Syrie – Le massacre chimique d’Al Ghouta. La Russie fournit les preuves satellites aux Nations unies sur les auteurs du massacre
INHFR - La Russie a fourni aux Nations unies les images satellites, irréfutables, des deux missiles chargés de produits chimiques qui se sont abattus sur Al Ghouta, faisant des centaines de morts, dont la plupart des enfants. Celles-ci ont été lancées depuis la région de Douma, en Syrie, sous contrôle des rebelles ! L’information a été relayée par d’autres médias.
Russie - Le ministre des Affaires étrangères russe a déclaré : « Nous détenons plus de nouvelles preuves que cet acte criminel était d’une nature provocatrice », a-t-il souligné. « Et en particulier, des rapports ont circulé sur Internet, que les matériaux de l’incident et l’objet des accusations contre les troupes gouvernementales, avaient été publiés pendant plusieurs heures à l’avance de l’attaque en question. Ainsi, il s’agissait bien d’une action planifiée à l’avance. » Suite de l’article sur RT
Que dit la presse occidentale ? Blackout totale ! La France, mise en difficulté, fait allusion, et pour la première fois depuis le début de cette insurrection, à la chose dans Le Figaro, très connu pour le soutien qu’il apporte à Fabius et aux rebelles, se pose pour la première fois des questions jamais vues auparavant, même si le titre est 100 % sioniste, le texte en dit long :
« Quel intérêt aurait eu Bachar el-Assad à lancer une attaque non conventionnelle au moment précis où il venait d’autoriser des inspecteurs de l’ONU ? » – Le Figaro 22/08/2013 CQFD !
Source Journal Al Khabar le martyre de centaines de Syriens, à Al-Ghouta près de Damas, dont la plupart étaient des enfants, a soulevé l’opinion publique mondiale, ce mercredi dernier (21/08/2013), et notamment avec la propagation des images d’enfants et de civils martyrs, qui ont péri dans ce massacre. Les médias de l’opposition syrienne ont accouru, accusant le régime d’avoir commis ce massacre, dans une pression sur le Conseil de sécurité, qui s’est rapidement réuni, avant que la surprise survienne.
Le Conseil de sécurité réuni vient de rendre son rapport avec la mention « fragile », et la déclaration claire : « Nous voulons découvrir la vérité sur l’accusation du régime syrien qu’il aurait utilisé les armes chimiques sur la campagne de Damas, et nous accueillons la décision de l’Organisation des Nations unies pour enquêter sur cette affaire. » Une déclaration qui vient s’ajouter à celle de la délégation italienne qui rapporte « la délégation syrienne a présenté une vision qui mérite que l’on s’attarde dessus ! » Et pour la première fois de son genre, la déclaration également de la délégation française, pourtant connue pour être la plus radicale et enclin en faveur de l’opposition…
La délégation française avait fourni tout ce qu’elle possédait en informations sur le massacre qui a coûté la vie, selon les dernières statistiques neutres, à environ huit-cents syriens, dont la plupart étaient des enfants. Mais c’est la première fois que la délégation attribue ces informations à la coalition de l’opposition et à son président Awinnen Jarba, dans une tentative française de se soustraire à ces renseignements et d’en porter la responsabilité à Awinnen Jarba.
À quoi ce revirement est-il dû ?
Une source diplomatique syrienne de haut niveau, a révélé à la Télévision d’Al Khabar, que la délégation Russe a rendu la version sur les faits qui se sont produits, en fournissant des documents irréfutables, extraits des images satellites qui viennent appuyer de ce fait la version officielle syrienne. Qu’effectivement des militants armés ont bien bien lancé les deux roquettes remplies de produits chimiques, depuis la zone rurale de Douma, toujours sous contrôle des rebelles, ce qui a laissé toute l’assemblée (du Conseil de sécurité) sans voix et les a obligés à revoir leurs positions.
La source, qui a préféré garder l’anonymat, a déclaré à la télévision d’AlKhabar que la version officielle syrienne sur le massacre (présentée au Conseil de sécurité) a confirmé que les militants ont effectivement tiré deux roquettes chargés de produits chimiques depuis la zone rurale de Damas, encore sous contrôle des rebelles, et cela en fournissant les images des satellites russes, qui confirment les faits.
Le diplomate a souligné, à cet égard, que la position russe était, ce jour-là, exceptionnellement la seule position la plus radicale de toutes, que se soit celle des pays européens ou des États-Unis, à exiger de faire procéder à une enquête sur ce massacre. Il a ensuite expliqué par ces mots que « la position de la Russie est basée sur des images satellites illustrant de manière incontestable que les militants sont effectivement ceux qui ont utilisé le chimique ».
Sur la raison pour laquelle les militants de l’opposition ont commis ce massacre, la source diplomatique a précisé qu’« une faction des militants ont tiré ces roquettes pour exploiter la présence de la Commission d’enquête et accroître les documents (en leur faveur), et cela en collaboration avec l’un des pays arabes, mais sans avoir, cette fois-ci, préalablement informé les pays occidentaux sur une telle étape à franchir »
.
La source a également rapporté la précision donnée dans la version de la délégation syrienne, que les États membres n’ont pas demandé les images aux satellites américains, comme à leur habitude dans les cas précédents, se contentant des images russes, qui se sont révélées identiques aux images des États-Unis, établissant ainsi une preuve définitivement irréfutable.
Le diplomate a ajouté que ce massacre aura désormais des effets politiques majeures sur la position des pays qui soutiennent l’insurrection, à commencer par la France, qui devra réévaluer sa position, d’autant plus que ce crime a été commis sans que ses renseignements généraux en aient été préalablement informés, ce qui la place aujourd’hui dans une position critique.
Le diplomate a ajouté que la faction armée des rebelles qui a lancé ces deux roquettes est un groupement radical qui œuvre sous les ordres d’un État arabe du Golfe, sans indiquer son nom, sachant que l’Arabie saoudite est le plus grand partisan des militants de l’opposition et des factions militantes en particulier.
Ce massacre a touché plusieurs villages d’Al-Ghouta Est, et a causé, sur estimation des recensement des organismes neutres, le martyre d’environ huit-cents syriens, dont la plupart des enfants, et plusieurs milliers de blessés.
Source Journal Al Khabar
- Voir video de la TV Russe en duplex avec les États-Unis, sur l’ancienne attaque chimique de khan Al Assal, en bas de page…
- Toujours sur l’ancienne attaque chimique à khan Al Assal.Conférence de Presse à New York New-York / Le délégué permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vitali Tchourkin, a affirmé que son pays déploie des efforts avec le Conseil de sécurité pour faciliter l’entrée des experts onusiens en Syrie et enquêter sur l’usage par « l’opposition syrienne » des armes chimiques à Khan al-Assel dans la banlieue d’Alep (11 juillet 2013).
INHFR Un autre mensonge est la publication sur Youtube, la veille de l’attaque chimique qui a coûté la vie à des centaines d’innocents syriens, d’une vidéo d’un enfant entre la vie et la mort, avec un titre sur le massacre qui allait se produire le lendemain !
La vidéo a été publiée par le site des rebelles, et titrée du massacre de l’attaque chimique sur AL Ghouta le 21 août 2013, le lien vidéo sur Youtube atteste encore de sa publication réelle, en date du 20 août 2013, soit la veille !
Al Ghouta a réellement été attaquée, et des centaines de syriens ont succombé à une mort chimique,
Comment un enfant montré sur cette vidéo peut-il mourir le lendemain ? Et comment les rebelles peuvent-ils savoir la veille qu’une attaque chimique allait se produire le lendemain sur Al Ghouta, pour titrer à l’avance leur vidéo de la date du massacre, c’est à dire du 21 août 2013, alors que Youtube atteste automatiquement de la date réelle de la publication, qui est clairement indiquée au 20 août 2013 ?
La vidéo en question a donc été publiée sur Youtube, la veille de ce massacre, elle ne peut pas correspondre à un événement du lendemain, ce qui indique qu’une ancienne vidéo a été attribuée au massacre du lendemain, dans un loupé de timing entre Youtube et le site qui publie cette vidéo ! Une véritable fabrication de l’information avant qu’elle ne se produise ! C’est la seule explication à ce loupé qui a manifestement échappé à la vigilance du site de l’opposition qui a publié cette vidéo !
Titre de la video : Ghouta Est le 21/08 – Dernier soupir d’un enfant sans que personne puisse le sauver Lien de la Video sur Youtube
à suivre
INHFR - La Russie a fourni aux Nations unies les images satellites, irréfutables, des deux missiles chargés de produits chimiques qui se sont abattus sur Al Ghouta, faisant des centaines de morts, dont la plupart des enfants. Celles-ci ont été lancées depuis la région de Douma, en Syrie, sous contrôle des rebelles ! L’information a été relayée par d’autres médias.
Russie - Le ministre des Affaires étrangères russe a déclaré : « Nous détenons plus de nouvelles preuves que cet acte criminel était d’une nature provocatrice », a-t-il souligné. « Et en particulier, des rapports ont circulé sur Internet, que les matériaux de l’incident et l’objet des accusations contre les troupes gouvernementales, avaient été publiés pendant plusieurs heures à l’avance de l’attaque en question. Ainsi, il s’agissait bien d’une action planifiée à l’avance. » Suite de l’article sur RT
Que dit la presse occidentale ? Blackout totale ! La France, mise en difficulté, fait allusion, et pour la première fois depuis le début de cette insurrection, à la chose dans Le Figaro, très connu pour le soutien qu’il apporte à Fabius et aux rebelles, se pose pour la première fois des questions jamais vues auparavant, même si le titre est 100 % sioniste, le texte en dit long :
« Quel intérêt aurait eu Bachar el-Assad à lancer une attaque non conventionnelle au moment précis où il venait d’autoriser des inspecteurs de l’ONU ? » – Le Figaro 22/08/2013 CQFD !
Source Journal Al Khabar le martyre de centaines de Syriens, à Al-Ghouta près de Damas, dont la plupart étaient des enfants, a soulevé l’opinion publique mondiale, ce mercredi dernier (21/08/2013), et notamment avec la propagation des images d’enfants et de civils martyrs, qui ont péri dans ce massacre. Les médias de l’opposition syrienne ont accouru, accusant le régime d’avoir commis ce massacre, dans une pression sur le Conseil de sécurité, qui s’est rapidement réuni, avant que la surprise survienne.
Le Conseil de sécurité réuni vient de rendre son rapport avec la mention « fragile », et la déclaration claire : « Nous voulons découvrir la vérité sur l’accusation du régime syrien qu’il aurait utilisé les armes chimiques sur la campagne de Damas, et nous accueillons la décision de l’Organisation des Nations unies pour enquêter sur cette affaire. » Une déclaration qui vient s’ajouter à celle de la délégation italienne qui rapporte « la délégation syrienne a présenté une vision qui mérite que l’on s’attarde dessus ! » Et pour la première fois de son genre, la déclaration également de la délégation française, pourtant connue pour être la plus radicale et enclin en faveur de l’opposition…
La délégation française avait fourni tout ce qu’elle possédait en informations sur le massacre qui a coûté la vie, selon les dernières statistiques neutres, à environ huit-cents syriens, dont la plupart étaient des enfants. Mais c’est la première fois que la délégation attribue ces informations à la coalition de l’opposition et à son président Awinnen Jarba, dans une tentative française de se soustraire à ces renseignements et d’en porter la responsabilité à Awinnen Jarba.
À quoi ce revirement est-il dû ?
Une source diplomatique syrienne de haut niveau, a révélé à la Télévision d’Al Khabar, que la délégation Russe a rendu la version sur les faits qui se sont produits, en fournissant des documents irréfutables, extraits des images satellites qui viennent appuyer de ce fait la version officielle syrienne. Qu’effectivement des militants armés ont bien bien lancé les deux roquettes remplies de produits chimiques, depuis la zone rurale de Douma, toujours sous contrôle des rebelles, ce qui a laissé toute l’assemblée (du Conseil de sécurité) sans voix et les a obligés à revoir leurs positions.
La source, qui a préféré garder l’anonymat, a déclaré à la télévision d’AlKhabar que la version officielle syrienne sur le massacre (présentée au Conseil de sécurité) a confirmé que les militants ont effectivement tiré deux roquettes chargés de produits chimiques depuis la zone rurale de Damas, encore sous contrôle des rebelles, et cela en fournissant les images des satellites russes, qui confirment les faits.
Le diplomate a souligné, à cet égard, que la position russe était, ce jour-là, exceptionnellement la seule position la plus radicale de toutes, que se soit celle des pays européens ou des États-Unis, à exiger de faire procéder à une enquête sur ce massacre. Il a ensuite expliqué par ces mots que « la position de la Russie est basée sur des images satellites illustrant de manière incontestable que les militants sont effectivement ceux qui ont utilisé le chimique ».
Sur la raison pour laquelle les militants de l’opposition ont commis ce massacre, la source diplomatique a précisé qu’« une faction des militants ont tiré ces roquettes pour exploiter la présence de la Commission d’enquête et accroître les documents (en leur faveur), et cela en collaboration avec l’un des pays arabes, mais sans avoir, cette fois-ci, préalablement informé les pays occidentaux sur une telle étape à franchir »
.
La source a également rapporté la précision donnée dans la version de la délégation syrienne, que les États membres n’ont pas demandé les images aux satellites américains, comme à leur habitude dans les cas précédents, se contentant des images russes, qui se sont révélées identiques aux images des États-Unis, établissant ainsi une preuve définitivement irréfutable.
Le diplomate a ajouté que ce massacre aura désormais des effets politiques majeures sur la position des pays qui soutiennent l’insurrection, à commencer par la France, qui devra réévaluer sa position, d’autant plus que ce crime a été commis sans que ses renseignements généraux en aient été préalablement informés, ce qui la place aujourd’hui dans une position critique.
Le diplomate a ajouté que la faction armée des rebelles qui a lancé ces deux roquettes est un groupement radical qui œuvre sous les ordres d’un État arabe du Golfe, sans indiquer son nom, sachant que l’Arabie saoudite est le plus grand partisan des militants de l’opposition et des factions militantes en particulier.
Ce massacre a touché plusieurs villages d’Al-Ghouta Est, et a causé, sur estimation des recensement des organismes neutres, le martyre d’environ huit-cents syriens, dont la plupart des enfants, et plusieurs milliers de blessés.
Source Journal Al Khabar
- Voir video de la TV Russe en duplex avec les États-Unis, sur l’ancienne attaque chimique de khan Al Assal, en bas de page…
- Toujours sur l’ancienne attaque chimique à khan Al Assal.Conférence de Presse à New York New-York / Le délégué permanent de la Russie auprès de l’ONU, Vitali Tchourkin, a affirmé que son pays déploie des efforts avec le Conseil de sécurité pour faciliter l’entrée des experts onusiens en Syrie et enquêter sur l’usage par « l’opposition syrienne » des armes chimiques à Khan al-Assel dans la banlieue d’Alep (11 juillet 2013).
INHFR Un autre mensonge est la publication sur Youtube, la veille de l’attaque chimique qui a coûté la vie à des centaines d’innocents syriens, d’une vidéo d’un enfant entre la vie et la mort, avec un titre sur le massacre qui allait se produire le lendemain !
La vidéo a été publiée par le site des rebelles, et titrée du massacre de l’attaque chimique sur AL Ghouta le 21 août 2013, le lien vidéo sur Youtube atteste encore de sa publication réelle, en date du 20 août 2013, soit la veille !
Al Ghouta a réellement été attaquée, et des centaines de syriens ont succombé à une mort chimique,
Comment un enfant montré sur cette vidéo peut-il mourir le lendemain ? Et comment les rebelles peuvent-ils savoir la veille qu’une attaque chimique allait se produire le lendemain sur Al Ghouta, pour titrer à l’avance leur vidéo de la date du massacre, c’est à dire du 21 août 2013, alors que Youtube atteste automatiquement de la date réelle de la publication, qui est clairement indiquée au 20 août 2013 ?
La vidéo en question a donc été publiée sur Youtube, la veille de ce massacre, elle ne peut pas correspondre à un événement du lendemain, ce qui indique qu’une ancienne vidéo a été attribuée au massacre du lendemain, dans un loupé de timing entre Youtube et le site qui publie cette vidéo ! Une véritable fabrication de l’information avant qu’elle ne se produise ! C’est la seule explication à ce loupé qui a manifestement échappé à la vigilance du site de l’opposition qui a publié cette vidéo !
Titre de la video : Ghouta Est le 21/08 – Dernier soupir d’un enfant sans que personne puisse le sauver Lien de la Video sur Youtube
à suivre