute que la rue sera le prochain théâtre d'expression politique...

Sincèrement ça j'en doute ! car tous le monde n'as pas le même sens d'appréciation de la compétence malheureusement, il ne faut pas non plus oublier que les beau discours des politicards utilisant des mots cruciaux ou phrases type tel que "solidarité" ou "nous devons redresser une France en perdition par des mesures efficace" ne veut plus rien dire et plus personne n'y croit, car beaucoup on fait de beau discours, mais peu voire aucun ne les as appliquer...

Dans un tel climat les électeurs ne savent plus trop qui croire, Hollande par exemple fut un élu par dépit et non par foi en son discours je pense.
 
Pourquoi nous sommes en crise?

C'est simple :

1- Croissance zéro
2- Endettement continue pour conserver notre niveau de vie
3- Pays émérgents en pleine croissance

Oui nous sommes en crise.
 
C'est la question que je me pose, ce qui suis n'engage que moi, il ne s'agit que de mon avis.

J'ai bien l’impression que nous ne somme pas en crise, nous avons de l'argent et les moyens d'amélioré les conditions de notre pays, je ne sais pas comment, mais les politicards et les médias on réussie à convaincre les gens que nous somme en pleine crise...

[…]
(je n’ai lu que le premier message, pas encore les réponses)

J’aime bien ce topic, parce que je me pose la même question, et je n’arrive pas à lui trouver de réponse certaine.

Après la crise bien rapportée par les médias en 2008, j’ai eu l’impression que cette crise n’était pas si grave, que les gens ne dépensaient pas moins et n’étaient pas plus pauvres (en moyenne), et que cette crise avait surtout eu un effet dans les états d’esprits, parce que par contre sur les comportements et les attitudes des gens vis‑à‑vis d’autrui, il s’était produit quelque chose que j’ai bien senti.

Cette crise de 2008 me semblait plus psychologique qu’économique.

Ensuite, il y a eu une série d’alertes à répétition, une pauvreté qui a quand‑même bien augmenté, mais ça n’a pas l’air d’être la crise pour tout le monde, les terrasses de restaurants ne désemplissent pas, il y a toujours autant de voitures dans les rues, etc.

Bref, même aujourd’hui, l’impression que la crise n’est pas si grave.

Pourtant il y a bien une forme de crise, et remonte à bien avant 2008, et l’économie a des principes de fonctionnement qui la font marcher sur la tête, il y a bien le chômage qui augmente, etc.

Alors je dirais qu’il y a bien une crise, mais que sa réalité est difficile à cerner, parce que les discours sur la crise parlent mal de la crise. Elle existe, mais elle est mal rapportée et elle est mal abordée. Comme si on avait inventé une crise dans une crise. Il y a la crise telle qu’elle est, dont on ne parle pas, et la crise telle qu’elle arrange les opportunistes, et qui nous martèlent à son sujet ce qu’ils veulent et ce qui les arrange.

C’est pour ça qu’on a de quoi être perdu et ne rien y comprendre. On voit des choses concrètement qui ne correspondent pas à ce qu’on nous dit que les choses sont, et des choses que l’ont voit mais qui ne sont jamais abordé.

La crise existe, mais elle n’est pas telle qu’elle est rapportée.

C’est en gros mon impression. Mais ces impressions ne sont que vagues, et je n’arrive pas à cerner avec précision, à rétablir correctement l’importance des choses, entre ce qui est exagéré et ce qui est au contraire éludé.
 
(je n’ai lu que le premier message, pas encore les réponses)

J’aime bien ce topic, parce que je me pose la même question, et je n’arrive pas à lui trouver de réponse certaine.

Après la crise bien rapportée par les médias en 2008, j’ai eu l’impression que cette crise n’était pas si grave, que les gens ne dépensaient pas moins et n’étaient pas plus pauvres (en moyenne), et que cette crise avait surtout eu un effet dans les états d’esprits, parce que par contre sur les comportements et les attitudes des gens vis‑à‑vis d’autrui, il s’était produit quelque chose que j’ai bien senti.

Cette crise de 2008 me semblait plus psychologique qu’économique.

Ensuite, il y a eu une série d’alertes à répétition, une pauvreté qui a quand‑même bien augmenté, mais ça n’a pas l’air d’être la crise pour tout le monde, les terrasses de restaurants ne désemplissent pas, il y a toujours autant de voitures dans les rues, etc.

Bref, même aujourd’hui, l’impression que la crise n’est pas si grave.

Pourtant il y a bien une forme de crise, et remonte à bien avant 2008, et l’économie a des principes de fonctionnement qui la font marcher sur la tête, il y a bien le chômage qui augmente, etc.

Alors je dirais qu’il y a bien une crise, mais que sa réalité est difficile à cerner, parce que les discours sur la crise parlent mal de la crise. Elle existe, mais elle est mal rapportée et elle est mal abordée. Comme si on avait inventé une crise dans une crise. Il y a la crise telle qu’elle est, dont on ne parle pas, et la crise telle qu’elle arrange les opportunistes, et qui nous martèlent à son sujet ce qu’ils veulent et ce qui les arrange.

C’est pour ça qu’on a de quoi être perdu et ne rien y comprendre. On voit des choses concrètement qui ne correspondent pas à ce qu’on nous dit que les choses sont, et des choses que l’ont voit mais qui ne sont jamais abordé.

La crise existe, mais elle n’est pas telle qu’elle est rapportée.

C’est en gros mon impression. Mais ces impressions ne sont que vagues, et je n’arrive pas à cerner avec précision, à rétablir correctement l’importance des choses, entre ce qui est exagéré et ce qui est au contraire éludé.

J'ai effectué quelque recherche et plus une crise des sens que nous subissons qu'une crise économique, Michel Drac en parle très bien :

http://www.youtube.com/watch?v=BZqo3kkkKN0&feature=related

Selon Michel Drac, le système politique produisais du sens en filtrant le réel, seulement le filtre du système s'avère erronée et on ne s'en aperçois que maintenant...
 
J'ai effectué quelque recherche et plus une crise des sens que nous subissons qu'une crise économique, Michel Drac en parle très bien :

http://www.youtube.com/watch?v=BZqo3kkkKN0&feature=related

Selon Michel Drac, le système politique produisais du sens en filtrant le réel, seulement le filtre du système s'avère erronée et on ne s'en aperçois que maintenant...
Oui, ça colle assez bien, on invente une réalité sur la réalité. Elle est crée pour maintenir en place les choses comme elles sont depuis longtemps, et même le quidam moyen y participe.

Je n’ai pas encore tous vu. Il est intéressant, mais il a fait deux énormes erreurs.

La première quand il parle du libéralisme, et j’espère pour lui que c’est par ignorance, parce que sinon il vient de trahir une malhonnêteté. Le libéralisme ne participe pas du tout au phénomène de codage dont il parle, et il fait même le contraire. Son propos est de supprimer la maximum de couche de codage, pour désembrouiller les choses (et ici le libéralisme accuse surtout l’étatisme d’en être responsable), et à cette fin, de libérer ls citoyens de l’intermédiaire qu’est l’état dans tous les cas où le citoyen est le plus à même de prendre les bonnes décisions à son niveau, parce que plus proche de la réalité concrète que ne l’est l’état, et toujours à cette fin aussi, de garantir au citoyen, un minimum de moyens inconditionnels (parce que sans moyen, toutes liberté est caduque), sous forme d’un revenu de base inconditionnel (bulleforum.net).

Ensuite, concernant la taxe carbone, il déforme son propos. Ce qui la fonde n’est pas de faire payer la consommation d’air ou de marchander la production de carbone, mais de taxer le déséquilibre et les dégâts causés par une production de CO2 plus grande que l’écosystème ne peut en assimilé. La respiration humaine par exemple, n’excède pas ses capacité. L’idée est de faire payer ce qui n’est gratuit qu’en apparence : le rejet excessif de CO2.

Je continue à voir la suite maintenant…
 
… (suite)

et sur la fin aussi, il dit une chose qu’il faut un peu corriger, sinon il y a de quoi devenir névrosé. Il dit que ce n’est pas le regard que nous posons sur les choses qui fait le sens : ah ? et le sens existe en dehors du regard qu’on pose sur les choses alors ? (ou alors il confond le sens et la réalité, la réalité n’étant jamais entièrement perçue et restant pour toujours inaccessible) Il aurait plutôt dut dire qu’on doit en permanence s’assurer que le regard qu’on pose sur les choses ne manque pas quelque chose d’important. Il n’y a pas de sens en dehors de la perception, et la perception peut‑être plus ou moins proche de la réalité, dans le sens où elle nous permet d’en prédire des choses qui seront plus ou moins vérifiées.

C’est juste dommage quand‑même que cette vidéo soit d’E&R, parce que, hum… Soral, heu…, non je dis rien :D Cette vidéo aurait été encore mieux si elle était plus détachée d’un mouvement politique en particulier.
 
Oui, ça colle assez bien, on invente une réalité sur la réalité. Elle est crée pour maintenir en place les choses comme elles sont depuis longtemps, et même le quidam moyen y participe.

Je n’ai pas encore tous vu. Il est intéressant, mais il a fait deux énormes erreurs.

La première quand il parle du libéralisme, et j’espère pour lui que c’est par ignorance, parce que sinon il vient de trahir une malhonnêteté. Le libéralisme ne participe pas du tout au phénomène de codage dont il parle, et il fait même le contraire. Son propos est de supprimer la maximum de couche de codage, pour désembrouiller les choses (et ici le libéralisme accuse surtout l’étatisme d’en être responsable), et à cette fin, de libérer ls citoyens de l’intermédiaire qu’est l’état dans tous les cas où le citoyen est le plus à même de prendre les bonnes décisions à son niveau, parce que plus proche de la réalité concrète que ne l’est l’état, et toujours à cette fin aussi, de garantir au citoyen, un minimum de moyens inconditionnels (parce que sans moyen, toutes liberté est caduque), sous forme d’un revenu de base inconditionnel (bulleforum.net).

Ensuite, concernant la taxe carbone, il déforme son propos. Ce qui la fonde n’est pas de faire payer la consommation d’air ou de marchander la production de carbone, mais de taxer le déséquilibre et les dégâts causés par une production de CO2 plus grande que l’écosystème ne peut en assimilé. La respiration humaine par exemple, n’excède pas ses capacité. L’idée est de faire payer ce qui n’est gratuit qu’en apparence : le rejet excessif de CO2.

Je continue à voir la suite maintenant…

Le liberalisme est instrumentalisé, il suffit de l'écouté quand il parle par exemple du féminisme, au début c'étais une revendication pour la liberté de conscience des femmes, puis par la suite cela fut récupéré par le système pour filmé des femmes libre en train de fumer, plus tard on a su que c'étais pour faire la promotion de la cigarette en se servant des "femmes libre et épanouie parce quelles fument" le citoyen lambda inconsciemment de croire que fumer fait de lui un être "adulte et épanouie" suffit de voire le désastre sur les ados. C'est surtout en ce sens qu'il en parle.

Pour la taxe CO2 il dit ici que si on suis la logique jusqu'au bout c'est ce que le système peut faire (trouver le prétexte) pour taxé la quantité de carbone rejeter et d'aire utilisé pour crée du PIB...lui même dit qu'ils ne le feront pas, enfin il espère lol il a imagé le système et sa façon de prétexté les choses (crée des réalité et du sens) pour ici, crée du PIB.
 
… (suite)

et sur la fin aussi, il dit une chose qu’il faut un peu corriger, sinon il y a de quoi devenir névrosé. Il dit que ce n’est pas le regard que nous posons sur les choses qui fait le sens : ah ? et le sens existe en dehors du regard qu’on pose sur les choses alors ? (ou alors il confond le sens et la réalité, la réalité n’étant jamais entièrement perçue et restant pour toujours inaccessible) Il aurait plutôt dut dire qu’on doit en permanence s’assurer que le regard qu’on pose sur les choses ne manque pas quelque chose d’important. Il n’y a pas de sens en dehors de la perception, et la perception peut‑être plus ou moins proche de la réalité, dans le sens où elle nous permet d’en prédire des choses qui seront plus ou moins vérifiées.

C’est juste dommage quand‑même que cette vidéo soit d’E&R, parce que, hum… Soral, heu…, non je dis rien :D Cette vidéo aurait été encore mieux si elle était plus détachée d’un mouvement politique en particulier.

Il démontre simplement que la réalité bien qu'absolue est inaccessible car chacun la perçois selon ses sens, mais pour comprendre où il veut en venir, il parle du cerveau globale (c'est à dire un espace de pensée collectif dans lequel tous le monde se reconnait et est conçus par le système) ce cerveau global construit du sens et impose "sa perception" au citoyens en éduquant la population dans la perception du système.

Quand au fait que sa vient de E&R je m'en fiche, la forme m’intéresse pas seul le fond compte pour moi. Pour tous te dire, Marine Le Pen je la trouve pertinente...même si je mets en avant son discours paradoxal de se prétendre non raciste et islamophobe alors quelle veut interdit le voile dans la rue et se fait photographier avec des néo-nazis.
 
C'est la question que je me pose, ce qui suis n'engage que moi, il ne s'agit que de mon avis.

J'ai bien l’impression que nous ne somme pas en crise, nous avons de l'argent et les moyens d'amélioré les conditions de notre pays, je ne sais pas comment, mais les politicards et les médias on réussie à convaincre les gens que nous somme en pleine crise...

Je pense que la crise masque une utilisation peu louable de notre argent et sert de prétexte à nous faire travailler à moindre coût tous en nous demandant de payer plus cher et vivre sur le fil du rasoir, quoi de mieux qu'une crise pour justifier ce régime draconien ? bien sûr ils auront toujours des explications fondé sur des "preuves" que la crise existe, mais je pense qu'il s'agit de mensonge, un peu comme construire une arme factice et y placer volontairement les empreintes digital de quelqu'un pour l'accusé d'un crime, et comme c'est fait par des "officiel" on ce dit que c'est forcément vrai...

Ce que je pense des gouvernements ? je pense que les gouvernements ont tous un business en commun, business qui coûte de l'argent, et nous, le peuple, on est les idiots utile, ils ont besoin de notre argent pour ce "business en commun". Je ne dis pas que c'est louche ou pas normal que les gouvernements nous fasses payer, on utilise les services publique et l’énergie, donc oui, il est logique de payer, mais je ne parle pas de ça, je parle ici de ce que les gouvernements fait de la majeur partie de notre argent. Pour moi elle part dans un business qu'ils ont en commun, alors que notre argent, initialement, n'étais pas destiné à ça.

Pour aller au fond de ma pensée, je pense que les présidents sont "surveillé", ils ne peuvent pas ce permettre d'agir pour le bien du peuple, même si ils en ont les moyens, je suis convaincue qu'ils sont menacé de déchéance ou de mort si ils le font, par des personnes ayant le pouvoir de les faire chuter, si il s'avèrent qu'ils s'occupent plus du peuple que du business qu'ils ont en commun. Pour mettre fin à un débat, je ne pense pas qu'il s'agisse des des sionistes...

Ce passage de ma pensée pourrait en faire sourire plus d'un, mais il y a bien longtemps que j'ai arrêter de croire que les gens qui ont le pouvoir ont des valeurs morale exemplaire...je me rappel le film tiré de fait réel "Lord Of War" où on apprend que des pays membre de l'ONU (Russie, Allemagne, Amérique, France, et le cinquième il me semble que c'est l'Angleterre) ce sont fait de l'argent en vendant des armes à des peuples en guerre, tous en venant faire des beau discours au peuple du genre "Ce qui ce passe la bas est intolérable, cela va contre nos principes de droit de l'homme, de démocratie et de valeur républicaine"...Sa me dégoûte ! je me demande même comment un homme ayant une once de morale peut dormir la nuit en agissant comme ça avec une tel hypocrisie...

Pour finir, je pense que ce qui va mener les pays à leurs perte, c'est pas le fait qu'ils soit en crise, mais le fait qu'ils cherchent à acquérir toujours plus de pouvoir et d'argent par le biais du mensonge, de la manipulation et de la connivence, autant de malhonnêteté, sa ce paiera forcément un jour, faut pas rêver...

Je le répète, ceci n'engage que moi, il ne s'agit que de mon avis.

Merci.

Je n'ai pas lu ton post, mais je vais te répondre très brièvement il n'y a jamais eu de crise.
 
Ça, c’est si on le laisse dans les mains de qui le manipule. Et ça ne justifie pas de mentir sur ce qu’il est, ce qui paradoxalement (par rapport à ce qu’il dit) sert les intérêts de ce qu’il dénonce.

L'état a le pouvoir, ils contrôle les médias, donc il peut instrumentalisé tous et n'importe quoi de manière directe ou indirecte pour ses intérêt, le meilleur exemple : l'islam !

Quand il faut récolté des voix : soit l'islam dangereux = récolté des votes par la peur et la fierté de résistance du sentiment national

Soit récolté des voix de musulmans en prenant leurs défenses face à des parti qui les stigmatises.

Il joue sur l'un est l'autre pour se faire un max de popularité, ce fut le cas de Valls qui stigmatisé les musulmans, et maintenant en fait ses alliées...
 
c est l ultra liberalisme et capitalisme qui est en crise
en principe une crise est passagere donc la reponse est non
depuis l instauration de l euro les debacles s accumulent

Pas besoin de mettre des noms supers ultras extra complexes sur quelque chose qui n'existe et n'a jamais existé.

Le capitalisme et l'ultra libéralisme ne sont pas en crise.
"L'Euro et les débacles s'accumulent" : je n'aime pas la politique, leurs discours ne m'intéressent guère. Si tu veux en discuter tu regardes la TV et tous les débats à 2 francs 50 (euh 2 euros 50 pardon)
 
La crise est toujours relative...

Je pense que c'est avant la "crise" qui est problématique (surconsommation, dérèglement, etc.).
 
Pas besoin de mettre des noms supers ultras extra complexes sur quelque chose qui n'existe et n'a jamais existé.

Le capitalisme et l'ultra libéralisme ne sont pas en crise.
"L'Euro et les débacles s'accumulent" : je n'aime pas la politique, leurs discours ne m'intéressent guère. Si tu veux en discuter tu regardes la TV et tous les débats à 2 francs 50 (euh 2 euros 50 pardon)
moi aussi je n aime pas la politique car pour etre un bon politicar il faut etre un beau parleur qui puisse faire le melange dans une intervention de mensonge et de verite....

maintenant tu prends juste la "PROPORTIONNELLE"
il y a 12 ans on payait le loyer qui etait 1 quart ou 1 troisieme de son salaire
aujourd hui
le loyer coute plus de la moitie de son salaire
alors dis moi ce qui s est passe
 
Une crise, par définition, c'est temporaire. Depuis que je suis ado (années 90), j'entends à la télé que c'est la crise, tout le temps. Qualifier ça de crise c'est pour nous faire croire que c'est temporaire, que ça va s'arranger, qu'il faut pas s'énerver, prendre son mal en patience.
 
Moi j'adhère au "travailler plus, pour mourir plus"

Le fait est que les ressources diminuent, la démographie doit être limitée +++.
mdr
sache mon ami avant de dire des inepties
qu il y a assez de richesse sur terre pour nourir 10 fois la population actuel
alors stp

si on arrivait a distribuer les denrees alimentaire equitablement et sans "GASPILLER" alors mon pote tu serrais etonner
 
Une crise, par définition, c'est temporaire. Depuis que je suis ado (années 90), j'entends à la télé que c'est la crise, tout le temps. Qualifier ça de crise c'est pour nous faire croire que c'est temporaire, que ça va s'arranger, qu'il faut pas s'énerver, prendre son mal en patience.
moi c etait mon prof de science eco qui disait cela
et il avait tout compris il n y a pas de crise....
 
mdr
sache mon ami avant de dire des inepties
qu il y a assez de richesse sur terre pour nourir 10 fois la population actuel
alors stp

si on arrivait a distribuer les denrees alimentaire equitablement et sans "GASPILLER" alors mon pote tu serrais etonner

Je ne suis pas un homme... Enfin pas grave :prudent:

Je n'ai jamais dis le contraire cher "pote".
Je ne serai étonnée de rien puisque je sais pertinemment que l'on gaspille ++++ pour produire encore et toujours.


La privatisation de l'eau (essentiel à chaque être humain) ça te dit quelque chose ?

Et au passage ce que tu dis est faux dans le sens que : certes 10* la population si on ne compte pas toutes les conséquences que cela engendre sur la planète +++
L'être humain pollue énormément et consomme de surcroît. Donc 1 à 2 milliards pour une conso +++ serait déjà plus approprié.

La privatisation de l'eau ça te dit qqch ?

Quand tu comprends comment fonctionne notre système, tu pourras ranger tes belles petites phrases. En tout cas les intéressés y seront totalement indifférents (cf pouvoir et mafia)

Puisque leur but n'est pas le tien sache le.
 
Je ne suis pas un homme... Enfin pas grave :prudent:

Je n'ai jamais dis le contraire cher "pote".
Je ne serai étonnée de rien puisque je sais pertinemment que l'on gaspille ++++ pour produire encore et toujours.


La privatisation de l'eau (essentiel à chaque être humain) ça te dit quelque chose ?

Et au passage ce que tu dis est faux dans le sens que : certes 10* la population si on ne compte pas toutes les conséquences que cela engendre sur la planète +++
L'être humain pollue énormément et consomme de surcroît. Donc 1 à 2 milliards pour une conso +++ serait déjà plus approprié.

La privatisation de l'eau ça te dit qqch ?

Quand tu comprends comment fonctionne notre système, tu pourras ranger tes belles petites phrases. En tout cas les intéressés y seront totalement indifférents (cf pouvoir et mafia)

Puisque leur but n'est pas le tien sache le.
je te pris de m excuser pour mon exces

oui je suis au courant pour la privatisation de l "eau potable"
depuis belle lurette beaucoup d economiste tire la sonette d alarme concernant les denrees alimentaires( l eau n en fait pas encore partie en tant que telle naturellement)

le blef le riz l avoine le soja etc sont cote en bourse ce qui cree des famines dans le monde
car un africain ne sait pas se paye un sac de ble pour 5 euro c est trop cher

tout cela beaucoup de dirigeant le save mais n en prenne pas compte a pres il s etonne que l africain veut venir en europe

l eau a une grande valeur et est a la base de tout
dans le futur on se battra pour l eau
le petrole passera au dixieme plan^^
 
De toute facon on a ete trop loin donc ca va se terminer dans un bain de sang ces histoires de banques et de dettes, vous savez ce qui nous manquent l "ETINCELLE" et ca je ne sais pas d'ou ca va venir ? l'iran peut etre ?
 
dans tous les cas
si l europe ne change pas son CAHIER DE ROUTE
on fonce droit dans le mur
c est comme la lepre
on a beau couper et la maladie revient toujours

ce qu il faut c est l antidote...
 
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