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Le 28 mai dernier, le Caire annonçait l'ouverture du point de passage de Rafah à la frontière sud de la bande de Gaza. Le quotidien des Palestiniens du territoire soumis à un blocus israélien depuis 2006 a-t-il changé pour autant? Deux Gazaouis rencontrés par LEXPRESS.fr témoignent.
"Bloqués". Voilà une situation quasi familière pour les Gazaouis. L'embargo israélien sur la bande de Gaza a été décrété par le gouvernement israélien au cours de l'été 2006. Depuis le début, l'Egypte d'Hosni Moubarak a participé à ce blocus en fermant le point de passage de Rafah, une des portes d'entrées vers le territoire palestinien, côté égyptien. Mais une fois Moubarak déchu, la position égyptienne a semblé évoluer, avec l'annonce, le 28 mai, de l'ouverture de la frontière de Rafah "de façon permanente". Le quotidien des 1,6 millions d'habitants de la bande de Gaza a-t-il réellement changé depuis lors?
"J'ai cru à un changement le jour du départ d'Hosni Moubarak, le 11 février", se souvient Ahmed, un Gazaoui d'une trentaine d'année, étudiant en France. "J'ai grandi avec l'image omniprésente de ce pharaon, si bien que la perspective de la paix avec Israël me paraissait moins improbable qu'un départ du raïs égyptien", commente Ahmed. Fin mai, quand l'Egypte a renoué avec Gaza, et annoncé qu'elle allait ouvrir sa frontière, des milliers de Palestiniens se sont rués vers le point de passage, avec l'espoir que s'ouvrent les portes de Rafah.
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http://www.lexpress.fr/actualite/mo...te-reste-un-calvaire_1028136.html#xtor=AL-447
"Bloqués". Voilà une situation quasi familière pour les Gazaouis. L'embargo israélien sur la bande de Gaza a été décrété par le gouvernement israélien au cours de l'été 2006. Depuis le début, l'Egypte d'Hosni Moubarak a participé à ce blocus en fermant le point de passage de Rafah, une des portes d'entrées vers le territoire palestinien, côté égyptien. Mais une fois Moubarak déchu, la position égyptienne a semblé évoluer, avec l'annonce, le 28 mai, de l'ouverture de la frontière de Rafah "de façon permanente". Le quotidien des 1,6 millions d'habitants de la bande de Gaza a-t-il réellement changé depuis lors?
"J'ai cru à un changement le jour du départ d'Hosni Moubarak, le 11 février", se souvient Ahmed, un Gazaoui d'une trentaine d'année, étudiant en France. "J'ai grandi avec l'image omniprésente de ce pharaon, si bien que la perspective de la paix avec Israël me paraissait moins improbable qu'un départ du raïs égyptien", commente Ahmed. Fin mai, quand l'Egypte a renoué avec Gaza, et annoncé qu'elle allait ouvrir sa frontière, des milliers de Palestiniens se sont rués vers le point de passage, avec l'espoir que s'ouvrent les portes de Rafah.
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