Sur l’exploitation idéologique du harcèlement et ses méfaits, un article d’étudiants de l’école HEC de Lausanne en Suisse, mais qui mentionne entre autres la france : L’hypocrisie féministe (heconomist.ch), Novembre 2017.
L’article mentionne aussi la délectation « secrète » que le citoyen moyen tire de ce genre d’affaire.
L’article mentionne aussi la délectation « secrète » que le citoyen moyen tire de ce genre d’affaire.
Fidèle à son hypocrisie, le féminisme ne condamne évidemment pas les mêmes actes chez les femmes, pourtant professionnelles du dénigrement et de l’insulte (ce n’est pas un jugement à la légère que je fais, le web tourne en partie autour de ça, et pas que le web).L’article à dit:De l’autre côté de la Manche, le dernier président de la terre de Voltaire, d’Hugo et de Versailles, Emmanuel Macron, annonce le 16 octobre dernier une loi contre le harcèlement de rue, défini comme des « actes isolés, qui vont du commentaire non souhaité sur l’apparence physique, en passant par les sifflets, les regards appuyés », ce qui serait défini comme des microaggressions aux États-Unis. À croire qu’aborder une fille deviendra bientôt une partie de roulette russe : soit on va boire un verre le soir, soit on finit au poste.
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