Un premier groupe de six observateurs a entamé lundi en Syrie pour tenter de vérifier les engagements du plan de paix. Ils sont arrivés à Damas dimanche soir sous le commandement du colonel marocain Ahmed Himmiche.
La mission commencera par mettre en place un QG opérationnel et par prendre contact avec le gouvernement syrien et les forces de l'opposition.[/b]
Le cessez-le-feu entré en vigueur jeudi dernier est toujours aussi fragile.
On compte au moins 14 victimes depuis ce lundi matin selon nos sources sur place qui viennent sajouter à la quarantaine de morts ce week-end.
Les villes symboles de la contestation sont particulièrement touchées par les violences. A Homs, les quartiers de Baba Amr, Khaldiye et Bayada sont frappés par des tirs de mortier.
Par ailleurs, on assiste encore à des scènes de perquisitions dans le nord du pays, dans la région de Hama.
Des dizaines de personnes ont été arrêtées ce matin. Des interpellations ont également eu lieu dans la capitale Damas, où deux journalistes se trouvent actuellement aux mains des services de renseignement syriens.
Ce contexte dangereux na pas empêché les Syriens de sortir manifester. Des vidéos mises en ligne sur Internet montrent des rassemblements massifs contre le régime à Deraa, lautre berceau de la révolte dans le sud du pays, ainsi quà Idleb dans le nord-ouest.
La mission des observateurs sannonce donc extrêmement délicate. Leur envoi constitue la toute première résolution adoptée par le Conseil de sécurité sur la Syrie.
Le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-Moon, appelle larmée syrienne à une « retenue maximale » sur le terrain.
Pour le moment, les 6 observateurs nont pas encore communiqué de rapport.
A terme, Kofi Annan souhaite l'envoi de plus de 200 observateurs en Syrie, mais le Conseil de Sécurité a décidé qu'une mission de plein droit ne pourrait se rendre sur place que si les violences cessaient.
Source :[/b]
http://www.medi1.com/infos/actualite/actualite.php?idinf=22266o
La mission commencera par mettre en place un QG opérationnel et par prendre contact avec le gouvernement syrien et les forces de l'opposition.[/b]
Le cessez-le-feu entré en vigueur jeudi dernier est toujours aussi fragile.
On compte au moins 14 victimes depuis ce lundi matin selon nos sources sur place qui viennent sajouter à la quarantaine de morts ce week-end.
Les villes symboles de la contestation sont particulièrement touchées par les violences. A Homs, les quartiers de Baba Amr, Khaldiye et Bayada sont frappés par des tirs de mortier.
Par ailleurs, on assiste encore à des scènes de perquisitions dans le nord du pays, dans la région de Hama.
Des dizaines de personnes ont été arrêtées ce matin. Des interpellations ont également eu lieu dans la capitale Damas, où deux journalistes se trouvent actuellement aux mains des services de renseignement syriens.
Ce contexte dangereux na pas empêché les Syriens de sortir manifester. Des vidéos mises en ligne sur Internet montrent des rassemblements massifs contre le régime à Deraa, lautre berceau de la révolte dans le sud du pays, ainsi quà Idleb dans le nord-ouest.
La mission des observateurs sannonce donc extrêmement délicate. Leur envoi constitue la toute première résolution adoptée par le Conseil de sécurité sur la Syrie.
Le secrétaire général des Nations-Unies, Ban Ki-Moon, appelle larmée syrienne à une « retenue maximale » sur le terrain.
Pour le moment, les 6 observateurs nont pas encore communiqué de rapport.
A terme, Kofi Annan souhaite l'envoi de plus de 200 observateurs en Syrie, mais le Conseil de Sécurité a décidé qu'une mission de plein droit ne pourrait se rendre sur place que si les violences cessaient.
Source :[/b]
http://www.medi1.com/infos/actualite/actualite.php?idinf=22266o